Jérémie 51:1-64

1 Ainsi parle l'Éternel: Voici, je fais lever contre Babylone, Et contre les habitants de la Chaldée, Un vent destructeur.

2 J'envoie contre Babylone des vanneurs qui la vanneront, Qui videront son pays; Ils fondront de toutes parts sur elle, Au jour du malheur.

3 Qu'on tende l'arc contre celui qui tend son arc, Contre celui qui est fier dans sa cuirasse! N'épargnez pas ses jeunes hommes! Exterminez toute son armée!

4 Qu'ils tombent blessés à mort dans le pays des Chaldéens, Percés de coups dans les rues de Babylone!

5 Car Israël et Juda ne sont point abandonnés de leur Dieu, De l'Éternel des armées, Et le pays des Chaldéens est rempli de crimes Contre le Saint d'Israël.

6 Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, De peur que vous ne périssiez dans sa ruine! Car c'est un temps de vengeance pour l'Éternel; Il va lui rendre selon ses oeuvres.

7 Babylone était dans la main de l'Éternel une coupe d'or, Qui enivrait toute la terre; Les nations ont bu de son vin: C'est pourquoi les nations ont été comme en délire.

8 Soudain Babylone tombe, elle est brisée! Gémissez sur elle, prenez du baume pour sa plaie: Peut-être guérira-t-elle. -

9 Nous avons voulu guérir Babylone, mais elle n'a pas guéri. Abandonnons-la, et allons chacun dans son pays; Car son châtiment atteint jusqu'aux cieux, Et s'élève jusqu'aux nues.

10 L'Éternel manifeste la justice de notre cause; Venez, et racontons dans Sion L'oeuvre de l'Éternel, notre Dieu.

11 Aiguisez les flèches, saisissez les boucliers! L'Éternel a excité l'esprit des rois de Médie, Parce qu'il veut détruire Babylone; Car c'est la vengeance de l'Éternel, La vengeance de son temple.

12 Élevez une bannière contre les murs de Babylone! Fortifiez les postes, placez des gardes, dressez des embuscades! Car l'Éternel a pris une résolution, Et il exécute ce qu'il a prononcé contre les habitants de Babylone.

13 Toi qui habites près des grandes eaux, Et qui as d'immenses trésors, Ta fin est venue, ta cupidité est à son terme!

14 L'Éternel des armées l'a juré par lui-même: Oui, je te remplirai d'hommes comme de sauterelles, Et ils pousseront contre toi des cris de guerre.

15 Il a crée la terre par sa puissance, Il a fondé le monde par sa sagesse, Il a étendu les cieux par son intelligence.

16 A sa voix, les eaux mugissent dans les cieux, Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, Il produit les éclairs et la pluie, Il tire le vent de ses trésors.

17 Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n'y a point en elles de souffle.

18 Elles sont une chose de néant, une oeuvre de tromperie; Elles périront, quand viendra le châtiment.

19 Celui qui est la part de Jacob n'est pas comme elles; Car c'est lui qui a tout formé, Et Israël est la tribu de son héritage. L'Éternel des armées est son nom.

20 Tu as été pour moi un marteau, un instrument de guerre. J'ai brisé par toi des nations, Par toi j'ai détruit des royaumes.

21 Par toi j'ai brisé le cheval et son cavalier; Par toi j'ai brisé le char et celui qui était dessus.

22 Par toi j'ai brisé l'homme et la femme; Par toi j'ai brisé le vieillard et l'enfant; Par toi j'ai brisé le jeune homme et la jeune fille.

23 Par toi j'ai brisé le berger et son troupeau; Par toi j'ai brisé le laboureur et ses boeufs; Par toi j'ai brisé les gouverneurs et les chefs.

24 Je rendrai à Babylone et à tous les habitants de la Chaldée Tout le mal qu'ils ont fait à Sion sous vos yeux, Dit l'Éternel.

25 Voici, j'en veux à toi, montagne de destruction, dit l'Éternel, A toi qui détruisais toute la terre! J'étendrai ma main sur toi, Je te roulerai du haut des rochers, Et je ferai de toi une montagne embrasée.

26 On ne tirera de toi ni pierres angulaires, ni pierres pour fondements; Car tu seras à jamais une ruine, dit l'Éternel...

27 Élevez une bannière dans le pays! Sonnez de la trompette parmi les nations! Préparez les nations contre elle, Appelez contre elle les royaumes d'Ararat, de Minni et d'Aschkenaz! Établissez contre elle des chefs! Faites avancer des chevaux comme des sauterelles hérissées!

28 Préparez contre elle les nations, les rois de Médie, Ses gouverneurs et tous ses chefs, Et tout le pays sous leur domination!

29 La terre s'ébranle, elle tremble; Car le dessein de l'Éternel contre Babylone s'accomplit; Il va faire du pays de Babylone un désert sans habitants.

30 Les guerriers de Babylone cessent de combattre, Ils se tiennent dans les forteresses; Leur force est épuisée, ils sont comme des femmes. On met le feu aux habitations, On brise les barres.

31 Les courriers se rencontrent, Les messagers se croisent, Pour annoncer au roi de Babylone Que sa ville est prise par tous les côtés,

32 Que les passages sont envahis, Les marais embrasés par le feu, Et les hommes de guerre consternés.

33 Car ainsi parle l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël: La fille de Babylone est comme une aire dans le temps où on la foule; Encore un instant, et le moment de la moisson sera venu pour elle.

34 Nebucadnetsar, roi de Babylone, m'a dévorée, m'a détruite; Il a fait de moi un vase vide; Tel un dragon, il m'a engloutie, Il a rempli son ventre de ce que j'avais de précieux; Il m'a chassée.

35 Que la violence envers moi et ma chair déchirée retombent sur Babylone! Dit l'habitante de Sion. Que mon sang retombe sur les habitants de la Chaldée! Dit Jérusalem. -

36 C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel: Voici, je défendrai ta cause, Je te vengerai! Je mettrai à sec la mer de Babylone, Et je ferai tarir sa source.

37 Babylone sera un monceau de ruines, un repaire de chacals, Un objet de désolation et de moquerie; Il n'y aura plus d'habitants.

38 Ils rugiront ensemble comme des lions, Ils pousseront des cris comme des lionceaux.

39 Quand ils seront échauffés, je les ferai boire, Et je les enivrerai, pour qu'ils se livrent à la gaîté, Puis s'endorment d'un sommeil éternel, et ne se réveillent plus, Dit l'Éternel.

