« Réponds-moi quand j'appelle, ô Dieu de ma justice,

Vous m'avez mis en liberté quand j'étais en détresse.

Ayez pitié de moi et écoutez ma prière.

Le psaume commence par la prière. L'écrivain est reconnaissant que, lorsqu'il était en détresse, Dieu l'en ait délivré et l'ait mis « en liberté ». Il l'avait sorti de sa détresse à la fois physique et spirituelle et lui avait donné la liberté, à la fois extérieurement et intérieurement. Cela correspondrait bien au fait que David était maintenant délivré de la source initiale du danger imminent. Maintenant, il prie pour qu'une miséricorde continue lui soit manifestée, en réponse à sa prière.

'O Dieu de ma justice.' Le Dieu juste est la source de sa justification et son défenseur. C'est le Dieu juste qui l'a accepté comme juste par le pardon et lui permet de marcher dans la justice. Ainsi, sa conscience peut être claire grâce à la grâce de Dieu.

Le chrétien a une joie tout aussi grande. Il peut dire que Christ a été fait pour lui justice, que nous avons été « faits justice de Dieu en lui » ( 1 Corinthiens 1:30 ; 2 Corinthiens 5:21 ).

'Ayez pitié de moi.' Ceci est signifié dans le sens de 'montre ta bonté envers moi' (voir Exode 34:6 ). Il cherche à ce que Dieu continue d'agir en son nom en réponse à sa prière.

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