1 Samuel 11

Confirmation de Saul dans le Royaume (1Sa 11: 1-15; 1 Samuel 12:1.).

EXPOSITION.

La défaite des Ammonites ( 1 Samuel 11: 1-9 ).

1 Samuel 11:1, 1 Samuel 11: 2 .

Nahash l'ammonite. Le même nom est trouvé dans 2 Samuel 10:2 comme celui du père de Hanun, qui a traité des ambassadeurs de David tellement honteusement et ils signifient probablement la même personne. Il a dit qu'il a fait preuve de gentillesse à David; et comme nous lisons dans 2 Samuel 17:25 cet abigal (donc l'hébreu, pas Abigail comme l'âge d'Av; qui était la femme de David), la mère d'Amasa, était la fille de Nahash et comme Abigal Était la soeur ou une demi-soeur de Zeruiah, tante de David, il semble y avoir eu des relations entre eux. Les Ammonites étaient de vieux ennemis des Israélites, alléguant qu'Israël avait pris possession d'un territoire à l'est du Jourdain qui leur appartenait à juste titre (Juges 11:13); Mais après sa défaite de Jephthah, leur pouvoir était tellement brisé qu'ils ont permis à un siècle de s'écouler avant de se rister pour affirmer leur revendication. Nahash, apparemment après d'autres invasions (1 Samuel 12:12), attaque désormais Jabesh-Gilead, une ville de la demi-tribu de Manasseh, qui avait été traitée cruellement par les Israélites ( Juges 21:10 ), mais apparemment avait retiré de ses ruines. Ses habitants étaient toujours disposés à soumettre à la règle de l'ammonite; Mais Nahash ne leur accordera pas d'autres termes que ceux qu'ils devraient le laisser pousser à l'hébreu, portait tous leurs yeux à droite, pas d'une dépite particulière contre eux, mais comme une insulte à tous Israël. Aucune meilleure preuve ne pouvait être donnée de la désorganisation de la nation que celle d'une petite despote devrait s'aventurer pour lui montrer son mépris pour elle si offensante.

1 Samuel 11:3.

Les aînés qui gouvernent la ville ne savent rien d'un roi qui a été nommé, ils n'envoient pas non plus à Samuel pour lui demander, comme le juge, de les protéger; mais ils demandent un répit de sept jours, qu'ils peuvent envoyer des messagers à toutes les côtes d'Israël, et Nahash, se sentant sûrement qu'aucune action combinée ne serait le résultat, cela accorde leur demande, que c'est que Israël est loin et large pourrait connaître son triomphe .

1 Samuel 11:4, 1 Samuel 11:5.

Parmi d'autres endroits, les messagers sont venus à Gibeah de Saül, où ils ne lui font aucun appel, mais racontent leurs mauvaises nouvelles aux oreilles de toutes les personnes. Impuissant à l'aide, ils ne peuvent que pleurer; Mais au milieu de leur lamentation, Saül est venu après le troupeau (hébreu, suivant les bœufs) hors du champ. Saul ne conduisait pas de troupeau de bétail à la maison, mais crache et, la main-d'œuvre étant terminée, revenait avec l'équipe de bœufs.

1 Samuel 11: 6 .

Et l'esprit de Dieu est venu sur Saul. Plutôt, descendue puissamment sur Saul (voir 1 Samuel 10: 6 ). Aucune influence miraculeuse n'est ici signifiée; Bien plus plein de sens et de piété, la leçon est donc constamment enseignée dans le livre des juges, que tous les actes puissants et nobles viennent de Dieu (Juges 3:10; Juges 6:34; Juges 11:29; Juges 13:25; Juges 14:6;Juges 15:14, etc.). Même les païens ont vu l'enthousiasme quelque chose de divin, car cela signifie que l'avoir Dieu dans l'intérieur. L'énergie avec laquelle Saul a agi était strictement naturelle, mais aussi aussi divine; Et c'est un signe de l'irréligion des journées modernes qu'il peut voir et entendre des réalisations super et héroïques et n'en attribuer aucune partie à Dieu. A la période de Samuel et des juges, toute la gloire de tels actes a été attribuée à Dieu. Mais également maintenant, chaque fois que les hommes sont déplacés vers des actes nobles, c'est «le souffle de Dieu» qui les descends et les inspire.

1 Samuel 11:7.

Agissez ensuite avec enthousiasme divin, Saul a coupé en morceaux un joug de bœufs et les a envoyés sur toutes les côtes d'Israël par les mains des messagers. Pour un acte similaire, voir Juges 19:29. Saul a probablement coupé les bœufs en douze morceaux et envoyé un à chaque tribu, avec la menace que, en cas de désobéissance, leurs bœufs seraient traités de la même manière. La menace était modérée en ce sens qu'elle n'a pas touché leur personne, mais grave en ce qui concerne leur propriété, le bœuf travaillant étant un ami fidèle et serviteur de l'homme. Il est également important de noter que Saul parle non seulement de son propre nom, mais également de Samuel. C'est comme l'homme choisi de Jéhovah d'être roi par la voix de son prophète qu'il a agi, et comme une autorité légitime; Et il semble également que Samuel soit allé avec lui en personne à la guerre ( Juges 19:12 ). Et le résultat a répondu à l'énergie avec laquelle Saül a agi, pour la peur de Jéhovah - ou plutôt "une terreur de Jéhovah" -fell sur le peuple, et ils sont sortis avec un consentement, ou, comme cela est rendu beaucoup plus correctement et de force dans la marge "comme un homme". United par le pouvoir royal, c'était une nation qui s'est levée pour défendre l'un de ses membres blessés.

1 Samuel 11:8.

Il les a numérotés à Bezek. Cet endroit était dans la tribu d'Issachar et doit être distingué de celui mentionné dans Juges 1:3, Juges 1:4, qui était à Juda, et trop éloigné de la scène des opérations. Et ici Saul apparaît comme le commandant en chef; Pour la numérotation comprenait la formation de bataillons, disposée en milliers, de centaines et de la cinquantaine, ainsi que les officiers de réglage sur eux. Ceux-ci étaient naturellement les principaux hommes de chaque district. Le résultat serait que, venant à Bezek, le rendez-vous nommé, une multitude désordonnée, ils le laisseraient comme une armée arrangée dans l'ordre, et Saul, dans les nombreuses difficultés qui surgiraient, aurait sa première occasion de montrer ses pouvoirs de ses pouvoirs de commander. Enfants d'Israël, ... Hommes de Juda - la distinction qui s'est terminée dans la perturbation de la nation. Juda, aussi avec ses 30 000 hommes, n'est que mal représenté, ni une explication suffisante du petit nombre qui est venu que la tribu avait assez de faire à la maison pour faire la tête contre les Philistins. En fait, Juda se distinguait toujours jusqu'à ce qu'il y ait un roi qui lui appartenait. Ensuite, dans le temps de David, il a d'abord pris un intérêt actif dans le bien-être national et c'était son vaste pouvoir et son chiffre qui l'a rendu si puissant. Si les Philistins avaient été aussi presque maîtrisés par les Philistins, il ne pouvait plus avoir soudainement ressuscité avec une puissante qui a bien fait une allumette à tous les autres.

