7. Mais les cieux et la terre qui sont maintenant. Il n'en déduit pas cela comme conséquence; car son dessein n'était autre que de dissiper la ruse des moqueurs respectant l'état perpétuel de la nature, et nous en voyons beaucoup à ce jour qui, légèrement imprégnés des rudiments de la philosophie, ne chassent que des spéculations profanes, afin qu'elles puissent passer eux-mêmes comme de grands philosophes.

Mais il apparaît maintenant tout à fait évident d'après ce qui a été dit, qu'il n'y a rien de déraisonnable dans la déclaration faite par le Seigneur, que le ciel et la terre seront dorénavant consumés par le feu, car la raison du feu est la même que celle pour l'eau. Car c'était un dicton commun, même parmi les anciens, que de ces deux éléments principaux tout a procédé. Mais comme il avait à voir avec les impies, il parle expressément de leur destruction.

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