Malheur à celui qui convoite une mauvaise convoitise pour sa maison - (ou, avec des accents, "qui convoite la convoitise ou un gain injuste, un mal pour sa maison.") Ce que l'homme convoite semble un gain, mais il est mauvais «pour sa maison» après lui, détruisant lui-même et toute sa famille ou race avec lui. «Pour qu'il place son nid en hauteur», comme un aigle, auquel il avait comparé la Chaldée (Habacuc 1:8. Comparez Jérémie 20:16). Un païen appelé «forteresses, nids de tyrans». Le nid a été placé «en haut», ce qui signifie aussi «ciel», comme il est dit, Abdias 1:4, "bien que tu mettes ton nid parmi les étoiles;" et la tour de Babel devait «atteindre le ciel» Genèse 11:4; et l'antéchrist, dont le symbole est le roi de Babylone, Ésaïe 14:13 dit: "J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu." Babylone couchée dans une grande plaine, sur les côtés de l’Euphrate, l’image de son nid d’aigle en haut doit être prise, non à une éminence naturelle, mais entièrement à l’œuvre de l’homme.

Ses murs et ses jardins suspendus figuraient parmi «les sept merveilles du monde». Des témoins oculaires parlent de ses murs, couvrant au moins 100 miles carrés, «et aussi grands que la terre-graviat de Hesse Homberg; ces murs, 335 ou 330 pieds de haut et 85 pieds de large; un palais fortifié de près de 7 milles de circonférence; jardins, 400 pieds carrés grecs, soutenant à hauteur artificielle un arc sur un arc, «d'au moins 75 pieds», des arbres forestiers; un temple à son dieu, qui aurait été d'au moins 600 pieds de haut.

Si nous, créatures d'un jour, n'avions personne au-dessus de nous, Nabuchodonosor se vantent d'avoir été vrais Daniel 4:3, "N'est-ce pas cette grande Babylone que j'ai bâtie pour la maison du Royaume par la puissance de ma puissance et pour l'honneur de ma majesté? Il avait construit un nid d'aigle, qu'aucun bras humain ne pouvait atteindre, entouré de murs qui riaient ses envahisseurs au mépris, que, à ce moment-là, aucune compétence ne pouvait escalader ou briser ou mienne. De même que l'on voit sur un tableau les vastes monticules qui subsistent encore, on ne peut guère imaginer qu'ils étaient, brique sur brique, entièrement l'œuvre de l'homme.

Pour être délivré de la main (prise) du mal - qu'il ne devrait pas pouvoir l'atteindre. On parle du mal comme d'une puissance vivante, qui le saisirait, dont il défierait l'emprise. C'était en effet une puissance vivante, puisque c'était la volonté de Dieu Tout-Puissant, dont Cyrus serviteur et instrument était, de châtier Babylone, quand ses péchés étaient pleins. Tel était le conseil, quel a été le résultat? La mauvaise convoitise qu'il travaillait, lui apporta le mal dont, dans ce nid construit par le dur labeur de ses captifs, il pensa se délivrer.

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