Les anciens qui sont parmi vous, j'exhorte.

Les anciens exhortés

1. En ce qu'il, un ancien, les exhorte, anciens, notez que les ministres sont les plus aptes à enseigner les ministres et à juger de leurs actions. Quand nous n'aimons rien chez un ministre, il était sage de demander le jugement d'un ministre pieux avant de censurer.

2. En ce qu'il ne leur demande rien d'autre que ce qu'il a fait lui-même, notez que la manière la plus efficace d'enseigner, qu'elle soit privée ou publique, est d'abord de faire en nous-mêmes ce que nous exigeons des autres. C'est un capitaine malade qui ordonne à ses soldats d'aller se battre, lui-même en attendant s'attardant.

3. Dans ce qu'il implore, notez sa modestie et son humilité. ( John Rogers. )

L'office, l'esprit et la récompense d'un ministère fidèle

L'apôtre Pierre, après diverses exhortations à fortifier les frères, se tourne à la fin de son épître vers ses collègues ministres et leur donne son conseil d'adieu. Saint Pierre appelle l'Église «le troupeau de Dieu». Ce n'est pas le troupeau de l'homme, mais celui de Dieu, qu'il a racheté avec son propre sang. Notre Sauveur a parlé de l'Église comme de son troupeau - mes brebis, mes agneaux - et de lui-même comme du bon berger.

Chaque croyant aura sa propre histoire. Il y aura des particularités en elle, que l'on ne trouve dans aucune autre - de quelle manière il s'est égaré ; où Jésus l'a trouvé - dans la maison de Dieu, sur le lit de la maladie, sur la tombe de quelqu'un qui lui est cher comme sa propre âme. Ainsi ramené au bercail, il devient une de ces brebis à qui Jésus donne la vie éternelle. Il sent qu'il n'est pas à lui, qu'il a été racheté à un prix et qu'il ne peut plus vivre selon sa propre volonté, mais selon la volonté de Celui qui l'a aimé.

Mais bien qu'ainsi fait partie du troupeau de Christ, le croyant n'a pas encore atteint le ciel ; il faut le nourrir, le soigner, le guider sur son chemin, et c'est à cette fin, ainsi qu'à ajouter à ce troupeau, que l'office du ministère a été institué. Jésus aime tellement les âmes des hommes pour lesquels il est mort, qu'il ne les confie qu'à ceux qui l'aiment et paîtront son troupeau. Ayant ainsi considéré l'office du ministère, considérons l'esprit dans lequel il doit être exercé, non pas de contrainte, mais volontairement, d'un esprit prêt, ni comme le dotant de votre charge.

Il peut y avoir une contrainte à assumer cette charge et ce ministère, mais c'est une contrainte telle que celle de saint Paul lorsqu'il a dit : « La nécessité m'est imposée ; malheur à moi, si je ne prêche pas l'évangile ! L'amour du Christ me contraint. Nous pouvons reculer devant le sentiment de notre insuffisance totale pour un tel travail. Isaïe a dit : « Je suis un homme aux lèvres impures, et j'habite au milieu d'un peuple aux lèvres impures.

” Il peut y avoir un recul du travail à cause de ces causes, et en même temps un esprit disposé et prêt. La contrainte dont parle saint Pierre est là où il n'y a pas de cœur pour le travail, là où il y a des motifs séculaires de gain ou d'ambition vil. Là où il y a cette contrainte, un service pauvre et court sera rendu. Christ loue l'ange de l'Église d'Éphèse pour son travail jusqu'à la lassitude. C'est ce que le Christ loue dans ses serviteurs.

Ni en tant que seigneurs de l'héritage de Dieu, l'Église. Notre Sauveur avait mis en garde ses apôtres contre l'esprit d'ambition qui se trouvait dans le monde. « Vous savez, leur dit-il, que les grands de ce monde exercent la domination sur les hommes, mais il n'en sera pas ainsi parmi vous. Et enfin, dans les qualifications du ministre chrétien, nous devons être des exemples pour le troupeau en paroles, en manière de vivre, en amour, en foi, en pureté.

Ayant ainsi considéré l'office du ministère et l'esprit dans lequel il doit être exercé, remarquons maintenant la récompense du ministre fidèle. « Et quand le chef des bergers paraîtra, vous recevrez une couronne de gloire qui ne se fanera pas. » Le service de Christ dans le ministère de l'Évangile n'est pas sans récompense. Il a sa récompense, non seulement dans la perspective, après qu'il soit terminé, mais d'ailleurs, dans la vie qui est maintenant.

Notre travail nous met en contact avec la vérité divine, qui grandit en nous dans l'intérêt et le plaisir, de sorte que nous sommes dominés par sa puissance et sa gloire. Cette vérité élève l'âme au-dessus d'elle-même sur les ailes de la foi et de l'espérance, et nous rend l'esprit céleste, qui est la vie et la paix. Il y a une satisfaction qui grandit de la nature de notre travail, de sorte que le travail lui-même est sa propre récompense excessivement grande. Notre travail, encore une fois, nous amène dans une sympathie affectueuse avec l'Homme des Douleurs.

