(12) Ainsi donc [cela] n'est pas de celui qui (q) veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.

(12) La conclusion de la réponse : donc Dieu n'est pas injuste en choisissant et en sauvant de sa bonté gratuite, comme il lui plaît : comme il a aussi répondu à Moïse lorsqu'il a prié pour tout le peuple.

(q) Par "volonté", il entend la pensée et l'effort du cœur, et par "courir", les bonnes œuvres, dont il ne loue ni l'une ni l'autre, mais seulement la miséricorde de Dieu.

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