Deutéronome 14:1-29

NOTES CRITIQUES. —Le peuple ne devait pas seulement supprimer l'idolâtrie, mais toute sa vie et sa conduite devaient être réglées selon son caractère saint et sa haute vocation. Ils ne doivent pas, comme les autres nations, défigurer leur corps dans une douleur passionnée, ni se souiller avec de la viande impure.

Deutéronome 14:1 . Coupé (Lévitique 19:28 ) comme des idolâtres en deuil. (1 Rois 18:28 ;Jérémie 16:6 ;Jérémie 41:5 ;Ézéchiel 7:18 .) Calvitie, Un espace entre les sourcils laissé nu en l'honneur des morts. (Lévitique 21:5 .)

Deutéronome 14:2 . Saint. Un motif supplémentaire super pour induireobéissance et « une élucidation catégorique de la première clause deDeutéronome 14:1 . » - Del .

Deutéronome 14:3 . Animaux purs et impurs. ( Cf .Lévitique 11 ). Rien abominable ou impur à manger.

Deutéronome 14:4 . Des bêtes. Ceux-ci, dont la chair serait excellente, sont mentionnés ici ; car les Israélites allaient s'établir dans la terre promise, sur les pâturages des montagnes dont une partie des tribus était déjà établie, et où ces animaux abondaient. ( Jamieson .) Hart, le cerf syrien ( cf .

Deutéronome 12:15 .) Chevreuil, la gazelle. Pyrgarg, ou bison, espèce d'antilope, commune dans les régions qui avaient été fréquentées par les Israélites. Wild Ox, traduit par « taureau sauvage ». ( Ésaïe 51:20 .) Doit être distinguée de la re » em des Nombres 23:22 . Chamois, 14:70., le chameau-léopard, c'est -à- dire la girafe. Toutes les créatures données ici sont classées par Bochart , parmi les chèvres et les cerfs.

Deutéronome 14:6 . Sabot. Ceux uniquement à manger qui divisent complètement le sabot et mâchent le chud. Les exceptions sont données ici et dansLévitique 10:4 .

Deutéronome 14:9 . Poisson. La règle est simple et complète. Tout poisson d'eau salée ou d'eau douce peut être consommé. Mais les coquillages de toute espèce, qu'ils soient mollusques ou crustacés, et les cétacés, étaient interdits ainsi que les poissons qui paraissent ne pas avoir d'écailles, comme l'anguille . — Parlez. Com . 20. Oiseaux. Les mêmes que ceux duLévitique 11:13 , sqq .

Deutéronome 14:13 . Le Glede est ajouté. Ce sont principalement des oiseaux de proie ; mangeoires impures; nécessaires comme charognards, mais pas bons pour la nourriture.

Deutéronome 14:21 . La mort d'elle-même. L'arrangement est particulier à la répétition de la loi dans Deut. (Lévitique 17:15 ;Lévitique 22:8 .

Étranger. Un voyageur ou un résident païen ; car un prosélyte était soumis à la loi aussi bien qu'un juif. Seethe, une troisième répétition, une interdiction contre une cérémonie païenne. ( Exode 23:19 ; Exode 34:26 .)

Deutéronome 14:22 . Dîme. Consacrer en tout un dixième du produit de l'année était un devoir ; être amené au sanctuaire. Les dîmes et les premiers-nés nommés ici, pour introduire certaines directives concernant les repas sacrés célébrés à partir d'eux.

Deutéronome 14:24 . Trop long. Un accord anticipant le règlement à Canaan. Les distances rendaient difficile le transport des produits jusqu'au sanctuaire. Il peut être échangé ou vendu pour de l'argent et le produit va vers une fête sociale. Tout ce que votre âme désire , non pas dans un mauvais sens, mais simplement par préférence ou par goût. Lévite.

( Deutéronome 12:19 .) Tous les trois ans, toute la dîme du produit de l'année était mise à part, non consommée devant le Seigneur dans le sanctuaire, comme portion pour le Lévite, veuve et étranger dans différentes villes. Ce n'était pas un tiers ou. la dîme supplémentaire, mais la première s'appliquait différemment. La dîme de la première et de la deuxième année était consommée dans le sanctuaire ; la dîme de la troisième année était pour les pauvres et les nécessiteux à la maison.

Bénis toi. Comme encouragement à suivre ces instructions, la bénédiction de Dieu suivrait ( Deutéronome 15:10 .)

CONFORMITÉ AUX COUTUMES MONDIALES.— Deutéronome 14:1

En tant qu'élu de Dieu, Israël doit non seulement mettre de côté l'idolâtrie, mais s'abstenir des superstitions et pratiques païennes. Ils étaient dotés d'une vie plus noble, appelés à une position spéciale, et ne devaient pas se conformer aux coutumes des nations dont ils étaient entourés.

I. La conformité est incompatible avec la position d'un chrétien . Il est appelé hors du monde, séparé de lui dans les habitudes, le caractère et le but : il ne doit pas revenir à son ancien cours de vie. Les chrétiens sont « un peuple particulier », précieux pour Dieu et pour le monde ; ils ne doivent pas perdre leur valeur et leur distinction spirituelle. Ils devraient vivre près de Dieu et ne pas descendre à des positions basses et mondaines.