L'évangile que nous prêchons a d'abord été prêché par le Seigneur lui-même. Et comme il était attristé par l'incrédulité et la dureté de cœur de ceux qui l'écoutaient, comme il pleurait sur Jérusalem, ainsi tout fidèle ministre du Christ pleure ceux qui n'obéissent pas à l'évangile et négligent son grand salut. ( J. Packard, DD )

Adresse aux jeunes aînés

Il est tout à fait clair que saint Pierre s'adresse ici distinctement non pas aux aînés en âge, mais aux eiders par fonction. L'âge pourrait alors entrer, plus que maintenant, dans la question de la forme physique ; néanmoins, ce qui faisait un prêtre, ce n'était pas l'âge, mais l'ordination. Et quand nous voyons réunie une bonne troupe de jeunes ministres, nous ferions bien de leur dire : Souvenez-vous, vous avez une charge qui vous est donnée, qui ne compte pas par années, mais par grâces ; vous devez parcourir les allées de votre église, fouler les rues de votre paroisse, en hommes (en un sens) prématurément vieux, en hommes de cette dignité la plus vraie, qui ne consiste ni dans la richesse, ni dans le rang, ni même dans l'âge, mais en portant la commission de Christ.

Saint Pierre compte cette fonction si honorable qu'il n'en revendiquera même pas pour lui-même une plus haute. Un autre apôtre, son ami et frère choisi, se décrit de la même manière dans deux de ses écrits, seulement comme « l'aîné » ( 2 Jean 1:1 ). Ils connaissaient bien, tous les deux, la plus haute contrainte de sympathie, au-dessus de tout ce que le simple pouvoir ou la dignité officielle peuvent exercer.

1. Je dirai un mot sur la dédicace. L'ecclésiastique chrétien est un homme dévoué. Croyez-vous sincèrement que votre motif en demandant l'ordination est honnête, véridique, pur ? Est-ce le choix de votre cœur ? Veux-tu y donner ta vie ? Vous ne devez pas vous contenter de cette sorte d'état crépusculaire ambigu moyen que le monde considère comme assez bon pour un chrétien laïc.

2. Ainsi, le dévouement passe dans la commission. Vous vous consacrez à Christ, et Il vous donne Sa commission. Il serait absolument intolérable à celui qui se connaît d'avoir à sentir, lorsqu'il s'habille de sa sacristie pour l'exercice d'une de ses fonctions cléricales, qu'il offre ses conseils pour l'instant à un corps d'êtres spirituels rationnels qui ont tout aussi bon droit de lui apprendre. Gardant bien cela à l'esprit, nous disons encore : Sans la commission de Christ, nous ne pourrions pas parler : avec elle, un mourant peut oser parler aux mourants.

3. A côté de la sainteté, la double sainteté de l'office, permettez-moi de vous exhorter fortement à sa divine humanité. Le secret de toute influence est : Soyez humain. Un mot d'authentique bonté, de cordiale sympathie compatissante, vaudra dix mille expositions de votre prétention à la révérence : il ouvrira des cœurs autrement interdits contre vous, et, vous laissant entrer, laissera entrer Christ après vous. Et comme dans vos relations sexuelles, ainsi aussi dans votre prédication.

Qu'il affirme en effet fortement la révélation directe et l'inspiration de votre évangile. Mais dans l'application de cet évangile divin, parlez en homme aux hommes ; parler comme quelqu'un qui en connaît la nécessité pour lui-même, comme quelqu'un qui connaît la nature, la vie, le cœur, à qui il doit l'offrir, et a appris, non par des crochets mais par des hommes, quelle est cette maladie cardiaque aussi, et soif intérieure avide, à laquelle le Christ son Seigneur est venu pour servir, et l'a mis de sa miséricorde infinie à servir en son absence, en sa présence !

4. Ai-je donc besoin de dire, en quatrième lieu, que le ministère chrétien est une œuvre ? Ce n'est pas un passe-temps. Ce n'est pas une propriété extérieure de pure forme. C'est un travail. Pouvoir dire, je suis un ancien de l'Église du Christ, et donc mon temps, ma force, voire la vie, est à l'Église, est à Christ.

5. Qui niera donc cet autre aveu, que le ministère est une difficulté ? Pensez-vous, vous qui passez, que l'ordination d'un ecclésiastique le place au-dessus des pièges les plus difficiles du monde, de la chair ou du diable ?

