Israël est une vigne vide - Ou, dans le même sens, «une vigne luxuriante»; littéralement, «celui qui se verse», se verse dans les feuilles, abondant en interrupteurs, (comme l'expliquent la plupart des anciennes versions), luxuriant en feuilles, se vidant en eux et vide de fruits; comme le figuier, que notre Seigneur maudit. Car plus un arbre fruitier met sa force dans les feuilles et les branches, moins il porte de fruit et le pire. : "Le jus qu'il doit transmuter en vin, il se disperse dans l'ambitieux spectacle oisif des feuilles et des branches." La sève dans la vigne est un emblème de son Saint-Esprit, par qui seul nous pouvons porter du fruit. «Sa grâce qui était en moi», dit Paul, «n'a pas été vaine.» C’est en vain pour nous que nous gaspillons les émotions de l’Esprit de Dieu en sentiments, aspirations, désirs, transports, «qui fleurissent leur heure et s’évanouissent». Comme les feuilles, ces sensations aident à mûrir les fruits; lorsqu'il n'y a que des feuilles, l'arbre est stérile et «proche de la malédiction, dont la fin est d'être brûlé» Hébreux 6:8.

Il porte du fruit pour lui-même - Littéralement, «donne du fruit sur lui-même ou sur lui-même». Luxuriant dans les feuilles, son fruit devient sans valeur, et est de lui-même à lui-même. Il est inculte; (car Israël a refusé la culture) se déversant, comme il le voulait, dans ce qu'il voulait. Il y avait un riche spectacle de feuilles, un spectacle aussi de fruits, mais pas pour le Seigneur de la vigne, car ils ne sont venus à aucune taille ou maturité. Pourtant, au regard superficiel, il était riche, prospère, sain, abondant en toutes choses, comme l'était l'état extérieur d'Israël sous Joas et Jéroboam II.

Selon la multitude de ses fruits - Ou plus strictement, «à mesure que son fruit se multipliait, il multipliait les autels; comme sa terre a été restaurée, ils ont bien fait leurs images. Plus Dieu leur accordait de prospérité extérieure, plus ils abusaient de ses dons, les renvoyant à leurs idoles; plus Dieu leur accordait sa miséricorde, plus ils adoraient leurs idoles. La surabondance de la bonté de Dieu est devenue l’occasion de la surabondance de leur méchanceté. Ils rivalisaient et rivalisaient avec et surpassaient la bonté de Dieu, de sorte qu'Il ne pouvait leur accorder aucun bien, qu'ils ne transformaient pas en mal. Les gens trouvent cela étrange. C'est étrange, comme toute perversion de la bonté de Dieu; c'est pourtant le cas maintenant. Les péchés des gens sont soit l'abus de ce que Dieu donne, soit la rébellion, parce qu'Il retient. Dans les péchés de prospérité, de richesse, de santé, de force, de facultés d'esprit, d'esprit, les gens pèchent d'une manière dont ils ne pourraient pas pécher, à moins que Dieu ne leur fournisse continuellement les dons qu'ils transforment en péché. Plus Dieu donne, plus ils ont l'occasion et la capacité de pécher, et plus ils pèchent. Ils sont «mauvais», non seulement en dépit de la bonté de Dieu, mais «parce que» Il est bon.

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