Un récit de la bonté de Yahweh envers son peuple d'autrefois. Ce passage semble être une liturgie d'action de grâce : ressemblance avec le Pss. est évident.

Je raconterai les actes d'amour de Yahweh, ses actes de renom, conformément à tout ce que Yahweh, grand en bonté ( cf. LXX), a fait pour nous. Il pensa : Sûrement ils sont Mon peuple, des fils qui ne Me tromperont pas. Il devint donc leur libérateur dans toute leur détresse. Après LXX, reliez les quatre premiers mots d' Ésaïe 63:9 avec Ésaïe 63:8 , et continuez : Aucun messager ou ange, mais Sa propre présence les a délivrés.

) Yahvé lui-même, sans intermédiaire, les a délivrés, rachetés et les a conduits avec une tendre attention. Mais, décevant Sa pensée ( Ésaïe 63:8 ), ils étaient pervers, et faisaient souffrir Son esprit saint ( c'est -à- dire Sa présence manifestée) de sorte qu'Il fut contraint de lutter contre eux. Dans leur détresse conséquente, Israël ( cf.

mg. ) a rappelé sa grâce dans les temps passés; où, se lamentaient-ils, est-ce que celui qui a élevé (effacez-les avec VSS et quelques MSS) de la mer le berger ( mg. ) de son troupeau ? c'est-à-dire sauvé Moïse du Nil ( cf. Ésaïe 19:5 *). Où est celui qui a mis son esprit saint dans la communauté, prêtant sa puissance miraculeuse à la main de Moïse et amenant, à sa gloire éternelle, son peuple à travers la mer Rouge, afin qu'ils ne trébuchent pas mais marchent aussi sûrement qu'un cheval dans la plaine, et avec le pas infaillible du bétail descendant une colline ? Lu avec VSS, guidé pour Ésaïe 63:14 dans Ésaïe 63:14 .

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