6. Alors permettez-moi de noter, pour votre encouragement, cette autre caractéristique : le ministère un honneur, un privilège et une bénédiction. Il y a une couronne spéciale pour le fidèle prêtre, en plus de celle qu'il partagera avec le plus humble des rachetés. Dans cette vie s'il lui appartient, s'il est sérieux dans son travail, de jouir d'une reconnaissance à peine donnée à un autre, la reconnaissance des vies remodelées, la reconnaissance des âmes sauvées. ( Doyen Vaughan. )

Pierre exhortant les anciens

I. Un soldat bien équipé.

1. Un aîné.

(1) En âge.

(2) Dans la connaissance.

(3) Dans l'expérience.

(4) En poste.

2. Un témoin. Du Christ-

(1) la souffrance ;

(2) Expiation ;

(3) Amour ;

(4) sympathie ;

(5) L'humanité.

3. Un participant à la gloire qui sera révélée. « Venez, vous, bénis de mon Père », etc.

II. Un saint humble d'esprit. Ce n'était pas l'une des premières caractéristiques de saint Pierre. Mais il avait appris par expérience à se faire une véritable opinion de sa position réelle aux yeux de Dieu et des nombreuses infirmités qui appartiennent à l'humanité déchue. Cet esprit châtié se manifeste particulièrement-

1. Par la position assumée. « Compagnon aîné. » Il n'y a aucune hypothèse de sagesse supplémentaire ou de connaissance supérieure.

2. Par la méthode de son enseignement. Non pas « je commande, décrète », « applique » ; simplement « j'exhorte ». Il suggérait, rappelait, exhortait. Quel esprit céleste ! ( JJS Bird, BA )

Un témoin des souffrances du Christ. -

Un témoin et un participant

I. Un témoin des souffrances du Christ. Autant que possible, soyons témoins avec Pierre.

1. Un témoin oculaire de ces souffrances. Nous ne pouvons pas participer à cela, et nous n'avons pas besoin de le désirer.

2. Une foi témoin de ces souffrances.

(1) Il avait personnellement cru en Jésus au début.

(2) Il avait encore cru après la communion avec Lui.

3. Un témoin de ces souffrances.

(1) Il témoigna de leur amertume lorsqu'elle fut portée par Jésus.

(2) Il a témoigné de leur importance comme expiation.

(3) Il a témoigné de leur plénitude comme une satisfaction.

(4) Il a témoigné de leur effet dans un salut parfait.

4. Un témoin participant de ces souffrances.

(1) Pour défendre la vérité, il a souffert des opposants.

(2) En gagnant les autres, il souffrait dans l'angoisse de son cœur.

(3) En servant son Seigneur, il a subi l'exil, la persécution, la mort. Ce dont il a été témoin de toutes ces manières est devenu un motif et un stimulus pour toute sa vie.

II. Un participant de la gloire à révéler. Il est important de participer à tout ce que nous prêchons, ou bien nous prêchons sans vivacité ni assurance.

1. Pierre avait eu un avant-goût littéral de la gloire sur la sainte montagne. Nous aussi, nous avons nos arrhes de joie éternelle.

2. Pierre n'avait pas encore vu la gloire qui sera révélée, et pourtant il y avait participé dans un sens spirituel : notre participation doit aussi être spirituelle. Pierre avait été un participant spirituel des manières suivantes :

(1) Par la foi dans la certitude de la gloire.

(2) Par anticipation de la joie de la gloire.

(3) Par sympathie avec notre Seigneur, qui est entré dans la gloire.

3. Pierre avait ressenti le résultat de la foi en cette gloire.

(1) Dans le confort qu'il lui a procuré.

(2) Dans le ciel qu'elle a opéré en lui.

(3) Dans le courage dont il l'a doté. ( CH Spurgeon. )

Participant à la gloire qui sera révélée . -

Participer aussi bien que prêcher

C'est une chose bien triste quand les prédicateurs sont comme des imprimeurs, qui composent et impriment beaucoup de choses, qu'ils ne comprennent, ni n'aiment, ni n'éprouvent ; tout ce qu'ils visent, c'est l'argent pour imprimer, qui est leur métier. C'est aussi triste quand les ministres sont comme des gentilshommes huissiers, qui amènent des dames à leurs bancs, mais n'y vont pas, amènent les autres au ciel, et eux-mêmes restent dehors. ( Ralph Venning. )

Nourrissez le troupeau de Dieu .

Les vrais fonctionnaires dans l'Église

I. Leur devoir. Nourrir, diriger, contrôler, protéger.

II. Leur motif.

1. Négativement.

(1) Sans contrainte.

(2) Pas par convoitise.

(3) Pas de manière ambitieuse.

2. Positivement.

(1) Volontariat.

(2) Sympathie.

III. Leur espoir.

1. « La couronne » - symbole de dignité.

2. « De la gloire » - pas décoré ou terni, mais non allié.

3. "Cela ne s'efface pas" - impérissable.