Exaltés au-dessus des autres, ils doivent garder leur dignité, ne jamais déshonorer leur Dieu, ni oublier ses prétentions. « Je t'ai séparé des autres, afin que tu sois à moi. ( Lévitique 20:26 ).

II. La conformité est dérogatoire au caractère d'un chrétien . Ils sont « enfants du Seigneur » et ne doivent pas être esclaves de la mode et de l'habitude. En tant que fils de Dieu, ils doivent marcher dans l'amour et sans idoles. Marche digne de la haute vocation dont ils sont appelés ( Éphésiens 4:1 ). Ils sont saints, « un peuple saint pour le Seigneur » et doivent se garder intacts du monde.

( Jaques 1:27 ). Le caractère, le caractère juste devrait être l'empreinte du peuple de Dieu. Être comme Dieu devrait être leur désir et leur but. "Celui qui évite l'iniquité est le meilleur chrétien", dit Calamy. Il ne doit pas y avoir une simple non-conformité extérieure mais une transformation spirituelle intérieure qui rend la vie nouvelle et sainte, nouvelle dans son motif, sa source et sa fin.

« Ne sois pas conforme (façonné) à ce monde ; soyez transformés (transfigurés, Matthieu 17:2 ; changés, 2 Corinthiens 3:18 ) par le renouvellement de votre esprit. ( Romains 12:2 ).

III. La conformité s'oppose au but divin dans la vie d'un chrétien . " T'a choisi pour être un peuple particulier à lui-même, au-dessus de toutes les nations. " Ici, nous avons la propriété divine et une exaltation merveilleuse. Être rempli de l'esprit et façonné par l'influence du monde, c'est perdre de vue le dessein de Dieu dans la vie et le devoir. Les chrétiens doivent être consacrés au service de Dieu, acquérir de saintes habitudes et nourrir de saints désirs.

Ils sont choisis et bénis pour mettre en valeur la gloire de Dieu — « pour montrer les louanges (vertus, excellences) de Celui qui vous a appelés des ténèbres (ignorance, péché et misère) dans sa merveilleuse lumière. ( 1 Pierre 2:9 ).

CHAgrin MONDIAL.— Deutéronome 14:1

« Les jours de l'homme sont pleins de troubles d'une source ou d'une autre » ( Job 5:7 .) « La douleur est à la fois le sort, l'épreuve et le privilège de l'homme », dit Helps. Mais combien différent l'esprit et la manière de l'exprimer. Israël ne doit pas pleurer les morts comme les autres nations. Le chagrin de la parole est des plus inconvenants chez le peuple de Dieu.

I. Il est excessif dans sa nature . Il est souvent assumé et contre nature, bruyant et passionné en démonstration. Les païens sont allés à l'excès dans leurs accès de chagrin sauvages. Ce n'était pas le chagrin de la civilisation et de la douceur ; mais la douleur d'un sauvage et d'un enfant.

II. Il est préjudiciable dans ses résultats . Il était courant chez les Cananéens et les Phéniciens de se couper. Les nations excitables de l'Est faisaient souvent des incisions horribles sur leurs visages et dans d'autres parties du corps, avec des instruments tranchants. Les Perses, les Abyssins, les Bédouins et d'autres races le pratiquent encore. Il était considéré comme un gage de respect pour les morts et agréable aux divinités qui présidaient à la tombe.

Le vrai Israélite est créé à l'image de Dieu et ne doit pas pleurer ainsi. La souffrance et le malheur humains ne sont pas acceptables pour Dieu. Ce chagrin qui conduit à des blessures corporelles et éloigne de Dieu est le chagrin de Judas qui s'est pendu - un chagrin qui n'aboutit à aucun amendement. « Car la tristesse selon Dieu produit une repentance au salut dont on ne se repent pas ; mais la tristesse du monde produit la mort » ( 2 Corinthiens 7:10 ).

III. Il est sans espoir dans son objectif . Cela ne concilie pas Dieu et n'affecte pas les morts. Le chrétien apprend que Dieu gouverne tous les événements. Amis décédés non pris par hasard ou accident. Ils sont entre les mains de Dieu et, s'il s'agit de Ses enfants, hors de portée du mal. A travers « l'ombre de la mort », le croyant regarde par la foi. La « nuit éternelle » des auteurs classiques est éclairée par la résurrection du Christ, qui est « devenu les prémices de ceux qui dormaient.

« Jésus a « aboli la mort » (enlevé son pouvoir, l'a rendue sans effet) « et a apporté la vie et l'immortalité » (incorruptibilité) « à travers (au moyen de) l'Évangile » ( 2 Timothée 1:10 ). Nous pouvons donc voir à travers et au-delà de la tombe, connaître notre propre sort et celui de nos chers amis.

« Je ne voudrais pas que vous ignoriez, frères, au sujet de ceux qui dorment, afin de ne pas vous affliger, comme d'autres qui n'ont pas d'espérance » ( 1 Thesaloniciens 4:13 ).

CONSEILS ET SUGGESTIONS HOMILÉTIQUES

Deutéronome 14:1 . Trois grandes bénédictions .

1. Élection, « choisie ».
2. Adoption, « enfants ».
3. Sanctification, « peuple saint ».