1 Samuel 11:9.

Demain, à cette époque, le soleil est chaud. Comme Bezek, Bezek se trouve à environ vingt milles de Jabesh-Gilead, Saul ferait probablement la majeure partie de la route de ce soir-là, puis de s'arrêter pour la nourriture et le sommeil, continuerait à avancer tôt le lendemain matin.

1 Samuel 11:10.

Demain nous allons vous sortir. Cela était apparemment destiné à jeter les ammonites de leur garde, car ils supposaient que les hommes de Jabesh-Gilad avaient abandonné tous les espoirs de la délivrance.

1 Samuel 11:11.

Ils sont venus.; dans la montre du matin. Par une mars forcée, Saül est venu sur les ammonites sans méfiance juste avant le lever du jour, quand le sommeil est le plus profond; Et comme son hôte était difficile à manier, il l'a arrangé dans trois divisions, affectant à chaque route différente, qu'ils ne vous empêchent pas sur le chemin et pourraient également couper la retraite de l'ennemi. Comme les combats continuèrent pendant cinq ou six heures, jusqu'à la chaleur de la journée, les ammonites doivent d'abord avoir une certaine résistance; Mais lorsque les trois divisions de l'armée de Saul était venue, ils étaient tellement acheminés que "pas deux d'entre eux n'ont été laissés ensemble.".

1 Samuel 11:12 , 1 Samuel 11:13.

Les gens ont dit à Samuel. Même après cette victoire glorieuse, les gens se tournent vers Samuel, et sans doute sa présence et sa influence avaient beaucoup de poids pour gagner obéissance au commandement de Saul (1 Samuel 11:7). Ils sont maintenant, avec la vieille violence tumultueuse, demande que ceux qui s'était opposé à l'élection de Saul devraient être mis à mort. Les rondeurs des adversaires de Saul étaient probablement certains des cidres déçus de ne pas être choisis (voir sur 1 Samuel 10:27). Mais Saul affiche, d'abord, la vertu de la clémence royale, en disant, il ne doit pas être mis à mort cette journée - une décision politique aussi généreuse que pour la sanguelle n'aurait conduit qu'aux querelles futures; et, deuxièmement, la piété, en attribuant si humblement à Jéhovah le salut qui avait été travaillé en Israël.

Saul consacré solennellement comme roi ( 1 Samuel 11:14 , 1 Samuel 11:15).

1 Samuel 11:14.

Allons à Gilgal. Le célèbre sanctuaire ( 1 Samuel 7:16 ) de ce nom, situé dans la vallée de la Jordanie, près de Jericho. Ce n'était pas loin de Jabesh-Gilead, et naturellement, l'hôte victorieux se déplacerait du champ de bataille à la place religieuse la plus proche pour consacrer leur roi.

1 Samuel 11:15.

Ils ont fait Saul King. Cela ne doit pas être interprété, avec la Septante, d'une seconde onction de Saul, mais de sa confirmation dans le royaume par la voix unanime de la nation, alors que la première élection de lui à Misciha avait rencontré une opposition. Avant Jéhovah. C'est à dire. avec des cérémonies religieuses menées par Samuel et le grand prêtre. La différence entre les élections de Saul à la mizpah et la confirmation de celle-ci à Gilgal est à peu près la même chose qu'entre la première proclamation ou «un roi et son coronation. Ce dernier est la reconnaissance de sa souveraineté de la nation et la consécration solennelle de lui à son haut bureau. Les offrandes de la paix étaient des jetons de joie et de gratitude et ont été suivis d'un festin. A cet égard, il y avait une grande réjouissance, car le roi qu'ils avaient souhaité s'étaient aussi vite prouvés comme digne d'être leur tête.

HOMÉLIE.

1 Samuel 11:1.

Le pouvoir relatif du mal et, bien.

Les faits sont-

1. Les ammonites, à la poursuite de l'entreprise organisée précédemment (voir 1 Samuel 12:12; cf. 1 Samuel 8:5), menacez Jabesh -Gilead.

2. Les habitants de la terreur cherchent à faire une alliance avec leur ennemi.

3. Ceci étant refusé insolemment, un répit de sept jours est accordé, au cours de laquelle une aide extérieure doit être recherchée. Le récit est évidemment conçu pour tracer les circonstances dans lesquelles les insinuations de mécontentement et de base des "hommes de la Beliale" ( 1 Samuel 10:27 ) ont été pratiquement démontrées pour être sans fondement. C'était une guerre de vengeance entreprise par le fort contre les faibles et les faits dans son ensemble énoncent trois vérités importantes d'intérêt général.

I. Le mal est fort relativement à la fidélité ou à l'infidélité du peuple de Dieu. Ammon était l'ennemi ancestral d'Israël ( Deutéronome 23: 4 ; Juges 11: 4 ). La prospérité d'une semblait incompatible avec celle de l'autre. Lorsque, sous la direction inspirante de Jephthah, les Ammonites étaient totalement frappés, leur force a été amenée à ses proportions appropriées. Israël a poursuivi ses fidèles dans l'amélioration des privilèges qui jouissaient de la race choisie, leur force morale et politique aurait progressé proportionnellement en harmonie avec les promesses données par Moïse ( Deutéronome 28: 1-5 ). La position relative des représentants du bien et du mal avait entièrement changé lorsque Nahash en fierté de la force menaçait Jabesh-Gilead. Même la réforme partielle effectuée par Samuel n'avait pas encore placé Israël au-delà de la peur des ennemis bien organisés. Le peuple de Dieu est fort quand saint, vrai et diligent dans l'utilisation des avantages de leur position. La vérité ainsi enseignée est illustrée par l'histoire de l'église, dans la société moderne, dans la vie privée et la vie domestique.

1. L'histoire de l'Église témoigne que l'énergie du mal et de sa gamme ont été proportionnées à la fidélité de l'Église à sa grande mission en tant que cerf de la vérité et témoin de Dieu pour Christ chez les hommes. Les Ammonites ont multiplié, deviennent insolents et ont réveillés la peur que lorsque l'Israël chrétien a perdu leur premier amour et n'a pas permis de garder leurs vœux solennels.

2. La société moderne estime que la croissance du mal est une autre forme de grâce spirituelle affaiblie. Il peut y avoir, dans la sphère invisible des "principautés et pouvoirs spirituels", lorsque des efforts énergiques spontanés sont faits pour surmonter l'influence de l'Évangile. Mais parler de la croissance portumeuse de l'ignorance spirituelle, de ne pas tenir compte de la religion, de l'infidélité et du vice ouvert, en particulier dans de grands centres de population, n'est qu'un autre moyen de dire que les adeptes professées du Christ n'ont pas été aussi sérieuses et unies dans des efforts. Il leur aurait-il d'être. Il est dans la nature de la lumière de se débarrasser des ténèbres, de sel pour éliminer la corruption. Le grave problème de l'âge peut nécessiter de nombreux éléments-sociaux, sanitaires, éducatifs, politiques-pour sa solution, mais les hommes estimant que l'exigence principale est une puissance spirituelle plus élevée chez les chrétiens.