IV. Leur esprit.

1. Soumission mutuelle.

2. L'humilité parfaite.

V. Leur aide. "Grâce" - la faveur de Dieu, la plus grande et la plus puissante inspiration des âmes. ( UR Thomas. )

La décharge du ministère

I. Le devoir imposé. Chaque étape du chemin de notre salut porte l'empreinte d'une majesté, d'une sagesse et d'une bonté infinies ; et ceci parmi les autres, que les hommes pécheurs et faibles sont asservis dans cette grande œuvre d'amener le Christ et les âmes à se rencontrer, et que la vie qui leur est transmise par la parole de vie dans les mains des pauvres, est par le mêmes moyens préservés et avancés. Oh, quelle dextérité et quelle diligence, et surtout quelle affection pour cette tâche ! Qui ne s'y évanouirait, si notre Seigneur le berger en chef, n'était-ce que toute notre suffisance n'était pas déposée dans sa riche plénitude, et toute notre insuffisance couverte dans sa gracieuse acceptation ?

II. Nous avons ici dûment qualifié l'exercice de cette haute tâche. L'apôtre en exprime la droiture à la fois négativement et positivement.

1. Il y aurait trois maux qu'il éliminerait de ce travail - la contrainte, la convoitise et l'ambition - par opposition à la bonne volonté, un esprit prêt et un tempérament et un comportement exemplaires.

(1) Nous sommes mis en garde contre la contrainte, contre le fait d'être poussé au travail par la nécessité, l'indigence et le manque d'autres moyens de subsistance, comme c'est le cas avec trop de gens, en faisant un métier pour vivre ; oui, ce qui en fait le refuge et la ressource désespérée de leur insuffisance pour d'autres appels. Cette volonté ne doit provenir de rien d'autre que d'une pure affection pour le travail.

(2) Pas pour un gain immonde, mais purement à cause de la tendance intérieure de l'esprit. Comme ce ne devrait pas être un mouvement compulsif de l'extérieur, ce ne devrait pas être un mouvement artificiel par des poids suspendus à l'intérieur, l'avarice et l'amour du gain. Les premiers étaient une roue, entraînée ou tirée, allant de force ; celui-ci un peu mieux, comme une horloge faite pour aller par l'art, par des poids suspendus à elle. Mais il devrait y avoir un mouvement naturel, comme celui des cieux dans leur course.

(3) Le troisième mal est l'ambition, et c'est soit dans l'affectation d'une autorité indue, soit dans l'exercice tyrannique de l'autorité due, soit dans la recherche des dignités qui ne conviennent pas à cette charge.

2. « Mais étant des échantillons » : un modèle tel qu'ils peuvent tamponner et imprimer leurs esprits et leur voiture, et être vos disciples comme vous l'êtes de Christ. Et sans cela, il y a peu ou pas d'enseignement fructueux.

III. Le grand avantage. « Et quand le chef des bergers apparaîtra », etc. Vous ne perdrez rien à cause de toute cette retenue du gain vil, de la vaine gloire et du pouvoir mondain. Qu'ils aillent tous pour « une couronne » - qui les alourdit tous, qui demeurera éternellement. Oh, combien plus excellent : « une couronne de gloire », une gloire pure et sans mélange, sans aucun orgueil ni vanité pécheresse, ni aucun danger de cela – et une couronne « qui ne se fane pas », d'une fleur telle qu'elle ne se fane pas.

Ne peuvent-ils pas bien piétiner les gains vils et les vains applaudissements, qui ont cette couronne à regarder ? Ceux qui se contenteront de ces choses, qu'ils le soient ; ils ont leur récompense, et c'est fait et disparu, lorsque les fidèles doivent recevoir la leur. ( Mgr Leighton. )

Nourrir les moutons

J'ai cru passer devant une bergerie, où les bergers semblaient extrêmement occupés. Mais ils étaient entièrement occupés par la porte et les haies, et avaient tourné le dos aux brebis. Le pâturage était nu et brun, un peu mieux à certains endroits qu'un désert de sable ; l'eau était boueuse et pleine de feuilles mortes. Les moutons étaient peu nombreux, maigres, émaciés et semblaient à peine plus de la moitié vivants.

« Que faites-vous, les amis ? » J'ai demandé aux bergers. « Notre maître nous a dit de nourrir ses moutons », ont-ils répondu. « Nous voulons attirer ces moutons du côté de la montagne ; ils sont aussi les siens. « Et que faites-vous pour les attirer ? » « Ne voyez-vous pas ? Nous dorons le portail et les haies, dans l'espoir que, lorsque le soleil brillera sur eux, ces moutons du dehors seront attirés par la curiosité.

Ensuite, quand ils entrent à l'intérieur, nous pouvons les nourrir. « Et pourquoi ne nourris-tu pas ceux qui sont à l'intérieur ? « Oh, ils sont dedans ; ils sont assez sûrs ! Ils peuvent ramasser de la nourriture pour eux-mêmes. Nous n'avons pas le temps de nous en occuper et d'attirer les étrangers, et cette dernière affaire est de loin la plus importante. Nous avons aussi un autre attrait : nous jouons sur la flûte du berger. Les moutons du dehors viennent souvent écouter.