40 Je les ferai descendre comme des agneaux à la tuerie, Comme des béliers et des boucs.

41 Eh quoi! Schéschac est prise! Celle dont la gloire remplissait toute la terre est conquise! Eh quoi! Babylone est détruite au milieu des nations!

42 La mer est montée sur Babylone: Babylone a été couverte par la multitude de ses flots.

43 Ses villes sont ravagées, La terre est aride et déserte; C'est un pays où personne n'habite, Où ne passe aucun homme.

44 Je châtierai Bel à Babylone, J'arracherai de sa bouche ce qu'il a englouti, Et les nations n'afflueront plus vers lui. La muraille même de Babylone est tombée!

45 Sortez du milieu d'elle, mon peuple, Et que chacun sauve sa vie, En échappant à la colère ardente de l'Éternel!

46 Que votre coeur ne se trouble point, et ne vous effrayez pas Des bruits qui se répandront dans le pays; Car cette année surviendra un bruit, Et l'année suivante un autre bruit, La violence régnera dans le pays, Et un dominateur s'élèvera contre un autre dominateur.

47 C'est pourquoi voici, les jours viennent Où je châtierai les idoles de Babylone, Et tout son pays sera couvert de honte; Tout ses morts tomberont au milieu d'elle.

48 Sur Babylone retentiront les cris de joie des cieux et de la terre, Et de tout ce qu'ils renferment; Car du septentrion les dévastateurs fondront sur elle, Dit l'Éternel.

49 Babylone aussi tombera, ô morts d'Israël, Comme elle a fait tomber les morts de tout le pays.

50 Vous qui avez échappé au glaive, partez, ne tardez pas! De la terre lointaine, pensez à l'Éternel, Et que Jérusalem soit présente à vos coeurs! -

51 Nous étions confus, quand nous entendions l'insulte; La honte couvrait nos visages, Quand des étrangers sont venus Dans le sanctuaire de la maison de l'Éternel. -

52 C'est pourquoi voici, les jours viennent, dit l'Éternel, Où je châtierai ses idoles; Et dans tout son pays les blessés gémiront.

53 Quand Babylone s'élèverait jusqu'aux cieux, Quand elle rendrait inaccessibles ses hautes forteresses, J'enverrai contre elle les dévastateurs, dit l'Éternel...

54 Des cris s'échappent de Babylone, Et le désastre est grand dans le pays des Chaldéens.

55 Car l'Éternel ravage Babylone, Il en fait cesser les cris retentissants; Les flots des dévastateurs mugissent comme de grandes eaux, Dont le bruit tumultueux se fait entendre.

56 Oui, le dévastateur fond sur elle, sur Babylone; Les guerriers de Babylone sont pris, Leurs arcs sont brisés. Car l'Éternel est un Dieu qui rend à chacun selon ses oeuvres, Qui paie à chacun son salaire.

57 J'enivrerai ses princes et ses sages, Ses gouverneurs, ses chefs et ses guerriers; Ils s'endormiront d'un sommeil éternel, et ne se réveilleront plus, Dit le roi, dont l'Éternel des armées est le nom.

58 Ainsi parle l'Éternel des armées: Les larges murailles de Babylone seront renversées, Ses hautes portes seront brûlées par le feu; Ainsi les peuples auront travaillé en vain, Les nations se seront fatiguées pour le feu.

59 Ordre donné par Jérémie, le prophète, à Seraja, fils de Nérija, fils de Machséja, lorsqu'il se rendit à Babylone avec Sédécias, roi de Juda, la quatrième année du règne de Sédécias. Or, Seraja était premier chambellan.

60 Jérémie écrivit dans un livre tous les malheurs qui devaient arriver à Babylone, toutes ces paroles qui sont écrites sur Babylone.

61 Jérémie dit à Seraja: Lorsque tu seras arrivé à Babylone, tu auras soin de lire toutes ces paroles,

62 et tu diras: Éternel, c'est toi qui as déclaré que ce lieu serait détruit, et qu'il ne serait plus habité ni par les hommes ni par les bêtes, mais qu'il deviendrait un désert pour toujours.

63 Et quand tu auras achevé la lecture de ce livre, tu y attacheras une pierre, et tu le jetteras dans l'Euphrate,

64 et tu diras: Ainsi Babylone sera submergée, elle ne se relèvera pas des malheurs que j'amènerai sur elle; ils tomberont épuisés. Jusqu'ici sont les paroles de Jérémie.

EXPOSITION.

Jérémie 51:1.

Contre eux qui habitent au milieu d'eux qui se lèvent contre moi. L'hébreu a Lēb-Kāmai, qui est Kasdim ou Chaldea, écrit dans le Cypher appelé Athbash (voir sur Jérémie 25:26 ); Tout comme Sheshach dans Jérémie 51:41 équivaut à Babel. La question se pose de savoir si le prophète lui-même est responsable de cette méthode d'écriture secrète, ou d'un scribe plus tard (donc ewald). En faveur de la vue précédente, on peut demander que Babylone et Chaldea reçoivent des noms symboliques (mais pas à athbash) dans le chapitre connecté (Jérémie 50:21, Jérémie 50:31, Jérémie 50:32); en faveur de ce dernier, que la Septuerie a αλδαίους dans Jérémie 51: 1 , et n'exprime pas Sheshach dans Jérémie 51:41 , aussi que la clause À quels Sheshach appartiennent à Jérémie 25:26 est d'une véritable véritable douteuse. Un vent détruit; plutôt, l'Esprit (Ruakh) d'un destroyer (ou peut-être, de destruction). Le verbe rendu dans ce verset "relance", lorsqu'il est utilisé en liaison avec Ruakh, signifie toujours "exciter l'esprit de n'importe qui" (Jérémie 25:11; Aggée 1:14; 1 Chroniques 5:26).

Jérémie 51:2.

Les agriculteurs. Ceci est soutenu par la Septante, le Peshito, Targum, la Vulgate, selon le pointage de Massorétique, mais nous devrions rendre "ennemis". Peut-être que le prophète avait l'intention de suggérer les deux significations, a et o étant presque liés. Doit vider sa terre. L'original a un mot de frappe beaucoup, doit verser (pour les figures, Comp. Jérémie 48:12 ), qui se produit à nouveau dans des contextes similaires dans Ésaïe 24:1; Nahum 2:3 (Hébreu, 2).

Jérémie 51:3.

