Le chant funèbre sur la chute d'Israël. C'est un passage difficile et corrompu, jouant sur les noms de villes et de villages qui sont choisis pour leurs assonances ou leurs suggestions menaçantes, d'une manière impossible à traduire ; cf. mg. pour Aphra et Achzib. Voir la carte de GA Smith pour Shaphir, Mareshah, Lachish et Adullam, les autres sites étant inconnus. Ne dis pas nos peines aux Philistins ( cf.

2 Samuel 1:20 ; Gath était probablement proche de Ekron) ou aux ciens (lecture phoe, après LXX, à Acco, à savoir Ptolemais, pour tout) Les villes du Shephelah sont ensuite dépeints de diverses façons dans leurs peines pendant le déroulement de l'envahisseur ( cf. Ésaïe 10:28 ); leurs habitants se vautrent par terre, sont conduits en captivité, enfermés, font raser leur ville (Beth-ezel ; texte obscur) attendent avec impatience des nouvelles, se préparent à fuir en chars, se rendent (Sion doit abandonner sa fille, Moresheth-Gath, avec un cadeau d'adieu i.

e. une dot de mariage; cf. 1 Rois 9:16 ), devenu comme un ruisseau qui manque (Achzab, Jérémie 15:18 ), passer en possession de l'ennemi, abriter des chefs fugitifs (la gloire d'Israël dans la grotte d'Adullam; cf. 1 Samuel 22:1 F.

). Que Sion porte alors le deuil de ses villes-filles perdues, le crâne rasé ( Amos 8:10 ; Deutéronome 14:1 ; le cou et la tête du vautour fauve, Michée 1:16mg.

, sont sans plumes). Une grande partie de ce chant funèbre est incertaine ou inconnue, par exemple la référence à Lakis ( Michée 1:13 ), comme le début du péché de la fille de Sion, pour expliquer que l'idolâtrie et la dépendance politique à l'égard de l'Égypte ont été suggérées.

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