» « Mais, les amis, c'est pour le mouton qui est à l'intérieur que mon souci s'éveille. Votre Maître a dit : « Pais mes brebis. Votre dorure et votre musique ne les nourriront jamais. "Oh non; ceux-ci sont pour les moutons à l'extérieur. Nous les nourrissons à l'intérieur. Regarde, voici de l'herbe et il y a des mangeoires à navets. « Vous appelez ça de l'herbe ? Des trucs desséchés, pauvres et peu attrayants! Mes bons amis, ces auges veulent nettoyer et se remplir.

» « Vous pensez que nous avons le temps pour ça ? Nous devons nous occuper de ces autres choses. « Sûrement pas au détriment de l'essentiel ? A quoi attirez-vous ces moutons ? A quoi condamnez-vous les autres ? L'attirance pour la famine n'est pas une idée très attrayante. « Alors vous voudriez que nous passions tout notre temps sur les moutons à l'intérieur et que nous ne rassemblions jamais les autres ? » « En aucun cas. Je voudrais que vous attiriez les étrangers ; mais je voudrais qu'ils soient attirés par de la nourriture fraîche et de l'eau claire, non par des haies dorées et des pipes de berger.

Croyez-moi, le vrai moyen d'attirer les moutons perdus est de leur faire voir que les moutons trouvés sont mieux lotis qu'eux. « C'est exactement ce que nous essayons de faire. C'est pourquoi nous dorons les haies pour les inciter à venir regarder dans la bergerie. « Et quand ils viennent voir, vous leur montrez quoi ? Une parcelle de terre nue et quelques moutons à moitié affamés. Mes pauvres amis trompés, le jour vient, et vite aussi, où vous vous tiendrez seuls derrière vos haies dorées ; car le pli sera laissé vide.

Les moutons mourront de faim ou auront traîné leurs membres émaciés vers d'autres champs que les vôtres, où il reste encore de l'herbe verte et où la fontaine d'eau vive est fraîche et pure. Allez-vous poser le pot de peinture et mettre de côté le roseau, et commencer immédiatement à vider l'eau et à remplir les auges ? Il n'est pas encore trop tard. Ce le sera bientôt. La parabole a-t-elle besoin d'être interprétée ? Les bergers écouteront-ils ? ( Emily S. Holt. )

Prenant la surveillance de celui-ci . -

Surveillance ministérielle

Il ne suffit pas que les ministres prêchent, oui, de manière sacrée et diligente, mais ils doivent en outre surveiller particulièrement leur troupeau, examiner la conversation et le comportement, et s'appliquer en conséquence à l'admonestation, l'exhortation, le confort. Si un ministre connaît l'un de ses gens en émeute ou profanation, il doit le réprimander ; s'il y en a qui sont à l'écart, avertissez-les ; il doit encourager ceux qui sont en bonne voie pour continuer encore, et doit réconforter ceux qui languissent sous leurs péchés, leurs tentations et leurs peurs ; en un mot, traitez chacun selon la cause.

1. Cela réprimande les ministres qui sont absents de leur peuple habituellement ou continuellement. Comment ceux-ci peuvent-ils prendre soin d'eux qui ne viennent pas à eux mais rarement, sauf qu'ils pourraient s'en prendre au diable, pour ne jamais troubler leur peuple, ou les tenter en leur absence.

2. Il réprimande aussi ceux qui vivent parmi leur peuple, mais ne s'en soucient pas ainsi, mais se croient déchargés qu'ils les rencontrent à l'église le dimanche, puis leur prêchent un sermon, alors que toute la semaine après ils ne pensent pas à eux. ( John Rogers. )

Pas pour le lucre sale . -

Les serviteurs de Dieu - leur motif dominant

Vous ne pouvez pas servir deux maîtres, vous devez servir l'un ou l'autre. Si votre travail est d'abord avec vous, et vos honoraires en second lieu, le travail est votre maître, et le Seigneur du travail, qui est Dieu. Mais si vos honoraires sont d'abord avec vous, et votre travail en second lieu, les honoraires sont votre maître, et le seigneur des honoraires, qui est le diable ; et pas seulement le diable, mais le plus bas des diables - "le démon le moins érigé qui est tombé". Voilà donc en bref : travaillez d'abord, vous êtes les serviteurs de Dieu ; frais d'abord, vous êtes le démon.