Contre lui qui plie, etc. Il y a deux lectures dans la Bible hébraïque - une personne donnée par la version autorisée; l'autre, "contre lui qui plie (laissez-le) lui qui plie son arc (viens)." La difficulté, cependant, est dans les deux premiers mots de la clause, qui sont les mêmes en lisant. Il serait beaucoup plus simple de modifier un point unique et de rendre l'archer enfiler son arc; et laissez-le ne pas se lever dans son manteau de courrier »(pour l'ancien mot« Brigandine », voir sur Jérémie 46:4); Ce qui pourrait être expliqué des Babyloniens, sur l'analogie de Jérémie 46: 6 , "Laissez-le ne pas plier son arc, car il sera inutile;" Mais ensuite, la seconde moitié du verset convient guère aux premières - les interdictions semblent clairement destinées à courir dans une commande connectée. D'autre part, les descriptions, "lui qui plie," et "lui qui se lèvent dans sa brigandine", semblent un moyen naturel de mettre "l'armée chaldéenne".

Jérémie 51:4.

Dans ses rues; C'est-à-dire dans les rues de Babylone.

Jérémie 51:5.

L'alliance entre Jéhovah et Israël est une raison pour laquelle Babylone doit tomber; Et la propre culpabilité de Babylon est une autre. Par conséquent, la pitié est hors de propos.

"Ici, vivent la piété où la pitié se termine; que tout homme peut-il être coupable plus que le biais hi-hihe avec le destin de Dieu soutient?".

(Dante, 'Inferno, 20.28, Cayley.).

Fuyez donc par conséquent, vous êtes impliqué dans la ruine de Babylon. Le but de la vengeance de Jéhovah ne peut être inversé.

Jérémie 51:5.

N'a pas été abandonné. L'hébreu est beaucoup plus forcé, "n'est pas veuve" -Sutilisation de l'idée fondamentale de l'Ancienne Testament d'un mariage mystique entre Dieu et son peuple (Comp. Ésaïe 50: 1 ; Ésaïe 54:4; Osée 2:1.). Était rempli de péché; plutôt, avec la culpabilité (hébreu, āshām).

Jérémie 51:7.

Babylone, comme l'instrument utilisé par Dieu pour ses objectifs judiciaires, est assimilé à une tasse à vin, qui "rendu toute la terre ivre" (Comp. Jérémie 25:15 , Jérémie 25:16); Et, plus que ceci, à une tasse d'or, telle était l'impression faite sur les prophètes juifs, par la splendeur non échanigurée de Babylon. Donc, dans la vision de Nebucadnetsar de l'image, la tête de l'image est d'or ( Daniel 2:32 , Daniel 2:38). Mais ni sa splendeur ni son position honorable en tant que ministre de Dieu ne pouvaient la sauver de la destruction mérite.

Jérémie 51:8.

Détruit. L'hébreu, plus de force, a "est cassé". La version autorisée souhaitait peut-être éviter l'objection qu'une tasse d'or ne pouvait pas, bien parler, être cassée. Mais si nous commençons une fois à harmoniser la langue de la poésie hébraïque, nous n'avons pas de fin. Ce n'est pas la tasse qui tombe, mais l'État, considéré comme une maison (la «brèche» du peuple de Dieu est constamment réfésié; par exemple Psaume 60:2; Ésaïe 30:26). Howl pour elle. Les passants sympathiques font appel de manière dramatique. Du prochain verset, il semblerait qu'ils soient les différents étrangers qui, par choix ou par force, résidaient à Babylone et qui ont acquis un intérêt pour son destin. Hitzig pense que les mercenaires étrangers ( Jérémie 50:37 ) ou des alliés sont spécialement mentionnés. Prenez un baume pour sa douleur (Comp. Jérémie 8:22; Jérémie 46:11). Les images de fracture et de plaies sont combinées, comme dans Ésaïe 30:26 .

Jérémie 51:9.

Nous aurions guéri Babylone. L'expérience montre qu'il est inutile de tenter de corriger ces maux invétérés. Tout le monde dans son propre pays (comme Jérémie 50:16 ). Son jugement; c'est-à-dire sa punition. Peut-être qu'il y a une allusion au sort de Sodome et de Gomorrre, brûlée par le feu du ciel. Mais nous pourrions également rendre "Son crime" (Comp. Deutéronome 19: 6 , où "digne de la mort" est plus strictement "un crime capital").

Jérémie 51:10.

Notre justice; littéralement, nos justesse; pas dans le sens des "actes justes" (comme dans Ésaïe 64:6; Juges 5:11), mais "ces choses qui nous prouvent de justes ; c'est-à-dire par punir Babylone, il nous a justifiés »(Payne Smith).

Jérémie 51:11.

Faire brillant; Plutôt, polir, de sorte que les flèches puissent pénétrer facilement (Comp. Ésaïe 49: 2 , "un arbre poli"). Rassembler les boucliers; remplir plutôt les boucliers (à savoir. avec vos bras); c'est-à-dire en saisir. Comp. La phrase, "pour remplir la main avec l'arc" ( 2 ROIS 9:24 ). Le rendu "carnets" manque d'autorité philologique et semble avoir été déduite de ce passage, où, cependant, il n'est pas nécessaire. Les rois des medois. Le prophète parle des medois et non des Perses (Comp. Ésaïe 13:17 ). "La raison, probablement, est double:

(1) que le nom de Madai est devenu connu des Juifs à une période antérieure que paras, "Perse;" et.

(2) que les généraux de Cyrus étaient apparemment des médiumes ». La nouvelle inscription Cyrus s'allume sur cette dernière circonstance.

Jérémie 51:12.

Sur les murs de Babylone; Plutôt, vers les murs (comme Jérémie 4: 6 ). La "norme" a été portée devant l'armée, pour montrer la direction de la marche. Faire la montre fort. Pas simplement pour la sécurité des envahisseurs, mais de bloquer la ville. Comp. La phrase, "Watchers [un mot hébreu est utilisé] est venu d'un pays lointain" (Jérémie 4:16); I.e. Besiegers. Préparez les embuscades. Pour appuyer dans la ville lorsque les assiégés ont fait une Sally (comme Josué 8:14-6; Juges 20:33, Juges 20:37).

Jérémie 51:13.

Babylon est adressé comme étant la plus étroite sur de nombreuses eaux, avec référence, non seulement aux euphrates, mais aux canaux, aux digues et aux marais qui ont entouré la ville. La mesure de ta couverture. Une expression étrange, même lorsque nous avons fourni (et avons-nous le droit de le faire?) Un verbe approprié, tel que "est plein." "Mesure" est, littéralement, ell, "convoitise" devrait plutôt être gain, ou gâcher. Un autre rendu possible est: "La mesure de Thy de ton coupure". En fait, la signification racine du mot rendu "gain" "ou" convoitise "est" à couper; " Et la figure de la découpe de la vie à moitié finie d'un homme, comme une toile du métier à tisser, nous connaît-nous du psaume de Hezekiah ( Ésaïe 38:12 ; comp. Job 6:9).