3. Dans la vie privée et domestique, le pouvoir du mal dépend de la fidélité personnelle de ce que Dieu a donné et imposé. Les restes du péché de notre nature perdent la force dans la mesure où nous cherchons fidèlement du nettoyage par l'intérieur de l'Esprit et gardez une main forte sur le premier soulèvement de l'impiesse. La force de la tentation externe diminue dans la mesure où notre sainteté de culture de la disposition le fournit sans affinité. Et comme la vie domestique n'est que la première forme sociale de la vie cultivée en privé, ses maux spirituels deviennent formidables ou faibles dans la mesure où l'âme est fidèle à son Dieu.

II. Les dangers issus de la croissance du mal peuvent induire le recours à la véritable source de délivrance. Les dangers menaçant Jabesh-Gilead Sprang de l'action d'une loi spirituelle. Israël n'avait jamais été en véritable péril pendant aucune des saisons d'obéissance à Dieu. Dans le cas présent, le danger, qui a été traduit par un train de défections tristes dans les années passées, était très réel et devenait si pressant que, dans le désespoir total, les gens tournent leurs pensées vers le roi. Les misères résultant des péchés passés ont suscité un cri pour le chargeur légal. C'était l'un des résultats de la réforme partielle. On gagne beaucoup lorsque les hommes sont poussés à avoir recours aux agences et aux sources de pouvoir que Dieu a expressément ordonnée pour leur aide. Il y a des illustrations de cela dans la vie.

1. L'âme est souvent entraînée, en désespoir de l'aide du Christ. Les hommes se réveillent au fait que la destruction les attend. Le cri de Jailour à l'apôtre Paul a été répété par milliers. Le péché et le jugement sont des réalités terribles. Mais souvent, les hommes, lorsqu'ils sont opprimés de peur de devenir malheureux, s'efforcent de trouver un soulagement de divers expédients. Enfin, la moitié du désespoir et la moitié de l'espoir, ils se tournent vers lui qui est l'oint d'être l'un pour assurer la rédemption en Israël.

2. Dans le conflit spirituel, un sentiment de besoin impose à une utilisation du SIDA divin. Certains hommes, confiant trop librement à la simple sagesse humaine, trouvent que la catastrophe vient dans le conflit chrétien. Les principes deviennent progressivement plus faibles et il y a un risque de perte de place dans le Commonwealth of Israël; Mais après une expérience amère, ils se souviennent et reconnaissent les moyens de défense et de liberté. Lassé, triste, conscient de l'incapacité à faire face à l'ennemi, ils cherchent une communauté de plus près avec Christ et une utilisation plus sérieuse de l'épée de l'Esprit.

3. L'église moderne est motivée par la pure ampleur des dangers sociaux pour avoir recours plus pleinement le traitement radical de tous les maux - l'Évangile. Les chrétiens réfléchis ne voient pas de simples réformes sociales et arrangements sanitaires, ni des découvertes scientifiques, devront arrêter les vrais dangers de la nature humaine. Le mal est génial, les risques désespérés; L'Évangile complet, présenté avec toute l'énergie et l'auto-déni de refus et d'amour que l'esprit chrétien peut faire appel, est le seul moyen de la délivrance spirituelle. Le matériel et le social suivront. Quels que soient les autres, l'Église doit être mise en zèle apostolique sur les anciennes lignes d'action.

III. Les événements dans l'ordre naturel de la Providence donnent une opportunité pour la justification des serviteurs de Dieu. Il est instructif de noter combien de longues lignes d'événements complexes et de la garantie de la garantie, convergent dans la sécurisation du roi oint une occasion de répondre aux impérations et aux insinuations d'hommes désaffectés. La croissance du pouvoir de l'Ammone pour le mal résultant de la défection religieuse d'Israël et la réforme progressive de certaines années progressent depuis quelques années en Israël, dans toutes leurs épreuves subsidiaires, occasion créée pour un appel à Saul. Il "tenait sa paix" quand des "hommes de la Beliale" ont été révélés, mais la Providence travaillait en son nom. Il y a des "roues dans des roues". Le même ordre se passe jamais. La vie terrestre du Sauveur et la résurrection ultérieure est une affaire à l'autre. Les hommes justes, dont les motivations ont été mal interprétés et des personnages malignés se sont engagés en silence à Dieu et il a apporté leur "justice comme la lumière" et leur "jugement comme le midi". Et, en outre, tous les événements convergent à la défense de la revendication du Christ d'être roi des rois et du seigneur des seigneurs.

Considérations générales:-

1. Quelles peuvent être les causes spéciales du progrès relatif de l'irrologie dans différentes localités?

2. Dans quelle mesure la prévalence de l'irrologie et des influences défavorables à l'Évangile sont traçables à l'infidélité de l'Église depuis des générations et de la meilleure façon de lutter contre l'effet de cette infidélité historique sur l'esprit public.

3. Dans combien de façons professant chrétiens s'efforcent parfois de compromettre avec leur ennemi naturel?

4. Quelles possibilités la providence est-elle naturellement ouverte pour la justification de notre revendication personnelle d'être de véritables serviteurs du Christ?

1 Samuel 11: 4-9 .

Le cadeau de perfectionnement.

Les faits sont-

1. Le message apporté à Gibeah jette les habitants dans le chagrin et la consternation.

2. Saul, en entendant les nouvelles, est suscité par l'Esprit de Dieu pour appeler la nation pour le suivre et Samuel.

3. Les personnes qui répondent à l'appel, l'aide est assurée aux hommes de Jabesh.

4. Le résultat est la défaite totale des ammonites. L'effet de l'appel des hommes de Jabesh sur le peuple de Gibeah, à Saul, puis sur le conflit avec l'ennemi, fait ressortir trois vérités de la gamme plus large que l'instance particulière enregistrée.

I. Une appréciation imparfaite des ressources placées dans leur portée des comptes pour certains des ennuis des hommes. "Les gens ont soulevé leurs voix et pleuraient." Leurs cœurs se sont écartés en eux; La ruine de Boding de Jabesh était le précurseur de leur propre. Cette conduite a été l'effet d'une non-appréciation de la position qu'ils ont ensuite tenu sous la prise en charge de Dieu. Avaient-ils dûment considéré la signification du retour de l'arche, la valeur de la réforme déjà inaugurée et les leçons de l'histoire (Juges 7:7), ils devaient avoir vu qu'un appel à Leur roi approuvé par Dieu, dans une humble dépendance à Dieu, aurait en quelque sorte sauvé leurs frères de Jabesh. Les hommes de tous âges ont perdu beaucoup de bons et ont apporté beaucoup de misère en tenant compte de manière adéquate les ressources mis en leur pouvoir.