Et cela fait une différence, maintenant et toujours, croyez-moi, que vous serviez Celui qui a écrit sur son vêtement et sur sa cuisse : « Roi des rois », et dont le service est une liberté parfaite ; ou celui sur le vêtement et la cuisse duquel le nom est écrit « Esclave des esclaves » et dont le service est un esclavage parfait. ( John Ruskin. )

L'or un motif méprisable pour le service

Les actions les plus nobles qui ont été faites sur terre n'ont pas été faites pour de l'or. Ce n'est pas à cause de l'or que notre Seigneur est descendu et est mort, et les apôtres sont sortis pour prêcher la bonne nouvelle dans tous les pays. Les Spartiates ne cherchaient aucune récompense en argent lorsqu'ils se sont battus et sont morts aux Thermopyles ; et Socrate le sage ne demanda aucun salaire à ses compatriotes, mais vécut pauvre et pieds nus tous ses jours, ne se souciant que de rendre les hommes bons.

Et il y a aussi des héros de nos jours, qui font des actes nobles, mais pas pour de l'or. Nos découvreurs n'allaient pas s'enrichir lorsqu'ils voguaient les uns après les autres dans les mornes mers glacées ; ni les dames, qui allaient se débrouiller dans les hôpitaux de l'Orient, se faisant pauvres, afin d'être riches en œuvres nobles ; et les jeunes gens aussi se disaient-ils : « Combien d'argent vais-je gagner ? quand ils sont allés à la guerre, laissant la richesse et le confort, et une maison agréable, pour faire face à la faim et la soif, et les blessures et la mort, afin qu'ils puissent se battre pour leur pays et leur reine ? Non, il y a une meilleure chose sur terre que la richesse, une meilleure chose que la vie elle-même, et c'est d'avoir fait quelque chose avant de mourir, pour laquelle les hommes de bien peuvent vous honorer, et Dieu votre Père sourit à votre travail. ( C. Kingsley. )

Trop d'argent pour un ecclésiastique

M. Fletcher, de Madeley, s'est vu offrir une fois de vivre dans une petite paroisse du comté de Durham ; le devoir était léger, l'allocation de 400 livres, et la campagne environnante très charmante. MF a remercié le donateur pour son offre aimable, mais en même temps l'a déclinée en disant : « Il y a trop d'argent pour moi et trop peu de travail.

Ni en tant que seigneurs de l'héritage de Dieu . -

Autorité ministérielle

1. Les ministres ne doivent pas exercer l'autorité civile et le pouvoir temporel sur leur peuple, mais utiliser une règle spirituelle sur eux, en les enseignant, etc., et en les gouvernant par la Parole de Dieu.

2. Les ministres ne doivent pas se comporter avec fierté et dédain.

3. Un ministre ne doit pas non plus les gouverner avec violence ( Ézéchiel 34:18 ). ( John Rogers. )

Pas des seigneurs

Bernard de Clairvaux écrivit au pape Eugène : « Pierre ne pouvait te donner ce qu'il n'avait pas ; ce qu'il avait, il l'a donné : le soin de l'Église, non la domination.

Échantillons au troupeau . -

Puissance d'exemple

À propos de M. Henry Townley, décédé en 1861, le Dr Henry Allon, son pasteur, a déclaré dans son sermon funéraire : « Je doute qu'un homme plus saint que Henry Townley ait jamais vécu… Je me suis souvent, en sa présence, senti humilié et impressionné par sa sainteté et sa consécration manifestes. Je ne me souviens jamais de l'avoir laissé sans honte et pénitence, et sans prière pour que Dieu pardonne mon manquement et me fasse comme lui.

Quand le berger en chef doit comparaître. -

L'apparence du berger en chef

I. Le style et le caractère ici appropriés à notre divin Rédempteur.

1. "Berger".

(1) Il a reçu son Église comme une charge de la main du Père.

(2) Il a racheté les brebis avec son sang le plus précieux.

(3) Il vit pour rassembler les vagabonds dans sa bergerie, par la puissance de son Esprit et l'instrument de sa Parole.

2. « Chef berger. »

(1) Son infinie dignité.

(2) Sa suprématie officielle.

(3) Les qualités prééminentes qu'il possède, pour la fonction dont il a été investi.

(a) L'exhaustivité de Sa connaissance.

(b) Sa toute-puissance.

(c) Sa tendresse et sa sympathie exquises.

(4) À Lui tous les agents subordonnés dans Son royaume sont responsables.

II. Ce berger en chef est sur le point d'apparaître.

1. Ce fait est le plus certain.

2. Les circonstances de sa seconde venue seront marquées d'une splendeur particulière.

III. La récompense qui sera décernée à cette heure solennelle, à ceux qui ont fidèlement rempli les devoirs de la charge de sous-bergers.-

1. La belle imagerie employée par l'apôtre pour montrer cette récompense - " une couronne de gloire qui ne s'efface pas ".

2. Quelles sont les vérités substantielles contenues dans cette imagerie ?

(1) L'approbation de son Maître.

(2) Les marques visibles et les gages du succès ministériel.

(3) Son exaltation personnelle et sa félicité.

Apprendre:

1. La grande importance du ministère chrétien en tant qu'ordonnance de Dieu pour le bien-être présent et éternel de son Église.