Jérémie 51:14.

Je vais sûrement vous remplir, etc. C'est le rendu de Hitzig et Graf; Les ennemis sont comparés aux criquets, comme dans Jérémie 46:23 . Mais l'expression, "remplir une ville avec des hommes", est plus naturellement prise de l'augmentation de la population de la ville; Et il vaut mieux rendre, avec Ewald et Keil, "même si [ou, même si] je me suis rempli avec des hommes, comme pour les sauterelles, ils susciteront-ils la lutte du millésime;" C'est-à-dire que les millions de la population de Babylone ne la sauveront pas de la ruine la plus totale. Pour la joie vintage, voir sur Jérémie 25:30 ; Et pour les chiffres, voir surtout, Ésaïe 63: 1-23 .

Jérémie 51:15.

Probablement interpolée de Jérémie 10:12 (la seule différence verbale est dans Jérémie 10:19, où "Israël" est laissé de côté avant "la tige de son héritage "). Mais ne peut-être pas que Jérémie s'est citée? Concevable, oui; Mais il n'aurait sûrement pas cité un tel passage ici, où il gâche le contexte. Pour accorder qu'un point de contact avec le verset 14 puisse être trouvé pour les versets 15, 16 (Jéhovah qui a juré a également le pouvoir d'accomplir), mais le passage des idoles se tient tout à fait et distrait l'attention du lecteur.

Jérémie 51:20.

Israël est maintenant d'être le marteau de Jéhovah, qui frappe tout, même le colosse du Chaldean. Mais bien que Babylone soit aussi grande et aussi destructive qu'une montagne volcanique, elle sera bientôt incarcérée.

Jérémie 51:20.

Ma hache de bataille; Ou, ma masse. La masse (pour une image dont voir Rawlinson, les «premières monarchies», 1,459) était une arme constamment employée par les Assyriens et vraisemblablement par les rois babyloniens. La hache de bataille était beaucoup moins fréquemment utilisée. Mais qui est adressé par ce terrible titre? Les commentateurs sont divisés, certains inclinables à Babylone,.

(1) Parce que Babylone était la dernière personne adressée (voir Jérémie 51:14 ), et.

(2) Parce que le titre similaire a été donné à Babylone dans Jérémie 50:23 : d'autres à Israël, au sol que les temps sont les mêmes tout au long du passage (Jérémie 50:20). La dernière vue est probablement la meilleure. Comment Babylon pourrait-il être dit briser ses propres "gouverneurs" et "vice-vices" (pour le prophète choisit délibérément les noms officiels babyloniens)? L'argument du contexte n'est pas très lourd; Car il est clair que la connexion des parties de cette prophétie est très lâche. Nous pouvons assumer, alors que Jérémie 50:20 commence un nouveau paragraphe, debout, debout, de celui qui précède. L'objection de Graf et de Keil, est qu'Israël ne pouvait pas être censé lui-même une "masse", ce qui est le destin d'Israël d'être livré par d'autres. Mais n'est pas une déclaration très similaire faite d'Israël dans Ésaïe 41:15 ; Psaume 149:7? (Kuenen propose une troisième explication-Cyrus.) Les nations ... des royaumes. Premièrement, les grands organismes sociaux sont mentionnés; Vient ensuite le pouvoir militaire; Ensuite, la population, selon le sexe, l'âge et la classe.

Jérémie 51:23.

Capitaines; Plutôt, les gouverneurs. C'est la forme hébraisée (Pekhah) du nom officiel d'un gouverneur assyrien ou babylonien (Pahhat). Dirigeants; plutôt, vice-roi; Hébreu, Segamin (pluriel). Le singulier, Sagan, est hébraisé de l'Assyrien Sakun, Babylonien Sagun.

Jérémie 51:25, Jérémie 51:26.

Une autre image pour la destruction de Babylone.

Jérémie 51:25.

O détruire la montagne. La description pointe évidemment sur un volcan.

(1) Jéhovah dit qu'il va rouler la montagne des rochers, qui ne peut être comprise que des pierres et de la lave déchira du cratère;

(2) qu'il en fera une "montagne de brûlure", c'est-à-dire à une flambée ou de montagne brûlée plus de force; et.

(3) que, en conséquence de cela, ses pierres ne conviendront pas aux fins du constructeur. Maintenant, la Palestine, elle a été clairement faite, "se trouve presque au centre d'une grande région du volcan de la surface de la Terre, que, à savoir, qui inclut le bassin de la Méditerranée et des provinces de l'Asie occidentale ou centrale. Traces de cette Une action volcanique se trouve dans toutes les directions. La roche basaltique noire du Hauran, les sources chaudes de Tiberius et d'Emmaüs et de Gadara, les fontaines naphta près de la mer morte, les digues de la porphyre et d'autres tevokes volcaniques qui se frayent un chemin à travers le calcaire, Les nombreux avant-coureurs des rochers calcaires eux-mêmes, - tous montrent que nous marchons sur le sol où les forces des incendies cachées ont été parfois passées en activité active. Nous sommes, c'est-à-dire dans une zone de tremblements de terre ». Il y a une frappe parallèle à cette description prophétique dans Apocalypse 8:8, où la destruction d'un grand empire est assimilée à la submerse dans la mer d'une grande montagne brûlante (Vitringa a remarqué le parallèle.).

Jérémie 51:26.

Et ils ne doivent pas prendre de toi, etc. "de toi," c'est-à-dire "du pouvoir babylonien" personnifié - non "de Babylone", construit en brique, pas de pierre. La figure de la montagne est toujours préservée.

Jérémie 51:27-24.

Un croquis plus détaillé de la conquête de Babylone; suivi (un peu hors de l'ordre naturel) par une plainte de la part d'Israël et une promesse de championnat sur celle de Jéhovah.

Jérémie 51:27.

