Après ce rapide tour d'horizon du passé, l'écrivain lance son grand appel. C'est que nous "considérons Lui" qui est "l'Auteur et le Perfecteur de la foi".

Les derniers appels de l'épître se divisent en quatre sections. Dans les deux premiers, les causes de l'affaiblissement de la foi sont reconnues (versets Hé 12:4-17). Dans le troisième, nous avons une déclaration incarnée des arguments d'encouragement (versets Hé 12:18-24), et, enfin, nous avons le dernier appel et avertissement (versets Hé 12:25-29).

Abordant leur souffrance, l'écrivain leur a plutôt rappelé qu'ils n'avaient pas encore « résisté jusqu'au sang ». En jetant un coup d'œil au passage, nous remarquons ces mots, "châtier", "châtier", "châtier", "châtier", "châtier", "châtier", "châtier", "châtier". La répétition du mot est l'insistance sur la reconnaissance d'un principe. Il suggère la discipline qui est une méthode de paternité et, bien qu'un processus douloureux, un moyen d'atteindre une fin glorieuse.

Une autre cause d'échec peut être les différends ou les différends, d'où l'injonction de « rechercher la paix... et... la sanctification ». Le maintien de la paix dépend toujours de la réalisation de la sanctification dans l'expérience.

L'écrivain expose graphiquement le contraste entre l'ancienne et la nouvelle économie afin de renforcer une foi qui peut vaciller. L'ancienne était pleine de majesté, comme le prouvent les phrases descriptives ; mais ceux qui croient en Christ ne sont pas venus à ces choses, mais plutôt au mont Sion, et au royaume de la réalisation spirituelle.

L'exhortation ultime de l'épître se produit alors. L'épître commençait par une déclaration que Dieu avait parlé, et maintenant l'auteur dit : « Veillez à ne pas refuser celui qui parle.

Continue après la publicité
Continue après la publicité