Marques Distinguées . Distingué,

1. Par la grâce de Dieu qui les a faits.
2. Par la Providence de Dieu. Un troupeau de pauvres esclaves n'aurait pu gagner sa place et se constituer en nation.
3. Par les lois de Dieu. Des lois plus sages que toute autre nation.
4. Par le dessein de Dieu. Séparé du reste du monde. Associé à de grands privilèges et destiné à répandre de grands principes.

Ton Dieu , particulièrement le tien par opposition à tout autre. L'objet de ton affection et de ta confiance ( Psaume 73:24 ). « Dieu fonde toutes les prescriptions de sa loi, en tant que Grand Législateur, sur le fait que ceux qui devaient obéir étaient son propre peuple choisi, bien-aimé, racheté et sanctifié. Il commence par déclarer tout d'abord, leur grande relation avec Lui en tant que Seigneur leur Dieu le Roi d'Israël.

« Vous êtes », en adoptant l'amour, « les enfants du Seigneur votre Dieu ». Un Dieu d'Alliance ; le vôtre parce qu'il s'est donné à vous; le vôtre parce que vous l'avez délibérément choisi; et avec un serment solennel ont promis: "Nous servirons le Seigneur notre Dieu." Eh bien, sur cette base solide, ce fondement sûr, aussi affectueux que sûr, Il dit, « vous n'imiterez pas les païens en pleurant les morts comme ils pleurent ; ou transféré du judaïsme au christianisme.

« Tu ne pleureras pas tes morts comme pleurent d'autres qui n'ont pas d'espérance ; avoir une perspective meilleure, plus sûre et plus noble, à la fois de l'état de l'âme et de l'émergence de la tombe du sanctuaire terrestre qu'elle a laissé derrière elle. »— Dr Cumming .

LA PROVISION DE DIEU POUR LA TABLE DE L'HOMME. — Deutéronome 14:3

Ici, nous avons des règlements concernant la nourriture des animaux pour les Israélites, et des mises en garde contre la souillure par contact avec de la chair morte, qu'il leur était interdit de manger. Pour l'essentiel, les restrictions sont une répétition, avec une petite variation des règles données dans Lévitique 11 . Bien que minuscules et apparemment insignifiantes, ces règles sont pleines d'instructions et de sens. Ils ont présenté la provision de Dieu pour la table de l'homme.

I. Provision, Divine dans sa source . Israël n'aurait pas pu se le procurer et n'aurait pas su sans l'enseignement divin ce qui était bon pour eux. On ne peut ni attraper un poisson ni tirer sur un oiseau sans une Providence. Nous sommes impuissants et dépendants comme l'était Israël, appris à prier pour le pain quotidien et à reconnaître cette puissance qui peut « fournir une table dans le désert » Psaume 78:19 : Psaume 78:19 .

II. Prestation de bonne qualité . Rien d'impur, rien de malsain, n'était précisé. Rien ne devait être mangé de manière à stimuler les passions grossières et sensuelles, ou à favoriser les goûts grossiers et les habitudes dégradantes. Les lois étaient asservies à des fins sanitaires et religieuses, et la nourriture fournie était appropriée et distincte de celle des nations idolâtres. La sagesse divine a décidé ce qui était le mieux pour le but. Ils étaient ainsi préservés de la santé et de la vigueur, et cérémonieusement préservés de la souillure de la mort.

III. Provisions abondantes en quantité . Il n'y a pas eu de passage chez les bêtes, les oiseaux ou les poissons. Les articles de nourriture étaient nutritifs et abondants. La législation de Dieu pour nos inférieurs rappelle son souci de notre nature supérieure. Il ne manque nulle part. Temporellement et spirituellement, des moyens sont fournis pour satisfaire nos désirs et promouvoir notre bonheur. Souvenons-nous de notre bienfaiteur, car Henri dit, que nous ne pouvons pas mettre un morceau de nourriture dans notre bouche jusqu'à ce que Dieu le mette entre nos mains – discernez la bonté non seulement en prescrivant, mais en interdisant, et soyez reconnaissants envers « le Dieu vivant qui donne nous richement toutes les choses à apprécier.

» ( 1 Timothée 6:17 ). Car un homme peut être béni par la richesse, la richesse et l'honneur ; ne veulent rien, « mais Dieu ne lui donne pas le pouvoir d'en manger ». ( Ecclésiaste 6:2 ).

TOUCHER L'IMPURE.— Deutéronome 14:3 ; Deutéronome 14:21

En mangeant des créatures impures, qualifiées d'« abominables », les gens se sont rendus abominables et repoussants. D'où l'avertissement de s'abstenir des objets de souillure qui privent la sainte communion avec Dieu.

I. La souillure est facile . Un contact involontaire ou accidentel suffisait. Il était difficile, voire impossible, d'éviter le contact. Donc avec les attractions et les péchés de « ce monde présent ». Parce qu'il est proche et présent, il affecte les sens, influence l'esprit et dirige la vie. « Ne touchez pas, ne goûtez pas, ne manipulez pas » ses plaisirs.

II. La souillure est grave dans ses conséquences . Il a interrompu la communion avec Dieu et exclu du sanctuaire pendant un certain temps. Elle interdisait le toucher des choses sacrées et tout rapport avec les personnes légalement propres. Quel type de péché de polluer l'âme et d'exclure du ciel. « Vous savez ceci, qu'aucun impur n'a d'héritage dans le royaume de Christ et de Dieu. » ( Éphésiens 5:5 ).