Préparer les nations; littéralement, consacrer les nations; Viz. par des rites religieux. C'est dans un sens particulier une guerre religieuse à laquelle ils sont convoqués (voir sur Jérémie 6: 4 , et Comp. Ésaïe 13:3). Ararat. Ararat apparaît dans les inscriptions cunéiformes sous la forme "Urartu? Dans Ésaïe 37:38 La version autorisée rend correctement par" Arménie ". Les rois assyriens, puisque Shalmaneser, étaient constamment en guerre avec les Arméniens ; Aburbanipal les a réduits pour rendre hommage. Minni. Le manni des inscriptions cunéiformes. La localité de cette tribu a été jusqu'ici donné à tort comme le pays de montagne du lac Vau. Mais le professeur Sayco a montré qu'ils étaient plutôt à la recherche de sud-ouest du lac Uruumiyeh. Un capitaine. Le mot (Tifsar) est singulier, mais il est probablement d'être compris collectivement comme équivalent à "capitaines", comme le mot (SUS, "cheval", équivalent à "chevaux") à laquelle il est parallèle. Il est ici utilisé de manière lâche à certains fonctionnaires des Arméniens; mais c'est correctement un mot assyrien (adopté de l'accadien ou du proto-babylonien), ce qui signifie "écrivain tablette" et dérivé, selon Friedrich Delitzsch, de la trempette ou dup , une tablette, et assis, écrire (mot accadien s). Comme les chenilles brutes. C'est le tiers des quatre types de sauterelles mentionnés dans Joël 1: 4 ; Ou, pour parler plus précisément, c'est le criquet dans son avant-dernière étape, lorsque ses ailes sont déjà visibles, mais enveloppées dans des gaines liées à la corne, qui se défient sur le dos. D'où l'épithète "rugueux" ou "hérissé". Le rendu de Keil, "comme la crique terrible (horrible)," implique une interprétation erronée de Joël 1: 4 . Il serait effectivement étrange si Joel avait accumulé quatre termes synonymes pour criquet dans un contexte aussi particulier.

Jérémie 51:28.

Les capitaines ... les dirigeants; Plutôt, les gouverneurs ... les vice-règlements (comme Jérémie 51:23 ). Cela fait référence à la terre de Médée; Sa domination au roi de Médée, en tant que suzerain des chefs inférieurs.

Jérémie 51:29.

Doit trembler et chagriner. L'hébreu a «tremblé et tremblé» (ou, «tremi et se tordait de douleur»); Et dans la suite, se trouvaient (c'est-à-dire ratifié par l'événement, comme Jérémie 44:28 ). Le prophète ici, aussi souvent, ce qui est encore futur comme passé du point de vue de l'éternité.

Jérémie 51:30.

Désespoir des guerriers babyloniens. Se battre pour se battre devraient plutôt avoir cessé de se battre. Dans leur réserve. Le mot est utilisé avec des solutions de colline ou de montagne, et telle vraisemblablement sont mentionnées ici. Leur force; plutôt leur courage. Ils ont brûlé, etc. Le sujet est "les ennemis". Ses bars; Viz. Ceux avec lesquels les portes de la ville ont été sécurisées (Comp. Ésaïe 45: 2 ; Amos 1:5).

Jérémie 51:31.

Un poste doit courir pour rencontrer un autre, etc. Le mur étant brisé à différents moments, les courriers se rencontreraient sur leur chemin vers le palais royal. C'était lui-même une forteresse au centre de la ville, sur l'Euphrate. L'inscription de cylindre nouvellement découverte montre cependant que Nabonidus, le dernier roi de Babylone, n'était pas en fait dans la ville au moment de la capture. D'un bout; Plutôt, de bout à bout (voir sur Jérémie 50:26 ).

Jérémie 51:32.

Et que les passages sont arrêtés; sont plutôt saisis (comme Jérémie 48:41 ). Babylone, on se souvient de se rappeler, était divisé près de moitié par les Euphrates. Il a été gardé, dit le professeur Rawlinson, "de deux murs de brique, qui les jupe la longueur de toute leur longueur. Dans chacun de ces murs comportaient vingt-cinq portes, correspondant au nombre de rues qui donnaient sur la rivière; et à l'extérieur de chaque la porte était un lieu d'atterrissage en pente, par lequel vous pourriez descendre au bord de l'eau, si vous aviez l'occasion de traverser la rivière. Les bateaux étaient gardés à ces endroits d'atterrissage pour transmettre des passagers d'un côté à l'autre; tandis que ceux qui ont détesté cette méthode de Transportement, un pont a été fourni d'une construction quelque peu particulière »('d'anciennes monarchies, 2.514). Les roseaux qu'ils ont brûlé avec le feu. Ce rendu n'est pas un doute tenable, même s'il donne un sens inhabituel au premier nom. Les "roseaux" seraient ceux des marais dans le quartier de Babylone; Et Kimchi suggère que celles-ci seraient coupées pour faciliter l'entrée de l'armée dans la ville, sûrement une explication très forcée. La signification naturelle du premier nom est "piscines" ou "lacs" et, étant donné que l'hérodote (1.185) parle d'un lac dans le cadre des défenses de Babylone, il a été pensé (par exemple par Vitringa) que le prophète peut se référer quelque chose qui devait arriver à cela et des lacs similaires; "Brûlé avec un incendie" est alors considéré comme une expression hyperbolique équivalente à "séchée" (Comp. Jérémie 51:36 ). Cela n'est toutefois pas moins forcé que la première interprétation; Et nous semblons presque obligés d'assumer la corruption du texte et de lire (pour 'Agammı̄n)' Armōnı̄m, palais. Si "palais" (c.-à-d. Les maisons hautes, pour telle est la signification étymologique) n'étaient pas rares à Jérusalem (Ésaïe 32:14), beaucoup plus fréquents doivent avoir été à Babylon ou peut-être le Le prophète fait référence aux deux magnifiques palais royaux, qui, avec le temple de Bel, constituaient les merveilles de Babylone. Ils étaient sur des côtés opposés de la rivière et étaient gardés avec des enceintes triples, la circonférence dans le cas d'une soixante stade (près de sept miles) et de l'autre à trente (Rawlinson, des monarchies anciennes, '2.514, etc. ).

Jérémie 51:33.

Il est temps de l'ourdner; plutôt, à l'époque où il s'agit de Troden (c'est-à-dire. comp. Ésaïe 21:10; Michée 4:13 .

Jérémie 51:34.

Les captifs juifs sont introduits, décrivant les infractions de Babylone. M'a dévoré; Il nous a plutôt dévoré, et ainsi de suite. "Mes délices" (délices), cependant, est correct. Il m'a fait; Il nous a plutôt fixé (bas) comme. M'a avalé comme un dragon; ou, littéralement, comme le dragon. En comparant cela avec Jérémie 51:44, il est difficile de ne pas voir une allusion au mythe babylonien du serpent, qui dans la lutte avec Marduk (Meredach) dévora la tempête, qui la loyer ventre. Le texte cunéiforme est donné dans les transactions de la société d'archéologie biblique, vol. 4. Partie 2, plaque d'appendice 6. Une partie de celle-ci est donc.

25. IP-TE-RA Pi-I-SA Ti-amtu A-na la-H-A-H-SA.

Ouvert aussi sa bouche Tiamtu pour l'avaler.

