Matthieu 4:23

I. Christ dispensait alors le don de guérison, merveilleusement, pour un exemple à tous ceux qui croiraient en Lui par la suite, pour toujours, aussi longtemps que le monde subsisterait. Guérisseur des maladies du corps, comme il était Guérisseur des maladies de l'âme, Jésus-Christ, oint Sauveur, c'était sa mission de guérir, de sauver. Il était lui-même le Bon Samaritain, qui s'est donné beaucoup de mal pour secourir le voyageur blessé qui gisait à moitié mort au bord du chemin, et qui lui a fourni tout ce qui lui était nécessaire, logement, assistance, provision jusqu'à ce qu'il soit tout à fait rétabli.

Qu'est-ce que c'était que de nous enseigner que les pauvres et les nécessiteux sont de toute façon engagés aux soins et à la charge de tous ceux qui voient leur cas dur et ont le pouvoir de le soulager ? Étant donné l'opportunité, le devoir suit; ne peut être négligé sans péché le péché, au moins, de laisser de côté ce que nous aurions dû faire.

II. Le devoir de donner est l'un des devoirs les plus simples de toute vie, et parce qu'il est si simple, l'Apôtre l'a entouré d'un avertissement : « Ne vous y trompez pas, Dieu ne se moque pas. Notre propre jour de maladie et d'épreuve n'est pas loin. Avoir considéré les pauvres et les nécessiteux, avoir été pour ainsi dire les yeux des aveugles, les pieds des boiteux, la force des faibles de corps, sera une pensée de réconfort quand nous ressentirons dans notre propre corps le besoin de toute consolation que Dieu accorde à ses serviteurs au jour de leur calamité.

Bishop Claughton, Penny Pulpit, nouvelle série, n° 738.

Références : Matthieu 4:23 ; Matthieu 4:24 . H. Wonnacott, Christian World Pulpit, vol. xiv., p. 75 ; Clergyman's Magazine, vol. III., p. 164. Matthieu 4:23 .

Spurgeon, Sermons, vol. vi., n° 333. Matthieu 4:24 . J. Oswald Dykes, Manifeste du Roi, p. 3. Matthieu 4 Homiletic Quarterly, vol. ii., p. 219.

Continue après la publicité
Continue après la publicité