III. La souillure doit être évitée par un effort intense . Cette règle obligeait Israël à accorder une grande attention à la propreté, personnelle et nationale. "Ne touchez pas, ne mangez pas." S'il n'y avait pas de toucher, il n'y aurait pas de nourriture, pas de participation. (Ève et Acan). Daniel a refusé la nourriture de la table du roi. La séparation totale est enjointe. Veillez, priez et gardez vos vêtements sans tache du monde.

« Sortez du milieu d'eux, et séparez-vous, dit le Seigneur (séparés, Osée 4:17 ), et ne touchez à aucune chose impure. » ( 2 Corinthiens 6:17 ).

CONSEILS ET SUGGESTIONS HOMILÉTIQUES

Deutéronome 14:4 . Ceux - ci et ceux-là seulement.

1. Afin que vous soyez à mon rendez-vous pour votre propre viande, en tant que principal Seigneur de tous.
2. Qu'il puisse y avoir une différence entre vous et toutes les autres personnes.
3. Afin que l'on vous enseigne à étudier la pureté et que vous sachiez que les créatures mêmes sont souillées par le péché de l'homme.

4. Afin que vous ayez ces choses comme « l'ombre des choses à venir » ( Colossiens 2:16 ). — Trapp ; Lévitique 11 .

Deutéronome 14:6 . Cheweth ruminer . Dans cette combinaison de séparation du sabot et la rumination , l'union de deux morales et spirital qualités est censé être spiritualisée, à savoir,. La marche que de la manière des lois de Dieu ( Romains 2:18 ; Romains 3:20 ; Galates 2:12 ; Éphésiens 5:15 ) et sa méditation ( Psaume 1:2 ).

— Wordsworth . L'auditeur de la parole de Dieu doit être comme ces animaux qui ruminent ; il doit non seulement s'en nourrir, mais la ruminer ( Saint-Août sur Psaume 46 ). Propre et impur .

1. Une loi sanitaire . Les impurs étaient les plus malsains dans les climats chauds, et même maintenant, leur chair n'est pas considérée comme saine et nutritive.

2. Un argument pour la séparation . La distinction dans les viandes empêcherait les relations avec les nations païennes et la contamination par l'idolâtrie et le vice. Il les a maintenus distincts et particuliers, et a élevé une barrière infranchissable aux mauvaises coutumes, une barrière plus forte que la différence de croyance, la diversité de langue et le système politique. Les chrétiens doivent se tenir et vivre à l'écart des maximes et des coutumes mondaines.

3. Un type de vie sainte . L'injonction de s'abstenir de viandes impures était un symbole de la sainteté et de la pureté qui sont devenues eux en tant que peuple de Dieu. Il a établi ce royaume qui « n'est ni viande ni boisson ; mais justice, paix et joie dans le Saint-Esprit » ( Romains 14:17 ). « L'ordonnance de Moïse était pour toute la nation.

Ce n'était pas comme la loi égyptienne, destinée aux seuls prêtres ; ni comme la loi hindoue, ne liant que le brahmane deux fois né ; ni comme la loi Parsis, à appréhender et à obéir seulement par ceux qui sont disciplinés dans les matières spirituelles. C'était une loi pour le peuple, pour chaque homme, femme et enfant de la race choisi pour être « un royaume de sacrificateurs, une nation sainte » ( Exode 19:6 ).

Ce devait être l'un des préfigurations de la qualité spirituelle supérieure, de la meilleure semence d'Abraham, qui fut, plus tard, prononcée « une génération élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple particulier » ( 1 Pierre 2:9 ; cf . Ésaïe 61:6 ; 1 Corinthiens 10:17 ).— Parlez. Com .

Deutéronome 14:3 . Dans cette provision de nourriture, nous voyons—

1. Une marque de condescendance divine . Si les rois ont légiféré pour le régime de leur peuple, est-il indigne du roi d'Israël de fixer la nourriture de son peuple élu ? « Tout ce que nous savons de Dieu », dit le Dr Cumming, « dans la création, dans la providence, dans la rédemption, nous amène à voir qu'il prend autant de soin de ce que le monde appelle, dans son ignorance, de petites choses, qu'il le fait. de ce que le monde pense, dans une égale ignorance, des choses grandes et lourdes.

2. Une preuve de la bienveillance divine . C'est gentil de fournir du tout. Mais ce que la pensée indiquait, dans le choix des animaux qui se multipliaient lentement, qui n'étaient pas difficiles à obtenir, se trouvaient sans sortir du camp, et sans danger et contact avec les païens autour d'eux. Tout cela destiné à récupérer et à bénir !

Dans tous les sens, dans tous les sens, l'
Homme est le soin de la Providence ;
Et quand il se trompe,
les erreurs lui appartiennent.