2. Le véritable honneur qui est dû et doit être présenté à ceux qui ont fidèlement rempli cet office sur la terre, et surtout lorsque leur cours est terminé. ( G. Clayton. )

Le berger en chef

I. Le titre qui est ici donné au Christ en tant que chef des bergers. Le nom même de « berger » est plein d'éclat et de beauté, de condescendance et de grâce. Et tandis que d'autres noms décrivent les différentes parties de l'œuvre de Christ et les divers principes du caractère de Christ, celui-ci semble les combiner tous. En tant que prophète, il devait enseigner son Église, lui transmettre les leçons de la sagesse divine ; en tant que prêtre, il devait faire l'expiation pour les péchés de son peuple ; en tant que roi, il devait régner sur eux dans la douceur et la sainteté de son empire ; mais comme il est le berger en chef, nous avons la sagesse et la bonté qui instruisent, la grâce et la miséricorde qui se déploient, le pouvoir qui gouverne, l'autorité qui légifère, tout en un.

1. Il est appelé le berger en chef. En relation, sans doute, avec les bergers inférieurs et subordonnés. Car l'Église universelle, dans toutes ses subdivisions, est sa vaste bergerie, et les ministres de la religion sont les bergers qui lui sont subordonnés. Et, selon les mœurs de l'Orient, et dans les temps anciens et primitifs, il y en avait un – le chef des bergers à qui appartenaient les moutons. C'est en référence à cela que le Christ, dans le passage qui nous est présenté, est appelé « le chef des bergers ».

2. Il décrit aussi la dignité de sa personne et la gloire de ses perfections. A tous égards, il est le chef parmi les anges, ayant un nom d'autant plus excellent qu'eux, que sa nature est plus excellente que la leur. Il est le premier parmi les prêtres : Adam était un prêtre, Abel, Enoch, Abraham, Melchisédek et Moïse étaient des prêtres ; et puis viennent les descendants de Cham selon leur rang et leur ordre ; mais Christ est le Grand Prêtre.

Il est donc parmi les prophètes ; Il a infiniment transcendé Moïse. Il l'est parmi les rois ; « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », le bienheureux et unique potentat, dont la puissance et la splendeur les submergent tous. Et ainsi Il est parmi les bergers - le Berger en chef, l'Alpha et l'Omega, le commencement et la fin.

3. Il est également le berger en chef pour avoir donné l'exemple parfait du devoir d'un berger dans la vigilance, l'attention et l'amour. Quelles instructions il a données ; avec quelle autorité, dignité et puissance !

4. Et enfin, il est appelé berger en chef à cause de son exaltation et de sa majesté dans le monde céleste. Il a un nom au-dessus de tout nom, qu'au nom de Jésus tout genou doit fléchir.

II. L'apparition qu'il fera désormais dans la gloire ; et le mot « apparaître » indique qu'il est maintenant caché. Le Dieu de ce monde a aveuglé les yeux de beaucoup, qu'ils ne voient ni ne croient. Et comme il respecte la vision corporelle, il est aussi caché à son propre peuple ; car nous marchons par la foi et non par la vue.

1. Mais le passage devant nous parle de son apparition ; Il doit être rendu manifeste. De même que les cieux s'ouvrirent au baptême et que le Saint-Esprit descendit visiblement sous la forme et l'apparence d'une colombe, ainsi les cieux s'ouvriront désormais, et le chef des bergers apparaîtra et redescendra.

2. Et en ce qui concerne le moment de cette apparition, il est réservé dans le sein du ciel, comme un secret profond - aucun des saints anges n'est autorisé à connaître - aucun des esprits des justes rendus parfaits n'a plus d'appréhension. du temps du second avènement que vous ou moi avons.

3. Respecter le but de sa venue. Ce n'est pas enseigner, souffrir et mourir ; cela, Il l'a fait une fois, et ne le fera plus. Il viendra, dit-on, sans sacrifice pour le péché ; Il viendra accomplir la résurrection de tous les morts.

4. Et quant à la manière de l'Avent. Je suppose que tout ce qui a été vu et entendu au Sinaï, la plus grande révélation de la puissance et de la justice divines, lorsque le signe du Fils de l'homme a été vu dans le ciel et que Jérusalem a été renversée, n'est qu'un faible type et préfigure ce qui sera alors. Oh, tous les miracles, tous les prodiges de la puissance divine, qui ont eu lieu depuis le commencement du monde jusqu'à ce jour, ne seront rien au milieu de tous les miracles qui seront alors accomplis. Ce sera un jour de Dieu avec insistance, au cours duquel il verra ce que Dieu peut faire.

5. Et maintenant, que ceux d'entre nous qui sont dans le ministère sachent ce que nous devons rechercher. Il peut y avoir mépris des hommes, mais il y aura honneur de Dieu. ( J. Stratten. )

Vous recevrez une couronne de gloire . -

Le fidèle ministre

I. Je décrirai la nature, les qualifications et les fonctions du cabinet ministériel telles qu'énoncées dans le contexte.