1. La Terre, l'air et la mer ont été depuis des siècles à des trésors de Dieu pour l'utilisation de l'homme; Il y a des pouvoirs de guérir, d'accomplir le travail, de promouvoir le matériel matériel et domestique de tous. La négligence ou l'oublie de leur présence pour les générations privées d'hommes de bénédictions physiques considéraient maintenant par des riches et des pauvres. Sans doute d'autres ressources sont à portée de main, si seulement nous les apprécions dûment appréciées et les recherchées de la bonne manière.

2. Dans la Constitution humaine, il existe des pouvoirs précieux qui, dans des instances sans nombre, ne sont pas dûment considérés et développés. Les facultés sont dormantes qui pourraient contribuer à la richesse, à la culture et au confort du possesseur et de la société. La perte matérielle et intellectuelle au monde des pouvoirs non développés est énorme. Les résultats occasionnels de l'éducation ne révèlent que l'ampleur de notre privation de bien possible.

3. Dans le chrétien, il y a des cadeaux de l'esprit pas suffisamment agité. Dans les dons ordinaires de l'Esprit, il y a généralement une réserve de pouvoir dépassant l'effort proposé. En maintien du conflit avec le péché et de faire des actes d'amour plus pourrait être accompli par une estimation appropriée et une utilisation de ce qui habite déjà dans l'âme renouvelée.

4. Dans le pouvoir réservé de Dieu, dépend de son exercice sur la prière de la foi, un vaste magasin de bénédiction n'a pas été touché. L'énergie divine n'a pas été dépensée. En grande partie, dans le cadre des progrès du royaume du Christ, il dépend de son écoulement sur les prières fervents efficaces de ses serviteurs. Nous devons le prouver, qu'il ne puisse pas ouvrir les fenêtres du ciel et verser une bénédiction.

5. Dans la provision pour le renouvellement et le pardon des plus coupables, une ressource n'est pas toujours appréciée. De nombreux hommes continuent de porter leur culpabilité et de céder aux impulsions d'une nature dépravée, car ils oublient ou ne considèrent pas dûment que ceux qui se dressent avec eux puissants pour sauver. N'avaient-ils mais vraiment "connaître le don de Dieu et qui c'est" qui leur parlent de salut, ils ne iraient pas, tristes et fatigués, et qui leur demanderaient, mais il leur donnerait "eau vive.".

II. Il y a un cadeau de perfectionnement de Dieu requis pour se développer et se tourner vers le meilleur compte beaucoup d'autre que Dieu. Saul était déjà un homme puissant, choisi par la nation et reconnu par Dieu comme roi. Il a été doté de capacités prérogatives et latentes. Les nouvelles qui ont causé des lamentations parmi les hommes de Gibeah en raison de leur non-appréciation de leur véritable position étaient l'occasion d'un affichage remarquable de courage et d'énergie de la part de Saul, et que «l'esprit de Dieu» est venu sur lui. Quelle que soit la nature précise de ce don plus élevé, son effet pratique était d'établir tout ce qui était dans l'homme et le roi, et de permettre aux pouvoirs déjà accordés aux avantages d'Israël. Il a perfectionné tout le reste fait pour Saul. Il y a une relation de dépendance dans les bénédictions que Dieu vous donne sur nous. Certains sont venus au développement complet uniquement lorsqu'ils sont alliés avec un autre, ce qui peut donc être appelé un bien plus élevé. L'énergie physique de la défaite d'Ammon se pose en Israël. Le don de Saul a tout tourné dans la victoire. La même relation est vue parmi nous; par exemple. La richesse matérielle est une aubaine pour ne pas être méprise, souvent le don de Dieu; Mais pour son développement complet et son plaisir, il a besoin d'un autre cadeau de la santé du corps et de la générosité de l'esprit. De grandes capacités mentales sont de Dieu; Le don supplémentaire d'un dévou, un esprit faible, assure son utilisation la plus parfaite. La maison ornée et enrichie par tout ce que la richesse, l'art et l'affection nationale peuvent contribuer est une précieuse bénédiction; Pourtant, ses joies sont plus complètes et variées, ses affections plus pures et ses chagrins plus endurables, lorsque la bénédiction supérieure de la religion personnelle est suprême. Les privilèges extérieurs de la religion, utilisation gratuite de la Parole de Dieu, d'instruction et de soins des parents pieux, des associations du sanctuaire, des entrées des pasteurs et des amis, sont parmi les plus grandes mercies appréciées par les hommes; Pourtant, même ceux-ci sont élevés à leur valeur la plus élevée que lorsque le Saint-Esprit descend, comme "Haute-et-Néant Springs" pour arroser la "terre sud".

III. Dieu effets parfois ses objectifs chez les hommes par des actions indirectes sur eux. Dans la réalisation des objectifs divins, dans les domaines physique, mental ou spirituel, une variété de combinaisons sont souvent nécessaires. À la délivrance de Jabesh-Gilead, il était nécessaire d'éveiller les gens aussi bien que le roi. C'est par l'énorme énergie du roi, suscitée par l'action directe de l'Esprit de Dieu, que leur coopération instantanée a été assurée. La loi d'action indirecte prévaut largement. Que l'éternel est en contact direct, constant et énergétique avec chaque étant certain. Il "confirme toutes choses par la Parole de son pouvoir." Pourtant, si la langue peut être tellement utilisée pour indiquer un mystère, l'importation de son énergie sur les hommes n'est pas toujours immédiate. L'énergie d'un esprit agissant sur un autre est, pour ainsi dire, une réfraction d'une force à l'origine en Dieu et colorée par le caractère du milieu à travers lequel elle passe. Il y a beaucoup d'illustrations de la vérité générale de l'action indirecte.

1. Dans la sphère d'esprit, beaucoup est accompli par des intellectuels puissants qui touchent quelques-uns avec leurs idées et leurs sentiments, qui, plus en contact avec les masses, donnent la vérité ou l'émotion punée par leurs propres particularités.

2. Dans la sphère de l'esprit, religieusement considérée, une grande partie de ce que nous appelons l'influence est de ce personnage. Les chrétiens supérieurs agissent non seulement sur une vaste zone au moyen des rares qui sont soumis à leur attention personnelle, mais une grande partie de l'action de Dieu sur le monde se fait par son peuple. Sa lumière n'est pas vue par beaucoup sauf immédiatement dans la belle vie du Saint. Son amour agit sur le cœur dur de l'homme à travers la compassion qu'il produit directement dans les disciples du Christ. Les hommes voient par des actes saints et des réalisations spirituelles que "Dieu est avec" son peuple et sont donc influencés par Dieu de se soumettre à son bénédiction béni.

Cours généraux: -

1. Il fait tout le monde à rechercher et à voir quels talents et moyens de devenir saints et de faire progresser le royaume du Christ, se trouvent inutilisés.