S. BUTLER.

UN ENFANT BOUILLANT. — Deutéronome 14:21

Cette injonction est ici répétée, et doit donc avoir une certaine importance ( cf . Exode 23:19 ; Exode 34:26 ). Il peut le voir—

I. En guise de protestation contre la superstition . La répétition immédiatement après les instructions concernant les prémices de la récolte, indique une référence spécifique à la coutume païenne. Les idolâtres à la fin des récoltes faisaient bouillir un chevreau dans le lait de sa mère et saupoudraient le bouillon comme un charme magique sur les champs et les jardins, pour les rendre plus productifs. Israël ne doit pas imiter cette coutume. Aucun des dieux ne peut envoyer la douche et fertiliser la terre. « Il fait pousser l'herbe pour le bétail, et l'herbe pour le service de l'homme. »

II. En tant que loi de l'humanité . Il y avait une grande cruauté à faire du lait de la mère, destiné à la subsistance du chevreau, le moyen de sa destruction. Certains ont qualifié cette interdiction d'« excès de raffinement législatif », mais quel que soit le point de vue que nous regardons sur cette coutume, elle avait une apparence de barbarie. « C'était un plat grossier et malsain, calculé pour allumer des passions animales et féroces, et à cause de cela, ainsi que de sa barbarie, Moïse l'a peut-être interdit.

” “Les endroits sombres de la terre sont pleins des habitations de la cruauté 'la violence injuste ' 'les fermes de la violence.' " - Kay . ( Psaume 74:20 . ) Mais la religion de la Bible est humaine ( cf . Lévitique 22:28 ; Deutéronome 22:16 ; Deutéronome 25:4 .

) Les créatures rationnelles doivent être traitées avec bienveillance, et nous devons éviter tout ce qui émousse nos pires sensibilités. Si Dieu a de tendres soins pour les animaux, nous devrions en faire autant. « Un homme juste considère la vie de sa bête ; mais les tendres miséricordes des méchants sont cruelles. ( Proverbes 12:10 .)

Je n'entrerais pas sur ma liste d'amis,
(Tho' doté de manières polies et de bon sens,
mais manquant de sensibilité), l'homme
qui met le pied inutilement sur un ver . — Cowper .

LA DEDICACE DU DIXIEME.— Deutéronome 14:22 ; Deutéronome 28:29

Une dîme des produits de la terre cultivée et les premiers-nés des troupeaux étaient apportés au sanctuaire chaque année. Ici, un repas de sacrifice a été préparé pour Israël et leurs familles afin qu'ils puissent se réjouir devant le Seigneur et apprendre à le craindre toujours.

I. Pour répondre aux revendications de Dieu . Il doit y avoir une reconnaissance pieuse de Dieu comme la source de toutes les miséricordes, sans les soins de qui la terre ne donnerait pas ses produits, ni les troupeaux leur augmentation. Le blé, le vin et l'huile viennent de Lui. Dans chaque domaine de la vie, nous devons reconnaître ses droits. Le septième de notre temps, les prémices des champs et le premier-né de la famille, les revenus de la famille et de l'Église devraient lui être donnés comme Propriétaire et Propriétaire de toutes choses. « Eh bien, pouvons-nous penser que notre substance est due lorsque nous nous devons à nous-mêmes », dit Bp. Halle .

II. Pour soutenir les œuvres de piété . Les revendications du droit créateur se sont renforcées par le prix infini du sang du Rédempteur. En dehors de ce qui est appliqué aux usages personnels, familiaux et civils, une partie, sinon un dixième, est requise pour le culte, l'évangélisation et l'humanité.

1. Religieusement . Les ministres et les ordonnances de la maison de Dieu doivent être respectés. Les contributions reposent sur le principe des dons volontaires, plutôt que sur des demandes stipulées. Bien que Dieu ait commandé à Israël d'apporter leurs offrandes, aucune loi n'a contraint les désobéissants. Ainsi, nous sommes traités avec confiance et considération. Dieu honore les hommes en leur permettant de dépenser leurs trésors et leur habileté sur des édifices sacrés et de lui rendre un culte solennel.

2. Socialement . « Le Lévite, l'étranger, l'orphelin et la veuve viendront, mangeront et seront rassasiés. » Dans les œuvres de charité, nous réjouissons les autres. Les impuissants et les orphelins ne doivent jamais être oubliés. La vraie générosité est le moyen le plus sûr de s'épanouir. Celui qui donne recevra, et celui qui disperse augmentera. L'âme libérale sera engraissée. « Honore le Seigneur de ta richesse et des prémices de toutes tes récoltes ; ainsi ta grange sera remplie d'abondance, et tes pressoirs regorgeront de vin nouveau. ( Proverbes 3:9 ).

DISPOSITION SYSTÉMATIQUE POUR UN TRAVAIL BÉNÉFIQUE

Sur ce sujet, nous pouvons recueillir et organiser quelques réflexions d'une brochure du révérend John Ross. Une telle disposition est—

I. Le devoir du peuple de Dieu . Dans la loi juive, Dieu réclamait des dîmes et des dons pour le culte du sanctuaire et les nécessités des pauvres. Les caractéristiques remarquables de ces exigences sont - la priorité de la prétention de Dieu - que des dispositions soient prises avant que l'homme n'ait sa propre jouissance, qu'elles soient proportionnées à la gloire et à la grâce divines, et que pour la plénitude et la puissance, le système est essentiel ; je.

e., que l'œuvre de Dieu soit prévue avant l'indulgence de l'homme . ( Lévitique 19 ; Nombres 18 ; Deutéronome 14 ). Le Nouveau Testament a aussi son plan pour répondre à la demande de Dieu, contenant les mêmes éléments de priorité, certainement, de proportion et de système .

