A cause d'une cause inconnue, Abraham a peur ; Yahvé l'encourage dans une vision avec l'assurance de la protection divine ; un acte est jugé digne de la promesse, ta récompense sera excessivement grande ( mg.). Mais quelle récompense, répond-il, Seigneur Yahvé, donneras-tu qui puisse m'être utile ? depuis que je vais d'ici ( mg.) sans enfant, et mon héritier est un esclave né à la maison. Mourir sans enfant, c'était avoir son nom enraciné sur terre.

Au shéol, il y avait continuité d'existence nue, mais pas de vie au vrai sens du terme ( Ésaïe 14:9 *); d'où l'ancien Hébreu estimait que s'il ne vivait pas dans sa postérité, la mort signifiait la fin de la vie. Yahvé lui dit qu'un fils de sa propre génération sera son héritier, et, le faisant sortir de sa tente pour regarder le ciel étoilé, affirme que sa postérité sera également innombrable.

La foi d'Abraham s'élève pour répondre à la promesse, et cette foi lui est imputée à justice, un thème que Paul a développé dans ses grands exposés sur la justification par la foi (Romains 4, Galates 3).

Genèse 15:2 . Les derniers mots sont, il est à peine douteux, corrompus ; la restauration est une question de grande incertitude. Aucune discussion n'est ici possible ; la dernière correction est de Procksch, le fils du souverain de ma maison, Eliezer, sera mon héritier.

Genèse 15:5 . dire : c'est -à- dire compter ( cf. les scrutateurs dans une division de la Chambre des communes).

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