2. Il devrait s'agir d'une question d'enquête sérieuse Quelle quantité de nos plaintes et de la peur résultent d'une oubli de coupuité ou d'une méfiance envers la volonté de Dieu de bénir nos efforts.

3. Si nous sommes en possession de bénédictions précieuses, et ils ne cèdent pas toute la joie et la satisfaction raisonnablement à rechercher, nous devrions découvrir quel est ce cadeau plus élevé n'étant pas encore recherché de Dieu.

4. L'Église et le chrétien ont besoin de demander à quel point le non-succès de l'effort est dû au manque de réceptivité pour le plus haut cadeau de tous, la riche effusion du Saint-Esprit.

5. Tout le monde devrait donc vivre de manière à être un véhicule en forme et parfait pour la transmission de la guérison, sauvegarde de la puissance de Dieu sur l'humanité.

1 Samuel 11: 12-9 .

La concurrence de l'action humaine et divine.

Les faits sont-

1. Sur l'achèvement de la victoire sur les Ammonites, les partisans de Saul désirent la peine de la peine de la mort des "hommes de la Beliale" qui l'avaient rénové.

2. Saul, reconnaissant l'aide miséricordieuse de Dieu, refuse de marquer la joie de la victoire par des représailles personnelles.

3. À l'invitation de Samuel, les personnes se sont rassemblées à Gilgal pour la reconnaissance de Saül comme roi victorieux, associée à Thanksgiving à Dieu. À un observateur ordinaire en regardant le conflit entre Israël et Ammon, il semblerait être simplement une lutte des hommes avec des hommes. Les versets précédents (6-11) montrent qu'un élément plus que l'homme est entré dans le conflit et Saul se réfère avec gratitude à cela en disant «aujourd'hui, le Seigneur a travaillé au salut en Israël.» La célébration ultérieure du culte de Samuel était une reconnaissance du même fait.

I. C'est la concurrence de l'action de Dieu avec celle de l'homme qui apporte des résultats d'un caractère joyeux. La volonté personnelle et l'énergie musculaire et mentale de Saul, aidée par les pouvoirs coopérants du peuple, ont conduit à la défaite des Ammonites. C'était l'élément humain visible. Mais ces pouvoirs ont été fixés au travail et soutenus par l'action directement sur la nature de Saul par l'Esprit de Dieu (1 Samuel 11:6), et indirectement à travers la crainte inspirée par l'esprit. et des corps du peuple. La question doit donc être attribuée à une action concurrente de l'homme et de la divine, ce dernier partiellement direct et partiellement indirect. De manière générale, on peut dire que tous les effets réalisés par l'homme sont par cette concurrence d'action. Pour même quand ils exercent leur pouvoir de volonté et de concevoir dans une mauvaise direction, il n'est possible que par conséquent de l'énergie de Dieu qui subit ces pouvoirs de volition et de pensée. Mais le sens plus précis dans lequel la concurrence est vraie peut être vue en prenant des cas.

1. Dans la réalisation des objectifs messianiques. L'apparition de Christ sur Terre était le résultat d'une longue double ligne d'action. Les descendants d'Abraham chérissèrent librement l'espoir de Messie et par des efforts de leur propre volonté ont contribué, comme décrit dans l'Ancien Testament, la ligne d'action humaine vers cette question. Mais tout ce temps, et avec tous ces actes, l'Esprit de Dieu était au travail, ce qui les rend disposé à être un peuple distinct, contrôlant les événements pour assurer leur isolement, inspirant leurs prophètes avec la vision de l'avenir et enfin Sur celui honoré parmi les femmes pour la perfectionnement de tout ce qui avait été espéré et laborieux pour (Luc 1:27).

2. Dans la production de la Bible. Dans l'ensemble de la révélation, nous avons un long train d'événements humains entrecoutons une manifestation successive de la volonté divine. La Bible est l'enregistrement de la combinaison. Ce livre sacré lui-même est ce qu'il est, dans ses portions historiques, car les mains humaines ont rassemblé les faits sélectionnés dans la poursuite d'un principe donné de Dieu. De plus, les exercices dévots de spiritueux humains dans de telles portions que les psaumes étaient libres, mais simultanément avec une influence divine dans leur initiation; et aussi dans la sélection d'eux par la suite au profit de l'humanité.

3. Dans les victoires réalisées par le christianisme. Les victoires du christianisme sont venues par l'effort libre des esprits individuels combinant sous des formes d'organisation de l'église. Les hommes ont parlé, écrit, supplié, sympathisé, prié. Certains critiques attribuent tout le succès dans des terres de païens à une force pure de l'intelligence supérieure et de l'influence morale; Et dans les terres civilisées à l'excellence morale, il peut être associé à une grande superstition, appliquée comme cela est par un zèle qui prend captif le non critique. Mais la solution est que Dieu est un collègue avec l'église. L'action humaine et divine est concurrente, celle étant le véhicule à travers lequel l'autre fonctionne.

4. Dans la sanctification de l'âme. Le travail à faire avant que l'âme humaine puisse se lever à la plus haute forme de vie est énorme. Peu d'hommes considèrent ce qui est impliqué dans "entrer dans le royaume des cieux" même sur la terre. Se renseigner à la vie du "Royaume" désigne le travail, les conflits, la suppression, l'élévation, l'excision, l'entretien, l'auto-refus, l'aspiration, l'ambition, la persistance dans une sphère dans laquelle seul l'œil de Dieu peut pénétrer. Pourtant, toutes les dépenses d'énergie Le plus grand esprit peut commander est de lui-même insuffisant. Nous sommes conquérants et "plus que des conquérants par Christ", qui nous aide. Il "travaillait en nous à la volonté et à faire." Dans cette subtile concurrence du divin et de l'homme la plus haute forme de vie est réalisée pour le "corps entier, âme et esprit".

II. Il convient de saisir une occasion de reconnaître l'action simultanée de Dieu avec nous pour faire passer de bons problèmes. C'était apte que Saul devrait reconnaître publiquement la main de Dieu lors de sa première victoire. La spontanéité de la loi et l'esprit magnanime qui ne ferait pas la joie de la victoire par des représailles personnelles sur ses mépris, indiquent que, à cette période de son histoire, il possédait d'excellentes qualités morales, qui ont certainement été renforcées par cette expression publique de eux. La participation de Samuel à la joie commune était également la preuve des bons sentiments de Saul.

1. Il est bon de faire une pause dans les luttes de la vie et envisager de reconnaître notre endettement personnel à la puissance de Dieu travaillant avec nous. Il y a des dangers dans l'activité. L'absorption dans la sortie de notre propre énergie peut inconsciemment induire la conviction que par "notre propre bras", avons-nous eu la victoire. Réflexion occasionnelle de la nécessité et du fait de la puissance qui "travaillant dans l'ensemble du tout", avec une dépendance plus profonde sur Dieu, réveille la gratitude, donne ton à nos propres efforts et maintenir l'espoir de triomphe final.