Voir 1 Corinthiens 16:2 , soutenu et illustré par les arguments de poids et les motifs de 2 Cor. les gars. 8, 9

II. La loi financière du Christ . Christ est seul Roi dans Son Église. La constitution de cette église est chrétienne, pas juive. L'apôtre Paul était l'organisateur des églises, et la première épître aux Corinthiens est la grande épître organisatrice de l'Église. Dans son dernier chapitre, l'apôtre institue un système de finances. Ce système a le caractère d'une loi autoritaire et répétée .

« De même que j'ai donné l'ordre aux Églises de Galatie, vous aussi . » La méthode enseignée par l'apôtre pour fournir les revenus de l'Église est une expansion des systèmes ecclésiastiques juifs et pentecôtistes, un exemple pour nous, une obligation implicite et inférentielle soutenue par des arguments cumulatifs et présomptifs. Les institutions du Nouveau Testament ne sont pas données avec une forme et une sévérité sinaïtiques. Ils nous rencontrent comme provisions sacrées pour les occasions urgentes.

Ils s'adressent plus à un cœur disposé qu'à un esprit juridique. Christ règne dans l'amour, mais sa volonté ne devrait pas avoir moins d'autorité ou de pouvoir contraignant à cause de cela. ( Jean 7:17 .)

III. La nécessité de l'âge . L'époque actuelle a besoin d'élévation de but, de sérieux de sentiment et d'ardeur de dévotion. La consécration fidèle de la substance à Dieu, élevée par l'amour chrétien à une règle de vie financière, nourrirait tous les principes moraux et spirituels de l'âme. Conserver la portion du Seigneur est la nécessité de l'âge, de sa tendance.

1. Pour contrôler l'idolâtrie de l'argent et renforcer l'amour de Dieu dans le cœur.
2. Répondre de manière adéquate aux exigences de la religion et de l'humanité.
3. Exhiber la puissance et la beauté de la piété. Par une chaleureuse libéralité chrétienne, en affirmant la suprématie et en pourvoyant aux choses spirituelles et éternelles. En favorisant la simplicité de vie et la fidélité personnelle à Dieu. En soutenant généreusement l'honneur du Christ aux yeux des hommes.

CONSIDÉRATION DIVINE DES CIRCONSTANCES HUMAINES.— Deutéronome 14:24

Dans le pays de Canaan, cependant, où le peuple serait dispersé sur une grande étendue de pays, il y en aurait beaucoup pour qui l'accomplissement de cet ordre serait très difficile — semblerait en fait presque impossible. Pour faire face à cette difficulté, la permission fut donnée à ceux qui habitaient loin du sanctuaire de vendre les dîmes chez eux, pourvu qu'ils ne puissent pas les transmettre en nature, et ensuite de dépenser l'argent ainsi obtenu dans l'achat des choses nécessaires. pour les repas sacrificiels à la place du sanctuaire . — Delitzsch . Ici nous avons-

I. La connaissance divine des circonstances de l'homme . "Si l'endroit est trop loin pour toi." Dieu connaît notre distance de sa maison, l'effort et la force nécessaires pour y arriver, « si le chemin est trop long pour toi », et la rue et la maison mêmes dans lesquelles nous habitons. « La rue dite droite et la maison de Judas. » ( Actes 9:11 : Actes 9:11 ; Actes 10:6 ).

La connaissance de Dieu des actions humaines et de la vie humaine dans tous les domaines est parfaite. Il est partout présent pour discerner et observer notre condition physique et morale. Son omniscience s'étend à tout l'espace et à toutes les créatures.

II. Provision divine pour l'avenir de l'homme . Cet arrangement a été conclu en prévision de l'établissement à Canaan. Ainsi la providence de Dieu nous précède dans la vie. Le vrai sens de la providence est de veiller à pourvoir au préalable ( pro et vides ). « La providence de Dieu est mon héritage », dit l'un. Il anticipe nos difficultés et nos besoins, et pourvoit d'avance à toutes les exigences. « Car tu le préviens (le précède) avec les bénédictions de la bonté. » ( Psaume 21:3 ).

III. Tendresse divine pour le bien-être de l'homme . Dieu semble consulter la convenance de l'homme, n'exige pas rigoureusement ce qu'il ne peut pas donner ou faire. Il n'est pas un maître d'œuvre dur, mais raisonnable dans ses exigences ( Matthieu 25:4 ). Nous voyons l'accommodement aux circonstances dans la loi du sacrifice ( Lévitique 5:7 ), dans les règles de commutation ( Lévitique 27 ) et dans l'assouplissement des injonctions concernant la viande ( Deutéronome 12:21 ).

L'esprit du commandement est plus important que la lettre. Car s'il y a d'abord un esprit disposé, cela est accepté, selon «ce qu'un homme a, et non selon ce qu'un homme n'a pas». ( 2 Corinthiens 8:12 ).