26. Rukhu Limnu Yus-te-Ri-Ba A-na la Ca-par SAP-Ti-SA.

Le vent diabolique qu'il a causé pour entrer dans la découverte de ses lèvres [= dans ses lèvres avant qu'elle puisse les fermer].

27. IZ-ZU-TI RUKHI CAR-SA-SA I-TSA-MI-VA.

violent (étaient) les vents (qui) son ventre remplis; et.

28. In-Ni-Kud Lib-Ba-SA VA-PA-A-SA Yus-Pal-Ki (?).

Elle a été percée dans son cœur et sa bouche qui se divisait. .

Les lecteurs de la "Genèse chaldéenne" de Smith se souviendront de Tiamtu le dragon et des représentations de ses gemmes. En ligne 27, le mot rendu "son ventre" contient l'analogue babylonien du mot rendu dans ce verset "son ventre" (KRES). Avec mes délices, il m'a monté; Plutôt, ... nous jeter; Ou, de mes délices, il a été lancé. Pour la variation de la personne, Comp. Juges 11:19, "passons-nous, nous prions toi, à travers ta terre à ma place;" Et sur toute la phrase, Michée 2:9, "... Vous avez jeté de leurs maisons agréables.".

Jérémie 51:35.

Et à ma chair; Plutôt, et ma chair (consommée) (Comp. Michée 3:3). Habitant; plutôt, habitation; C'est-à-dire la vierge habitant.

Jérémie 51:36.

Sa mer; C'est-à-dire l'Euphrate (comp. Ésaïe 21: 1 ), ou peut-être le lac creusé par Nitocris pour recevoir les eaux de l'Euphrate, Hérode; 1.185 (Payne Smith). Comp. sur "les roseaux", Jérémie 51:32. Ses sources, plutôt ses réservoirs. Il n'y a pas de sources, remarques Dr. Payne Smith, dans le sol alluvial plat de Babylonia. Le Makor Word Hébreu est utilisé ici collectivement pour l'ensemble du système de canaux et de réservoirs pour le stockage de l'eau.

Jérémie 51:37.

Tas. «Vasts« tas »ou monticules, formés et disgracieux, sont dispersés à des intervalles sur toute la région où il est certain que Babylone se trouvait anticienciement» (Rawlinson, des monarchies anciennes, '2: 521). Dragons; plutôt, chacals.

Jérémie 51:38-24.

Chute de Babylone; Joie du monde entier.

Jérémie 51:38, Jérémie 51:39.

Ils vont rugir .... Dans leur chaleur; Ils peuvent plutôt rugir ... (Encore) quand ils cire au chaud (avec la luxure), je vais me préparer. Le banquet que Jéhovah préparera est la "tasse de déroutement" parlée dans Psaume 60:3; comp. Ésaïe 51:17 (c'est-à-dire un jugement calamiteux).

Jérémie 51:40.

Je vais les descendre, etc. (Comp. Ésaïe 34:6; Ézéchiel 39:18).

Jérémie 51:41.

Comment est-ce que Sheshach est pris! La Septuerie omet «Sheshach» (voir, sur le nom, Jérémie 25:26 ), et très probablement à juste titre.

Jérémie 51:42.

La mer est montée, etc. Il n'est pas clair si cela doit être pris littéralement ou métaphoriquement (de la Mer des Nations, Comp. Jérémie 51:55). Probablement il est signifié littéralement. On dit que les inondations annuelles des euphrates à présent rendent de nombreuses parties des ruines de Babylone inaccessibles.

Jérémie 51:44.

Bel; I.e. Merodach, la divinité du patron de Babylone (voir sur Jérémie 50: 2 ). Englouti. Une allusion au mythe mentionné ci-dessus (voir Jérémie 51:34 ). Ce que Bel, c'est-à-dire Babylone, a «avalé» n'est pas seulement le butin des nations conquis, mais également ces nations elles-mêmes. Oui, le mur de Babylone va tomber; littéralement, est tombé (est aussi bon que tombé). Le célèbre mur de Babylone (Comp. Jérémie 51:58 ) est décrit par Hérodotus. De cette clause à la première moitié de Jérémie 51:49 est omise dans la Septante.

Jérémie 51:46.

Et de peur que votre cœur soit faible, etc.; plutôt, et (méfiez-vous) de peur, etc. Une rumeur doit à la fois; plutôt, pour une rumeur viendra. La guerre durera alors durer un peu de temps et toutes sortes de rumeurs seront dans les airs. Keil compare Matthieu 24:6.

Jérémie 51:48.

Du nord. La même déclaration que dans Jérémie 50: 3 , Jérémie 50:9, Jérémie 50:41.

Jérémie 51:49.

Comme le babylone a causé, etc. Le verset est très difficile. Ewald et d'autres rendent ainsi: "Non seulement Babylon tombe, o Ye tuer des tubes d'Israël, mais tu as tué ceux de la Terre entière sont tombés à cause de Babylone". Mais pourquoi cette adresse aux tueries d'Israël? En outre, l'antithèse indiquée dans l'hébreu est ainsi détruite. L'enfer explique l'antithèse donc: "Tout comme Babylone devait être intention de la chute des tubes en Israël, alors il tombe donc à cause de babyloniens tunains de toute la Terre". Parce qu'il faut trouver, dans la capitale de l'empire, des personnes de tous les quartiers du monde, qui sont tuées lorsque Babylone est conquis. Une meilleure antithèse semble être gagnée si nous suivons le Peshito et lisons, à la fin du verset, "dans toute la terre". Il sera ensuite affirmé par le prophète que, tout comme Babylone était la cause de la tuerie d'Israélites, de sorte que les fugitifs babyloniens doivent être tués partout où ils se promènent.

Jérémie 51:50-24.

Conclusion de la prophétie.

Jérémie 51:50.

Vous avez échappé à l'épée. De toute évidence, les Juifs sont les personnes adressées. Cependant, il n'est toutefois pas parfaitement clair si l'évasion provient de l'épée de Babylone ou de celle de la vengeance divine. Le parallèle de Ésaïe 24:14 suggérerait ce dernier; Mais dans les versets suivants, la chute de Babylone est décrite comme encore à venir. Ne stand pas encore. De peur que vous soyez dépassé par le jugement.

Jérémie 51:51.

Nous sommes confondus. Un reflet des exilés, exprimant leur honte profonde à l'ignominie qui a été leur lot. Sont venus; ou, est venu.

Jérémie 51:53.

La hauteur de sa force; C'est-à-dire ses hauts murs et ses tours.

Jérémie 51:55.