2. Il est bon dans les familles de saisir des occasions de reconnaître l'aide de Dieu. Le parent dont les affaires ont prospéré, dont les enfants sont accumulés de manière heureuse dans la vie, dont le domicile a été gardé exempt de grandes calamités, ou qui est sorti d'essais sévères avec honneur, fera bien de se souvenir qui givent le pouvoir d'être riche, commandé Les bons chemins, à l'abri de "la destruction qui gaspille à midi," et repassent le besoin de la poussière et n'ayant pas honte de laisser sa maison savoir à quel point il doit à Dieu. Une telle conduite portera des fruits bénis.

3. Il est bon que les nations reconnaissent Dieu dans la délivrance du signal. Dieu travaille avec et la nation inverseuse qui aime et cherche la justice. L'hommage national est aussi approprié que le culte individuel. Les services de Thanksgiving sont d'une autorité scripturale. Les précédents sont nombreux dans l'Ancien Testament. Il ne fait aucun doute que le christianisme n'avait pas périté les nations dans son ensemble, lorsque le Nouveau Testament a été écrit, aucun précédent ne se trouve dans ses archives. Pourtant, l'église en tant que tels services spéciaux de prière et de Thanksgiving ( Actes 4: 23-44 ). Ceux qui soutiennent que la vigoureuse action humaine est la véritable et la seule forme d'hommage à Dieu surplombe le fait qu'il existe de bons résultats que l'action humaine, et que des actes de culte positifs, en reconnaissance de la dépendance et d'expression de la gratitude, non seulement Payer un honneur à qui l'honneur est dû, mais exerce une influence efflexive bénéfique sur les adorateurs. De tels actes accélèrent la conscience publique, la pensée à un niveau supérieur, nourrissent le sentiment religieux, offrent d'excellentes occasions et de sujets d'instruction, renforcer le sentiment national, réveiller l'intérêt de la classe pour la classe, appelle les plus généreuses et restreintes impulsions de la vie.

Cours généraux: -

1. Cela devrait être une question avec les individus et les nations quant à savoir s'ils dans leurs objectifs et leurs esprits remplissent les conditions sur lesquelles seules l'action simultanée de Dieu peuvent procéder.

2. Une grande partie du succès des efforts peut découler d'une reconnaissance insuffisante de Dieu comme un collègue avec nous.

3. Les choses et les personnes privées augmentent en l'honneur et influencent lorsqu'ils présentent une magnanimité généreuse.

4. La joie d'un grand salut ne devrait pas être indemnisée par l'intrusion de tout sentiment humain amer.

Homélies de B. Dale.

1 Samuel 11:1. (Gibeah, Bezek, Jabesh.).

La première victoire de Saul.

Bien que Saul ait été privé d'oint et de roi choisi publiquement, il n'a pas immédiatement assumer l'État royal. Guidé, sans doute, par l'avocat de Samuel et percevoir de la désaffection de certains hommes (1 Samuel 10:27) que la nation n'était pas encore très préparée pour le changement, il n'a pas jugé il prudent de le faire. Revenant à son ancien mode de vie à Gibeah ( 1 Samuel 11: 5 ), il attendait une indication supplémentaire de son appel pour être "capitaine sur le héritage du Seigneur". "Rien que véritable action royale pour le bien-être de l'État, comme courageusement entreprise et fermement réalisée au bon moment, pourrait gagner pour lui cette déférence réelle, cette coopération joyeuse et volontaire à des fins étatiques de tous ses sujets, sans lequel son La souveraineté doit toujours rester la plus faible et équivoque »(Ewald). Ce n'était pas long ("un mois", lxx.) Avant l'occasion de cette action. Il s'est avéré lui-même égal à l'occasion et sa patience était justifiée et récompensée. Sa position en tant que chef militaire était entièrement justifiée par le résultat et sa souveraineté était reconnue par tout le monde. C'est la signification historique principale de son entreprise de guerre ou de sa campagne contre les Ammonites pour le soulagement de Jabesh-Gilead. Observez que c'était-

I. entrepris dans une cause juste ( 1 Samuel 11: 1-9 ). Si jamais la guerre est justifiable (et il semble impossible qu'il soit tout à fait évité), c'est lorsqu'il est entrepris, comme dans ce cas-

1. repousser l'agression hostile. Les ammonites étaient de vieux ennemis (Deutéronome 2:19; Deutéronome 23:3, Deutéronome 23:4; = 59> Juges 3:13 ; Juges 10:7; Juges 11:5). Ils étaient un peuple nomade, prédateur, cruel et idolâtre. Pendant quelque temps, Nahash, animé par le désir de guerre et de la conquête, "la maladie des princes", avait supposé une attitude menaçante (1 Samuel 12:12), et maintenant déposé siège à la capitale de Gilead, une partie du territoire israélentine appartenant à la demi-tribu de Manassé, au-delà du Jourdain. Son agression était-

(1) Sans sol adéquat. Il a probablement relancé une réclamation précédemment affirmée et réfutée ( Juges 11: 12-7 ). Mais les hommes trouvent facilement des prétextes pour un cours auquel ils sont disposés. "D'où viennent les guerres?" (Jaques 4:1).

(2) Vengeance. Il souhaitait venger la défaite bien avant d'avoir infligé par Jephhah. La haine entre les nations a tendance à se perpétuer et à s'intensifier; Et les succès en guerre sement souvent «les dents du dragon» qui produisent une récolte ultérieure de conflit et de misère.

(3) fier, vantard et cruel (verset 2).

2. Aider les frères enermerie. Entre les habitants de Jabesh et des Benjamites, surtout, il y avait une connexion intime ( Juges 21: 12-7 ). Leur état était maintenant dégradé, craintif, misérable; Et bien que cela soit dû à leur manque de patriotisme, de foi et de courage, mais cela ne les prive pas d'une réclamation sur la sympathie de leurs frères, mais était un puissant attrait à leur compassion. L'appel des pauvres, l'opprimé, l'esclave ne peut pas être ignoré sans péché ( Proverbes 24:11 , PROVERBES 24:12 ).

3. éviter un danger commun. Le siège de Jabesh était évidemment conçu comme la première étape d'une attaque de tout Israël. La détresse de la population de Gibeah ne s'est pas faite simplement de la sympathie avec leurs frères, mais aussi de la peur pour eux-mêmes et un sentiment d'impuissance contre un adversaire si puissant. La Saul's Enterprise était donc une légitime défense.

4. Maintenir l'heure divine. Les Ammonites ont adoré Moloch (Molech ou Milcom), "L'abomination des enfants d'Ammon" ( 1 ROIS 11: 7 ) et recherchait son honneur d'une opposition à celle de Jéhovah. Il faisait partie de l'appel d'Israël à extirper l'idolâtrie, et il leur a commandé des ammonites: "Tu ne cherches pas leur paix ni leur prospérité tous tes jours pour toujours" (Deutéronome 23:6

II. Mené avec enthousiasme saint (versets 5-11). Enthousiasme-dieu en nous. C'était-

1. Inspiré par l'esprit divin. En retour du terrain et apprenant la cause de la détresse du peuple ", l'Esprit de Dieu est venu sur Saul, et la colère était grandement allumée." Il y a une colère qui n'est pas pécheur (Marc 3:5; Éphésiens 4:26). Le sentiment de ressentiment est une arme mise à la main par Dieu contre la blessure, l'injustice et la cruauté de toutes sortes.