CHARITÉ À LA MAISON.— Deutéronome 14:28

Tous les trois ans, la dîme devait être consacrée aux œuvres de charité à la maison. « Mettez-le dans vos portes. »

I. Dispensé aux nécessiteux . Les veuves et les orphelins, impuissants et délaissés, sont de véritables objets de charité. « Visiter les orphelins et les veuves dans leur affliction » fait partie de la religion du Nouveau Testament. ( Jaques 1:27 ). Nos hôtes doivent être invités parmi les pauvres. « Quand tu prépares un dîner ou un souper, n'appelle pas tes amis, de peur qu'ils ne t'invitent à nouveau ; mais les pauvres, les estropiés, car ils ne peuvent te récompenser. ( Lévitique 14:12 ).

II. Dispensé dans un esprit de gratitude . Les riches devraient être reconnaissants de pouvoir donner, et les pauvres reconnaissants de recevoir. Dieu ne nous donne aucune mesure maigre. Augmentation de la famille et du bétail, blé et vin en riche abondance. Nous devrions chérir un profond sentiment de notre indignité, une dépendance constante de la générosité divine, et sentir que nous ne sommes que les intendants des trésors que le ciel a mis entre nos mains. « Qui suis-je et qu'est-ce que mon peuple, que nous devrions pouvoir offrir si volontiers après cette sorte ? car tout vient de toi, et nous t'avons donné les tiens.

III. Dispensé sous la bénédiction de Dieu . « Afin que le Seigneur ton Dieu te bénisse. » Nous apprécions mieux ce que nous avons en le partageant avec les autres. Il y a un plaisir exquis dans les actes de bonté. Ce qui est cordialement dévoué à la cause de Dieu et au bien de l'homme, vit, dans sa bienheureuse influence, dans les cœurs humains — en fruits immortels — des vertus terrestres, en perpétuel mémorial devant Dieu et en une éternelle moisson de joie. « Ce que j'ai sauvé, je l'ai perdu ; ce que j'ai dépensé, j'ai eu ; ce que j'ai donné, je l'ai », a déclaré JJ Gurney. « Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. »

L'homme est à l'image de Dieu : mais un pauvre est

Cachet du Christ en plus. Les deux images regardent.

Dieu compte pour lui ; compte la faveur à lui.

Écrivez « Tant donné à Dieu ». Tu seras entendu.

Laisse aller ton aumône, et garde la porte du ciel
ouverte pour toi ; ou les deux peuvent arriver trop tard.

HERBERT.

CONSEILS ET SUGGESTIONS HOMILÉTIQUES

Deutéronome 14:21 . Saint peuple . Il vous a éloigné de la masse du monde profane et vous a choisi pour être ses joyaux ; Que vous soyez saints à lui, il a mis à part pour vous THIV fin, comme le mot hébreu qui signifiea sainteté importations mise à part , ou montage pour une utilisation particulière; ne soyez donc pas infidèle à son dessein, il ne vous a pas appelé à l'impureté, mais à la sainteté (1 Thes.

iv. 7). Soyez donc saints. C'est un sacrilège pour vous de vous disposer à la manière impure du monde, et de vous employer à tout usage profatie, que Dieu s'est consacré. — Abp. Lsighton.

Deutéronome 14:23 . Le Seigneur ton Dieu . "C'est très emphatique, expressif non seulement d'une vérité, mais d'un privilège et d'un privilège spécial. Cela importe plus que certains qui ont été appelés théologiens rationnels sont disposés à le permettre – pas simplement que Jéhovah est notre Créateur, Conservateur et Souverain, notre Protecteur, l'objet de notre culte, de notre amour et de notre adoration suprêmes ; mais proprement, qu'il est notre part par une relation d'alliance particulière .

Comme preuve de cela, il mérite d'être remarqué, qu'il ne se proclame jamais et qu'il n'est jamais appelé dans les Écritures, « le Dieu des anges ». Ce doit être en vertu d'une transaction spirituelle, telle qu'elle n'a jamais eu lieu avec les anges, et à laquelle ils n'ont aucune part, qu'il se proclame notre Dieu, tout ce que Dieu ou Divinité peut être pour nous.

Deutéronome 14:22 . La loi de la dîme .

1. A. Rendez-vous divin.

2. Une règle de libéralité chrétienne. « Toute la dîme du pays, qu'il s'agisse de la semence du pays ou du fruit de l'arbre, ce sont les Seigneurs ; il est saint pour le Seigneur. Lévitique 27:30 ( cf . 2 Chroniques 31:5 ; 2 Chroniques 31:12 , Néhémie 13:12 ).

Fonds consacrés — comment sécurisés ; comment appliqué; ce qui résulte de l'application.

Deutéronome 14:21 ; Deutéronome 14:26 . Joie sociale dans les repas sacrificiels .

1. Sa nature . « devant le Seigneur ». En sa présence, sous son contrôle et accordé par sa miséricorde. « La joie du Seigneur. » « La vraie joie est une chose sérieuse », dit Bonar.

2. Ses participants . Lévites, étrangers, orphelins et veuves ( Deutéronome 14:29 ), représentants de Dieu. « Dieu a laissé ses pauvres saints pour recevoir ses rentes. » — Gurnall .

