For I am not ashamed of the gospel of Christ: for it is the power of God unto salvation to every one that believeth; to the Jew first, and also to the Greek.

Car je n'ai pas honte de l'Évangile [du Christ]. Ces mots entre crochets sont clairement un ajout au texte authentique, comme presque tous les critiques sont d'accord. [On ne les trouve que dans K L D *** (un correcteur datant du 9ème ou 10ème siècle), plusieurs cursives et quelques versions tardives; mais manquant dans 'Aleph (') ABCD * EG, un certain nombre de cursives, certaines des principales copies du vieux latin, la Vulgate et les deux versions syriaques, et les principaux pères.] La langue implique qu'il fallait du courage pour apporter à «la maîtresse du monde» ce que «pour les Juifs était une pierre d'achoppement, et pour les Grecs la folie». Mais sa gloire intrinsèque, en tant que message de Dieu qui donne la vie à un monde mourant, remplit tellement son âme que, comme son bienheureux Maître, il «méprisa la honte».

CAR C'EST LA PUISSANCE DE DIEU POUR LE SALUT DE TOUT CE QUI CROIT; au Juif d'abord, et aussi au Grec. [Il n'y a pas de raison suffisante pour mettre entre parenthèses prooton (G4412), comme le fait Lachmann; car la preuve de son authenticité est décisive.] Ici, et dans Romains 1:17, l'apôtre annonce le grand thème de son argument suivant, dont la substance est, SALUT (le une nécessité écrasante d'hommes qui périssent) INCORPORÉE DANS UN MESSAGE DE DIEU AUX HOMMES (afin que chaque auditeur puisse être assuré qu'il y entend le message de Dieu à lui-même), CE QUE TOUTES LES CRÉDITS TROUVENT ÊTRE LA PUISSANCE DE DIEU POUR SON PROPRE SALUT : le Juif d'abord (à qui, en raison de son ancien statut, le message doit être porté en premier), mais aussi le Grec.

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