For if I build again the things which I destroyed, I make myself a transgressor.

Grec: `` Car si ce que je renverse (par la foi du Christ), je les reconstruis (à savoir, la justice légale, en me soumettant à la loi), je me constitue (littéralement, je recommande) moi-même un transgresseur '' à «nous avons été trouvés pécheurs»). Au lieu de vous féliciter comme vous l'avez cherché (Galates 2:12, fin), vous vous félicitez simplement en tant que transgresseur. Le «je» est destiné à ce que Pierre prenne pour lui-même, comme c'est son cas, pas celui de Paul qui est décrit. Un "transgresseur" est un autre mot pour "pécheur" (Galates 2:17), car "le péché est la transgression de la loi". Vous, Pierre, en affirmant que la loi est obligatoire, vous vous montrez un «pécheur» en l’ayant mise de côté en vivant comme les Gentils, et avec eux. Ainsi vous êtes empêché par la transgression de la justification par la loi, et vous vous excluez de la justification par Christ, puisque par votre théorie, il devient un ministre du péché. Ellicott le comprend: «Je me montre un transgresseur des principes plus profonds de la loi en reconstruisant ce que je devrais percevoir à partir de la loi elle-même n'est que temporaire et préparatoire. Les judaïsants ont insisté sur le fait que quiconque n'observe pas la loi est un transgresseur; Paul montre, au contraire, que celui qui s'en tient à la loi est un transgresseur de la loi elle-même, comme prévu pour conduire à la foi en Christ. Le "pour je", etc. (Galates 2:19), est donc de confirmer cette assertion. Mais la correspondance de "je me fais transgresseur" (Galates 2:18) avec "nous sommes trouvés pécheurs" (Galates 2:17), corrige l'ancienne explication; aussi l'absence de "la loi" (Galates 2:18), ou de tout équivalent défini, est contre Ellicott.

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