(1) La colère de Saul a été incitée par le même esprit que le même contraint de le contraindre à des louanges divines.

(2) C'était une sensation de colère et de zèle brûlante contre le mal.

(3) Il a été dirigé vers le bien-être de son peuple et l'honneur de Dieu.

(4) il l'a qualifié pour une grande entreprise; l'a amené à assumer la direction de la nation auquel il avait été nommé et convoquer les tribus de se rassembler autour de lui. Les cadeaux de l'Esprit de Dieu sont divers et adaptés aux exigences de l'âge.

2. partagé par tous les peuples.

(1) «La peur de Jéhovah tomba sur le peuple», c'est-à-dire une peur inspirée par lui. "Dans l'appel énergique de Saul, les gens discernaient le pouvoir de Jéhovah, qui les ont inspirés de peur et les ont poussé à une obéissance immédiate" (Keil). Ce pouvoir est capable de remplir une nation entière, ainsi qu'un individu, avec de nouvelles émotions et impulsions.

(2) Sous son influence ", ils sont sortis comme un seul homme" (avec un consentement).

(3) Mustered sous la direction de Saul à Bezek, près de Bethshan. Un danger commun attire souvent des hommes dans un syndicat et une coopération plus étroits que la paix et la prospérité.

3. Exprimé dans une assurance confiante de l'aide. "Demain, au moment où le soleil soit chaud, tu auras de l'aide" (verset 9). La foi considère que ce qui est cru comme si c'était déjà un fait accompli.

4. Manifesté dans une action énergique. Sa promesse n'était pas en mots simplement, mais a été suivie par des actes (verset 11). "C'était la nuit où Saul et la multitude armée qui l'a suivi rompu depuis Bezek. Petit savait que bien les hommes courageux de Jabesh pourraient demander le service (1 Samuel 31:8 ). Étrange que la première mars de Saül aurait dû être la nuit de Bethshan à Jabesh, le même itinéraire qui a porté son cadavre la nuit »(Edersheim).

III. Assisté avec un succès extraordinaire.

1. La défaite de l'ennemi-soudain, inattendu et complète. "Deux d'entre eux n'ont pas été laissés ensemble" et leur roi, Nahash, a été tué (Josephus). "Ceux qui marchent en fierté, il est capable d'abaser" (Daniel 4:37).

2. La délivrance des opprimés, qui n'étaient pas après la gratitude ou le courage.

3. la cessation de la désaffection (versets 12, 13).

4. Le dévouement uni et joyeux de tous les Israël (versets 14, 15).

Observer-

1. Nous avons d'autres ennemis à rencontrer que ceux de la chair et du sang (Éphésiens 6:12).

2. Nous devons les affronter contre eux non simplement pour notre propre sécurité, mais pour le bien de nos collègues.

3. Ce n'est qu'à l'aide du Seigneur que nous pouvons prévaloir. - D.

1 Samuel 11:12, 1 Samuel 11:13.

Générosité envers les ennemis.

Certains hommes sont soumis à des impulsions nobles, dans lesquelles ils atteignent un niveau de pensée et de sentiment plus élevé que celui qu'ils occupent habituellement. La différence est parfois si grande qu'ils ne semblent pas être les mêmes personnes. Mais le changement est transitoire et ils rechuent rapidement dans leur ancien état. Leur caractère est l'une des ambiances variables, égales et incertaines plutôt que de principe forte, inébranlable et cohérente. Un tel homme était Saul. L'impulsion sous laquelle il a épargné ses ennemis après sa victoire sur les ammonites présenté une magnanimité extraordinaire. La loi est le plus noble enregistré de lui et se distingue par un fort soulagement contre le fond sombre de sa carrière ultérieure. "Saul ici montre sa piété, l'humanité, la sagesse. Jusqu'à présent, il se déclare un homme innocent et un bon prince; mais ensuite il a oublié sa propre règle, quand il aurait tué Jonathan (1 Samuel 14:45

I. Sous forte provocation, découlant de-

1. Le souvenir de leur conduite passée envers lui-même ( 1 Samuel 10:27 ). Il ne pouvait pas tout d'oublier, et lorsqu'il a été disposé à l'éloigner de ses pensées, il lui a été rappelé par d'autres. Rien n'est plus provocateur de la colère que de caverrer les torts qui ont été reçus. D'autre part, le moyen le plus sûr de pardonner est d'oublier.

2. Le sentiment de ressentiment naturel envers eux. "La vengeance est douce", disons aux hommes qui ne sont pas retenus par la sagesse divine et la grâce; Et ils sont particulièrement susceptibles de le dire quand ils ont le pouvoir de se venger, et quand ils persuadent que la justice et la prudence exigent que le problème ne soit pas impuni. Ils l'exigent, sans doute, dans certaines mesures; Mais quelle est la taille d'une place du désir de gratifier une animosité personnelle détient dans la plupart des cas où les hommes cherchent à infliger des punitions sur les autres. "Dis non, je le ferai à lui alors qu'il m'a fait, je vais rendre à l'homme selon son travail" (Proverbes 24:29; Proverbes 20:22).

3. L'urgence des autres. Les hommes ne sont que trop enclins à se livrer à une colère sans une telle incitation, mais elles sont souvent dirigées par elle pour aller au-delà de leur propre jugement et leur sentiment, et celui qui, comme Saul, surmonte, il gagne une double victoire. "Il a gagné une autre victoire.

(1) sur lui-même - il se limite à l'exercice d'un droit;

(2) sur la colère de ceux qui ont exigé que la justice soit exécutée;

(3) sur ses anciens adversaires, qui voit maintenant clairement ce qui, sous l'influence du mépris de Haughty, ils avaient douté; et.

(4) Sur tout le peuple, qui doit avoir été transporté par lui sur le chemin de la conduite morale noble et se leva au-dessus d'elle-même à la hauteur de laquelle il se trouvait »(Erdmann).

II. De manière royale. "Un homme ne doit pas être mis à mort ce jour-là.".

1. Promptement. S'il avait attendu jusqu'à ce que le Morrow, son but ait changé. Quand une émotion généreuse remplit le cœur, il devrait être immédiatement traduit en mot et en acte. Premières pensées dans les choses morales, contrairement aux premières pensées des choses intellectuelles, sont toujours meilleures. Hésitation et retardent leur luminosité et affaiblissent leur pouvoir.

2. Décisivement. Saul parlait comme un roi. Il a refusé de tacher ses lauriers avec du sang. Et pendant qu'il résolut de ne pas punir ses ennemis, il a déclaré sa détermination que personne d'autre ne devrait les punir. "Où la parole d'un roi est qu'il y a du pouvoir.".