La grande voix; plutôt le son fort; c'est-à-dire le tumulte de la ville. Quand ses vagues; plutôt et ses vagues; C'est-à-dire les hôtes conquérants (Comp. Jérémie 46: 7 ).

Jérémie 51:56.

Le Seigneur Dieu des recompres doit, etc.; Le Seigneur est plutôt un dieu de récompense; il le fera, etc.

Jérémie 51:57.

Ses capitaines et ses dirigeants (voir sur Jérémie 51:23 ).

Jérémie 51:58.

Les larges murs de Babylone ... et de ses hautes portes. Voir Hérode; 1.179, 181 et les comptes parallèles d'autres auteurs, cités par Duncker ('Hist. De l'Antiquité,' 3.373, etc.), qui impôtent l'hérodote avec une exagération, mais admet comme probable que les murs n'étaient pas moins de quarante pieds vastes. Totalement cassé; Plutôt, détruit même au sol (littéralement, fait nu). Les gens; Plutôt, les peuples.

Jérémie 51:59-24.

Épilogue. Le mot, etc. (voir Jérémie 51:61). Seraiah. Apparemment le frère de Baruch. Avec Zedekiah. La Septante a «de Zedekiah», qui est renvoyée par Bleek et Gratz. Ce serait donc une ambassade, dont Seraiah était la tête. Selon la lecture ordinaire, Zedekiah se rendit lui-même. Un prince tranquille. Pas ça. L'hébreu signifie probablement "en commandant sur le lieu de repos", c'est-à-dire qu'il a pris en charge la caravane royale et a organisé les lieux d'arrêt. Mais le Targum et la Septuerie ont une lecture plus probable (cependant, cependant, impliquant une modification des consonnes du texte ", en commandant sur les cadeaux", c'est-à-dire que l'fonctionnaire qui a pris en charge les cadeaux faits au roi. M . Lénormant parle d'un fonctionnaire appelé "Magister largitionum" (Bel Tabti) ​​dans la cour assyrienne.

Jérémie 51:61.

(Comp. Jérémie 50:3; Jérémie 51:26.) Et Shalt See, et Shalt Lire; Voir plutôt que tu lis.

Jérémie 51:64.

Et ils seront fatigués. Répété accidentellement de Jérémie 51:59 (voir introduction à Jérémie 1: 1-24 .). Jusqu'à présent, etc. prouvant que le livre de Jérémie a une fois terminé avec Jérémie 51: 1-24 .

HOMÉLIE.

Jérémie 51:5.

Souffrant, mais pas abandonné.

Israël n'est pas abandonné parce qu'elle est chassée de sa maison. Babylon n'est pas plus favorisé car elle s'épanouit pour une saison comme une "coupe d'or dans la main du Seigneur". Car le pays des Chaldéens est rempli de péché contre le Saint d'Israël. Ainsi, la vérité est assez contraire aux apparences.

I. Quand Dieu chaste son peuple, il ne faut pas penser à les abandonner. Le châtiment est pour leur propre bien. C'est donc une preuve que Dieu ne les a pas négligés. Au lieu d'être une indication de la haine ou de l'indifférence, le châtiment est un signe de l'amour de Dieu. De plus, lorsque son peuple souffre de Dieu est particulièrement proche d'eux. Ces captifs qui ont accroché leurs harpes sur les saules par les rivières de Babylone ont retrouvé Dieu plus présent que ce qu'il n'était allé aux Juifs pécheurs négligents qui se sont rassemblés dans les tribunaux de son temple. Il faut se rappeler que Dieu se trouve à proximité de nous lorsque nous ne le perçons pas, et souvent les plus proches de ces heures sombres lorsque l'amertume de l'âme nous empêche d'avoir un espoir réconfortant en lui.

II. Bien que Dieu chassera son peuple, il ne les abandonnera jamais. C'est une étape supplémentaire. Non seulement le châtiment n'a aucune preuve de Dieu ayant abandonné son peuple, mais en aucun cas, il ne les abandonnera; Aucune preuve de ce type ne peut être trouvée. Vrai, ils peuvent être séparés de Dieu et peuvent devenir "Castaways;" Mais ceci est seulement parce qu'ils l'abandonnent. Il est toujours vrai à son côté de l'alliance. Devons-nous donc être prêts à s'attendre à ce que le châtiment, mais également bien réglé à la foi que le mal pire, la négligence de nos âmes de Dieu ne peut jamais venir.

III. Les circonstances extérieures ne sont pas des indications de nos relations avec Dieu. Le grand contraste entre Israël et Babylone fournit un exemple de frappe de cette vérité. C'est étrange. Car on aurait pensé que la vie vers l'extérieur et vers l'intérieur harmoniserait. Donc, ils vont finalement. Ensuite, la "Coupe d'or" sera cassée et l'enfant souffrant de Dieu exalté pour être honoré. Mais maintenant, le monde est confus, le mal a permis une certaine liberté pour la discipline qui consécutive du bien, et donc les personnes souffrant d'être près de Dieu tandis que la chance et heureuse sont loin dans le péché,.

Jérémie 51:10.

Thanksgiving public.

Dans la destruction de Babylone et la restauration d'Israël, les personnes défavorables de la captivité considèrent la justification de leur comportement qui était détenue sous une ombre pendant qu'ils partageaient la punition de leurs frères coupables. Si heureux, un problème de leurs ennuis appelle à la gratitude dévotte, et cela trouve son expression dans des hymnes d'éloge et de Thanksgiving public.

I. Louange est l'un des éléments les plus importants du culte. Deux défauts peuvent être observés dans une grande partie de notre culte - les deux découlant de notre centrage en nous-mêmes.

1. C'est trop égoïste. Nous sommes plus sérieux dans la prière que dans les éloges. En masse besoin de crier avec une terrible anxiété; Mais lorsque le besoin est satisfait, nous retournons grâce à des tons pauvres et faibles. Nous sommes impatients d'obtenir des bénédictions pour nous-mêmes, mais peu désireuses de Dieu glorifiant. Pourtant, l'essence du culte est auto-reddition. Nous la dégradons et contredisons son esprit lorsque nous le faisons servir les extrémités de la recherche de soi.

2. C'est trop subjectif. Nous habitons beaucoup sur nos propres sentiments au lieu de sortir de soi dans la contemplation de Dieu. Par conséquent, notre culte est trop lancé dans la clé mineure. Nous gémissons des "miséraires" quand on devrait crier des "magnificats". Nous avons beaucoup à dire sur notre faible domaine, mais peu de choses concernant la manière dont Dieu l'a considéré. Mais, le culte le plus élevé est l'adoration - la sortie de soi d'une merveille, d'amour et de louange à la gloire de Dieu. Ce serait bien si nous avions mentionné moins de nos propres sentiments et que nous étions plus prêts à "déclarer le travail de l'Éternel notre Dieu".

