(13) L'homme n'en connaît pas le prix ; on ne la trouve pas non plus au pays des vivants. (14) В¶ La profondeur dit : Elle n'est pas en moi ; et la mer dit : Elle n'est pas avec moi. (15) Il ne peut pas être obtenu pour de l'or, et l'argent ne sera pas non plus pesé pour son prix. (16) Il ne peut être évalué avec l'or d'Ophir, avec l'onyx précieux, ou le saphir. (17) L'or et le cristal ne peuvent l'égaler : et l'échange de celui-ci ne sera pas contre des bijoux d'or fin. (18) Aucune mention ne sera faite de corail ou de perles : car le prix de la sagesse est au-dessus des rubis. (19) La topaze d'Éthiopie ne l'égalera pas et ne sera pas non plus évaluée avec de l'or pur.

En supposant (ce que le lecteur percevra clairement, c'est l'humble mais ferme croyance de l'écrivain) que JÉSUS soit en effet la sagesse dont l'écrivain sacré parlait auparavant, avec quelle douceur correspond aux autres parties de la Bible, concernant l'inestimable et inachetable bénédictions de JÉSUS, et rédemption par lui, ces déclarations comparatives apparaissent-elles ? Les miséricordes évangéliques sont trop coûteuses pour être vendues, ou en effet pour entrer dans l'achat de toute la création.

Ils s'achètent sans argent et sans prix. Vous êtes rachetés (dit le SAINT-ESPRIT par Pierre) non pas avec des choses corruptibles, comme l'argent et l'or, mais avec le sang précieux du CHRIST, comme d'un agneau sans défaut et sans tache. Quelle perle, quelle topaze, quel onyx, ou tous les quartiers d'or d'Ophir, peuvent mériter d'être mentionnés, dans la contemplation du sang de JÉSUS ! Oh! toi AGNEAU de DIEU ! cadeau précieux de ton PÈRE, et de toi-même, qui appréciera ta valeur, ou comptera ton amour, ou parlera ta valeur ! Lecteur, est-ce JÉSUS à toi ? Demande alors à ton cœur : S'il devait être vendu, de quoi te séparerais-tu pour lui ? S'il devait être acheté, que penseriez-vous de trop pour lui ? Et DIEU ton père t'a-t-il donc donné ce JÉSUS ? - A toi ? - L'a-t-il donné aussi d'une manière telle que jamais, pour ne jamais être rappelé.

Il n'y a rien d'autre que ton DIEU t'ait donné, que le SEIGNEUR puisse, chaque fois qu'il le jugera bon, rappeler à nouveau ; car il n'est en réalité que prêté. Santé, force, facultés, richesse, enfants ; tout cela n'a lieu que pendant un mandat. Mais JÉSUS, une fois donné, est pour toujours donné, et jamais, jamais pour être repris. Lecteur! pause à nouveau. JÉSUS est-il à toi ? Seigneur béni ! combien perdu dans l'émerveillement, l'amour et la louange !

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