3. Complètement. "Pas un homme." Pas un exemple unique devait être fait, mais sa clémence était de s'étendre à tous. De la même manière royale, nous pouvons et devoir montrer la miséricorde. "Bienheureux sont les Miséricordieux, car ils deviendront la miséricorde.".

III. D'un motif approprié. "Pour aujourd'hui, le Seigneur a remporté le salut en Israël." "Non seulement signifiants que la réjouissance publique ne doit pas être interrompue, mais ne leur rappelant la clémence de Dieu et exhortant que puisque Jéhovah avait montré une telle clé de la clarté à ce jour-là, qu'il avait négligé leurs péchés et leur a donné une victoire glorieuse, c'était Seul le droit de suivre son exemple et de pardonner les péchés de leurs voisins sans effusion de sang »(Seb. Schmid). Saul a montré-

1. Recherche de l'excellence transcendante de la miséricorde. Rien n'est plus beau ou plus agréable à Dieu et son exercice est nécessaire que nous puissions obtenir de la miséricorde ( Matthieu 6:15 ). Il est "miséricordieux et gracieux". "La miséricorde se réjouit contre le jugement." (Proverbes 25:21; Romains 12:19, Romains 12:20; Jaques 2:13.).

"Il devient.

Le monarque déployé mieux que sa couronne; son sceptre montre la force de la puissance temporelleLe attribut à la majesté et à la majesté, dans laquelle assieds-toi la crainte et la peur des rois; mais la miséricorde est au-dessus de ce balancement sceptré; il est intronisé au cœur des rois, ça Est-ce qu'un attribut à Dieu lui-même et le pouvoir terrestre montrent alors que la justice de la miséricorde de God'swhen Mercy Seasons »(« marchand de Venise »).

Pour retourner bien pour le bien et le mal pour le mal est naturel, de retourner le mal pour le bien est diabolique, mais de retourner bien pour le mal est divin.

2. Gratitude pour la bonté abondante de Dieu. Sa main était pleinement reconnue lors de la victoire et de la délivrance récentes. Sa gentillesse envers nous devraient nous limiter à être gentil avec les autres et son pardon n'a pas été expérimenté seulement quand il nous conduit à pardonner (Matthieu 18:35).

3. Désir du bien-être des hommes. "Le Seigneur a travaillé au salut en Israël" à qui appartenait ces "hommes sans valeur". Même de tels hommes sont des objets de son abstention et de sa bienveillance. "Il fait son pare-soleil pour se lever sur le mal et sur le bien" ( Matthieu 5:45 ). Il les fait bien et cherche ainsi à maîtriser leur hostilité envers lui-même ( Ézéchiel 33:11 ). Nous devons présenter le même esprit et, en le faisant, nous ferons promouvoir la paix et le bonheur général. "Sois donc miséricordieux, même si ton père est aussi miséricordieux" (Luc 6:36) .- D.

Homélies par D. Fraser.

1 Samuel 11:11-9.

Saul à son meilleur.

Contrôle de soi, promptitude, courage, capacité, attribution de louange à Dieu, abstention envers les hommes, ils sont tous exposés par le jeune roi. Hélas, ça de ces hauteurs, il est tombé!

I. Contrôle de soi. Bien que salué comme roi à Mizpah, Saul n'était pas hâte d'assumer l'état de Regal. Il a repris sa vie de pays à Gibeah, attendant jusqu'à ce que le Seigneur l'appelait en cas d'urgence de prendre le commandement de l'armée d'Israël. En cela, il a suivi l'exemple des juges, qui, pour ainsi dire, a remporté leurs éperons avant de les porter - d'abord enroulèrent une délivrance pour leur pays, puis supposait le gouvernement.

II. PROMPTITUDE. News of the Doom qui menaçait la ville de Jabesh a atteint Saul alors qu'il rentre chez lui depuis le terrain, à la suite de ses bœufs avec une étape lente et lourde d'un fermier. Dans un instant, il était un autre homme, plus un chercheur d'ânes ou un suiveur de bœufs; mais un chef d'hommes, rapide et résolu. Et cette énergie a-t-il montré que, dans quelques jours, il avait rallié une grande armée à sa norme.

III. Courage et capacité. Saul n'avait pas le temps de former ou de discipliner ses forces, mais il a réussi à obtenir un avantage pour eux. Il a caché l'ennemi à la sécurité, puis surprenant leur camp de nuit, tomba sur eux avec une fureur impétueuse. Ils ont donc été complètement dispersés que, comme l'indique l'historien graphique, "deux d'entre eux n'ont pas été laissés ensemble.".

Iv. Ascription de louange à Dieu. Après que la victoire, Saul n'a montré aucune disposition à vanation vaine. Rien ne pourrait être meilleur que son Te Deum Laudamus- "Aujourd'hui, Jéhovah a remporté le salut en Israël.".

V. Tolérance envers les hommes. Saul a été exhortée par les personnes exultantes à mettre à mort ceux qui s'étaient opposés à son altitude; mais il n'aurait pas le lustre de sa victoire assombri par un tel acte de vengeance et, non seulement de bien gouverner son propre esprit, mais en vérifiant l'intolérance des autres, a-t-il déclaré, "il n'y aura pas un homme à mort ce jour-là . ".

Pourtant, de cette élévation morale Saul a miséricolablement tombée. Celui qui semblait être l'espoir croissant d'Israël est devenu l'un des personnages les plus infidèles et tragiques de toute l'histoire de son pays. Celui qui a montré la patience et la maîtrise de soi est devenu un roi agité et jaloux. Sa grande faute était la vigilance, menant à l'impatience la plus insensée et à l'envie misérable. Celui qui a exécuté son premier exploit militaire si habilement, et avec un tel succès complet, est devenu notoire pour ses échecs. Et, enfin, celui qui avait montré une telle volonté intrépide de s'installer sur les Ammonites avait peur de rencontrer les Philistins ( 1 Samuel 28: 5 ). Ce n'est pas que son courage naturel s'était mordu de lui, mais la foi soutenante en Dieu était partie. "Dieu est parti de moi et ne me répond pas plus." Celui qui était si opposé à perdre le sang de sujets désaffectés a versé le sang de nombreux hommes fidèles, à partir des prêtres du Seigneur et lancé le javelin de sa propre main de sa propre main et à nouveau à la guest de tous ses sujets, haïlant sans une cause.

1. Le vrai caractère d'un homme se montrera. Aucun voile ne le couvrira; aucune considération prudentielle ne peut le lier. Tôt ou tard, il aura son chemin.

2. Plus la promesse de la vertu est élevée, plus l'élan de celui qui tombe de son intégrité, plus il va dans le mal.

3. Le chemin de la volonté volontaire et fière est celui de la lumière et d'épaississement d'épaississement; Mais "le chemin du juste est comme la lumière brillante, qui brille de plus en plus jusqu'à la journée parfaite." - F.