Jacques a écrit aux chrétiens au milieu de la tentation et de l'épreuve. Il montra d'abord que le problème des tests est qu'ils "peuvent être parfaits et entiers, sans rien manquer". Il doit donc être considéré comme un moyen de bénédiction et reçu avec joie. Il a clairement souligné que Dieu n'est jamais l'auteur de la tentation en tant que tentation vers le mal, et dans un passage plein d'une force remarquable, il a révélé le processus d'une telle tentation. C'est un appel par le désir à un besoin de vie parfaitement légitime, mais suggère sa réalisation de manière illégitime. Si une telle tentation est rejetée, la victoire est remportée.

Jacques a montré que la Parole de Dieu est la forteresse de la foi pour affronter la tentation. Par conséquent, la Parole doit être reçue "avec douceur". L'homme qui subit la tentation est celui qui, examinant la loi de la liberté, y continue.

Cette action traitant de l'effet de la foi sur la tentation se termine par un contraste remarquable entre le faux et le vrai dans la religion. Le mot « religieux » n'apparaît ici que dans le Nouveau Testament, et c'est un mot assez remarquable. Il indique toutes sortes d'observances externes et, à cet égard, contraste directement avec l'expression « religion pure ». Dans toute religion pure, le fait le plus profond est la reconnaissance de la relation à Dieu, et cela s'exprime dans la compassion, qui pousse les hommes à entrer en contact avec ceux qui sont dans l'affliction et la consécration, ce qui les maintient intacts du monde.

Toute la section nous enseigne que la tentation n'est pas de Dieu, mais que dans l'économie divine elle est annulée pour le bien du saint.

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