1. Je considérerai les devoirs qu'implique cette description figurée de la charge pastorale.

(1) Il incombe à un berger chrétien de nourrir le troupeau. Et quelle est la provision dont il doit les nourrir ? Nourriture pour l'esprit et le cœur, adaptée à leur condition d'êtres rationnels, de pécheurs déchus et de créatures immortelles, la vérité telle qu'elle est en Jésus.

(2) L' inspection de l'état du troupeau est un autre devoir impliqué dans cette figure. Nous devons connaître la situation de notre peuple, les peines qui l'oppressent, les soucis qui l'embarrassent, les péchés qui l'assaillent et les difficultés qui l'embarrassent, afin que nous puissions donner à chacun « une portion de viande en temps voulu ».

(3) La protection de son troupeau est aussi le devoir du berger. Satan ne va-t-il pas perpétuellement comme un lion rugissant, cherchant qui il peut dévorer ? L'esprit du monde n'est-il pas toujours à l'affût d'une occasion de dévaster les intérêts de la piété dans nos églises ? N'y a-t-il jamais des hérésies qui rôdent dans les pâturages de la vérité ?

(4) La tendresse affectueuse est généralement associée au caractère d'un berger.

(5) Un ministre fidèle appliquera toutes ses instructions par son exemple.

2. L'apôtre énonce sous une forme négative la manière dont les devoirs de la charge pastorale doivent être entrepris et exercés.

(1) Un ministre ne doit pas prendre sur lui la surveillance du troupeau sous la contrainte, mais avec un esprit volontaire.

(2) Il nous est interdit de prendre la surveillance du troupeau à cause de l'argent sale.

(3) Un ministre chrétien ne doit pas dominer l'héritage de Dieu. Il n'a aucun pouvoir sur la conscience ; son pouvoir dans l'église est ministériel et non législatif.

II. Je considérerai sa subordination et sa responsabilité envers Christ. Ceux-ci sont sous-entendu dans l'expression « le berger en chef ». Il est inutile de dire que cela se réfère à notre Divin Seigneur. Cette épithète implique-

1. Sa supériorité sur tous les autres. Ce ne sont que des hommes de la même nature que leurs troupeaux ; Lui, dans sa personne mystérieuse et complexe, unit les gloires incréées de la divinité avec les beautés plus douces de l'homme parfait. Ce sont (dans le bon sens du terme) des pasteurs embauchés ; Il est le grand propriétaire des brebis. Ils participent aux infirmités du peuple ; Il est saint, inoffensif et sans souillure.

Ils sont entourés d'ignorance et, avec les meilleures intentions, ils s'égarent souvent dans la direction de l'église. Une sagesse infaillible caractérise toutes ses dispensations. Ils possèdent de l'affection pour leur troupeau, mais le sein le plus chaud qui ait jamais brillé d'amour ministériel est comme la zone glaciale elle-même comparée à l'amour de son cœur. Ils sont faibles et sont souvent prêts à sombrer sous les soins multipliés des offices ; mais bien que le gouvernement repose sur son épaule, il ne faiblit pas et ne se lasse pas non plus.

Ils sont mortels et ne subsistent pas à cause de la mort ; Il est le « bienheureux et unique potentat, qui n'a que l'immortalité » et règne, en tant que chef de toutes choses de son Église, non « par la loi d'un commandement charnel, mais par le pouvoir d'une vie sans fin ».

2. Cette épithète implique l'autorité du Christ. Il est, à cet égard, le berger en chef. C'est exclusivement Son droit de régner dans l'Église, de régler toutes ses affaires et tous ses officiers.

III. Tournons-nous maintenant vers la glorieuse récompense du ministre fidèle.

1. La récompense sera décernée lorsque le chef des bergers apparaîtra.

2. Mais je dois considérer en quoi consiste la récompense. « Il recevra une couronne de gloire qui ne se fanera pas. »

(1) Le chiffre implique une distinction honorable. La couronne était un emblème d'honneur. Le fidèle pasteur sera sans doute distingué au milieu des solennités du dernier jour, et occupera une place où tous les regards le verront. Il recevra un témoignage public d'approbation du chef des bergers.

(2) La félicité parfaite est évidemment impliquée dans cette description figurée de la récompense d'un ministre. La couronne de la victoire était portée les jours de réjouissances publiques, et celui qui la portait était considéré comme le plus heureux de la foule festive et le centre de la joie universelle. Il reçut les félicitations de la multitude admirative pour avoir atteint le sommet du bonheur humain. L'apôtre entendait donc inclure l'idée du bonheur parfait dans sa belle illusion. Le saint pasteur participera, en commun avec son peuple, à toutes ces félicités sublimes que le Père a préparées pour ceux qui l'aiment.

(3) La durée éternelle est attribuée par l'apôtre à l'honneur et au bonheur promis dans le texte. ( JA James. )

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