3. Son but . Pas pour un simple affichage ni pour la popularité. ( a ) Pour sanctifier la joie du foyer. «Cela peut apprendre à craindre le Seigneur ton Dieu. ( b ) Pour obtenir la faveur de Dieu. « Afin que le Seigneur te bénisse. » "Une action bienveillante n'est jamais perdue." "La gentillesse engendre la gentillesse." « Celui qui a pitié des pauvres prête au Seigneur ; et ce qu'il a donné, il le lui rendra de nouveau » ( Proverbes 19:17 ).

Deutéronome 14:24 . L'accomplissement consciencieux du devoir religieux .

1. Dieu n'aura aucune excuse pour désobéir.
2. Il prend des dispositions contre les difficultés sur le chemin de l'obéissance.
3. L'esprit de la loi peut être observé lorsque l'obéissance à la lettre est impossible. Ceci est accepté comme une obéissance réelle et complète . — Bib. Musée .

ILLUSTRATIONS DU CHAPITRE 14

Deutéronome 14:1 . Ne doit pas . Le chrétien ne doit pas tenter de suivre le courant d'un monde pécheur ; s'il le fait, non seulement cela entravera, mais mettra fin à son progrès religieux ; mais il doit s'y opposer, et alors chaque effort de son âme sera sûrement vers le haut, vers le ciel, vers Dieu.— Dr Davies .

Deutéronome 14:2 . Des gens saints . Lorsque les courtisans descendent à la campagne, les gens ordinaires du pays pensent peut-être que leurs habitudes sont étranges ; mais ils ne s'en soucient pas. "C'est la mode à la cour." Quel besoin donc le Divin d'avoir le front si tendre, d'être sans contenance parce que le monde considère la sainteté comme une singularité ? C'est la seule mode dans la plus haute cour — oui du roi des rois, lui-même . — Salter .

Deutéronome 14:3 . Mangez . Notre nature est si intensément symbolique, que là où le signe extérieur de la souillure devient habituel, l'intérieur est trop susceptible de correspondre.—( Mrs Stowe ). Propre . Non seulement l'homme était devenu impur, mais aussi la création irrationnelle. Le péché frappa l'univers de la lèpre en son cœur.

Ni le quadrupède, ni l'oiseau, ni le reptile n'ont échappé à la contagion. La création animale a donc besoin d'être purifiée. Maintenant, une certaine portion du monde humain – la nation hébraïque – a été rendue pure à Dieu ; mais la nation pure doit avoir une nourriture pure. Voici donc une petite proportion de la création rationnelle et irrationnelle purifiée par l'établissement du royaume de Dieu ; le reste du monde, cependant, continue encore dans son impureté. Mais l'Evangile entreprend la tâche de nettoyer l' univers entier . — Cynddyhan Jones .

Deutéronome 14:9 . Les nageoires et les écailles sont les moyens par lesquels les excroissances des poissons sont emportées, comme chez les animaux par la transpiration. Je n'ai jamais connu un cas de maladie en mangeant de tels poissons ; mais ceux qui n'ont ni nageoires ni écailles causent, dans les climats chauds, les troubles les plus malins lorsqu'on les mange ; dans de nombreux cas , ils prouvent un poison.- mortel Whitlaw .

Deutéronome 14:20 . Tout propre . Les bonnes choses de la Providence peuvent être considérées comme ayant cette inscription accipe, redde, cave , c'est-à-dire « accepte-nous comme de Dieu, rends-nous en reconnaissance et garde-toi de nous abuser ». — Wilson .

Deutéronome 14:21 . Étranger dans la porte . Nous lisons dans nos chroniques du roi Oswald, que pendant qu'il était assis à table quand un plat d'argent clair, plein de délices royaux a été mis devant lui, et il était prêt à tomber, entendant de son aumônier qu'il y avait beaucoup de pauvres à son portes, criant piteusement pour un certain soulagement, il ne les a pas remplis de mots, comme "Dieu les aide", "Dieu les soulage!" etc., mais ordonna à son intendant de retirer le plat de la table et de distribuer la viande, puis de battre le plat en morceaux et de le jeter parmi eux.— Holdsworth .

Deutéronome 14:22 . Dîme . On dit du Dr Samuel Wright que sa charité était dirigée selon la règle ; c'est pourquoi il garda une bourse, dans laquelle se trouvait ce mémorandum : — « Quelque chose de tout l'argent que je reçois pour être mis dans cette bourse à des fins charitables. De mon salaire en tant que ministre, qui est incertain, un dixième partie des dons occasionnels et extraordinaires, qui sont plus incertaines, un vingtième partie de l' argent copie des choses que j'imprimer et de l' intérêt de ma succession, une septième partie . » - Buck .

Deutéronome 14:29 . Le Seigneur ton Dieu . Un ami appelant le révérend Ebenezer Erskine, au cours de sa dernière maladie, lui dit : « Monsieur, vous nous avez donné beaucoup de bons conseils, je vous prie, que faites-vous maintenant de votre propre âme ? « Je fais avec, dit-il, ce que j'ai fait il y a quarante ans ; Je me repose sur cette parole : « Je suis l'Éternel, ton Dieu », et c'est là-dessus que j'ai l'intention de mourir.

La richesse illimitée devrait-elle augmenter mon magasin,
La richesse mes soucis peuvent-ils tromper ?
Je serais encore misérable et pauvre,
Sans ton sourire bienheureux.