II. Les éloges doivent être définis si cela doit être sérieux. Une grande partie de notre culte est vapide et insensée parce qu'elle est exprimée dans de grandes phrases vagues qui ne pensent que peu de pensées à notre esprit.

1. Nous devrions louer Dieu en déclarant ses œuvres. C'est son personnage que nous adorons. Mais nous voyons et nous en rendons compte tel qu'il est reflété dans ses œuvres. Nous voyons la gloire du soleil, pas en regardant avec Eagle Vision dans son centre éblouissant, mais en regardant à l'étranger sur les nombreuses teintes qui mènent sur la terre et la mer et le ciel. Nous ne pouvons pas voir la gloire de Dieu par des spéculations abstraites sur la divinité; Nous devons étudier ses œuvres dans la nature, la providence et la rédemption.

2. Nous devrions louer Dieu en notant ces œuvres particulières qui affectent notre expérience. C'est le secret des éloges sérieux. Les Juifs déclarent les œuvres qu'ils ont témoignées; C'est-à-dire les bénédictions spéciales de la restauration. Chaque homme peut rappeler certaines des bénédictions qu'il a personnellement appréciées et, dans la considération de ces raisons, voici un bon terrain pour glorifier Dieu.

III. L'expression des éloges devrait être publique. Les gens se réunissent; Ils se rassemblent à Sion, le lieu de culte du public; Ils déclarent-faire public - les œuvres de Dieu. Cela correspond à de nombreuses raisons.

1. Il glorifie Dieu. C'est la seule façon dont nous pouvons le glorifier. Nous ne pouvons pas ajouter à sa gloire, mais nous pouvons le refléter.

2. Cela augmente notre propre reconnaissance. La joie est sympathique. En partageant cela, nous l'augmentons.

3. Cela conduit les autres à voir la même gloire et la même bonté de Dieu. Une chanson de louange est le sermon le plus efficace de la grâce de Dieu; car c'est.

(1) la langue d'expérience,.

(2) une expression de sentiment, et.

(3) une représentation vivante des "œuvres du Seigneur de notre Dieu".

Jérémie 51:10.

(Voir l'homélie sur Jérémie 10:16.).

Jérémie 51:20.

Axe de la bataille de Dieu.

I. Dieu travaille parfois la destruction. Il ne fait pas. plaisir de la destruction. Ce n'est pas son travail en chef. Mais il l'a joué et il peut encore. Quand une chose est absolument diabolique, il est préférable de cesser d'être. Pour la prévention d'un autre mal, il doit être détruit. Le créateur devient alors le destroyer.

II. Dieu utilise des instruments humains. Il aurait peut-être envoyé la mort, alors qu'il crée la vie, avec un mot. Mais il a choisi d'utiliser une arme, "une bataille hache", c'est-à-dire un instrument humain. Ainsi.

(1) il honore les bons hommes en leur faisant ses serviteurs, et.

(2) Il neutralise l'influence perverse des méchants d'hommes en le renversant pour les extrémités du jugement divin.

III. Ils ne peuvent pas servir Dieu dans le travail supérieur peuvent encore le servir dans une mission nécessaire. L'homme qui ne peut pas devenir prophète peut agir comme "la hache de bataille de Dieu". Dans le grand royaume de Dieu, il y a du travail pour toutes les classes et toutes sortes d'hommes. Natures brutes et grossiers peuvent trouver une mission. Toujours la plus haute mission n'est pas ça. de destruction. Le serviteur le plus digne de Dieu est celui qui suit Jésus-Christ et. "va faire du bien".

Jérémie 51:45.

Vol de la ville de Destruction.

Comme le Christ a conseillé à ses disciples de fuir Jérusalem lorsque le jugement du ciel était sur le point de tomber, Jeremiah dit ici des habitants hébraïques à Babylone pour échapper à la ville condamnée. Le parallèle suggère que des circonstances similaires puissent rendre une conduite similaire souhaitable.

I. Le monde pécheur est une ville de destruction. Le monde comme Dieu l'a créé. est bon et sûr. Mais l'homme a rendu le monde un endroit dangereux par son abus de ses propriétés inférieures. Ainsi, l'Esprit mondain est un esprit diabolique et le prince de ce monde est le pouvoir suprême de la méchanceté. Jésus-Christ a mélangé sa photo de la destruction de Jérusalem avec une vision plus grande de la fin du monde. De quelle manière l'accomplissement plus large et plus éloigné de sa prophétie viendra sur nous ne pouvons pas dire; Le jour de celui-ci n'est connu qu'aucun homme, pas même au "fils de l'homme" ( Matthieu 24:36 ). Pendant ce temps, le monde réside sous une certaine maladie. Cela a été tellement corrompu et abusé de céder à son esprit, de suivre ses moyens, de vivre principalement pour ses avantages, c'est de la ruine du tribunal.

II. Le chrétien est invité à fuir de cette ville de destruction. (2 Corinthiens 6:16.) Il semblerait que la pointe de la séparation entre le monde et l'église se fonte. Peut-être que c'était un peu raide et arbitraire. De nombreuses choses innocentes étaient autrefois placées sous l'interdiction que la plupart d'entre nous ne penseraient pas maintenant à condamner, et une sainteté malsaine était favorisée par l'idée que la strictisme était la sainteté. Nous grandissons plus et plus raisonnables à certains égards, apprenons que "chaque créature de Dieu est bonne, et rien ne doit être rejeté, s'il est reçu avec Thanksgiving: car il est sanctifié à travers la Parole de Dieu et de la prière." De plus, nous pouvons espérer que l'esprit du Christ a pénétré dans le monde au-delà des frontières de l'Église, de sorte que l'atmosphère même de la société mondaine est plus ou moins imprégnée en purifiant les idées chrétiennes. Néanmoins, l'approche du monde et de l'Église est mutuelle si le monde se rapproche de l'église, l'Église est à certains égards approchant du monde. Un esprit mondial en affaires, dans le plaisir, même en religion, est trop apparent. Nous oublions que nous sommes des pèlerins et des étrangers ici et nous recherchons une autre ville. Nous vivons trop que si la prospérité mondiale était l'objectif de la vie. Nous devons nous rappeler que ce n'est pas notre repos, que dans la mesure où nous cédons à l'esprit de la mondanité, nous jurons le destin de la ville de la destruction.

III. Le vol du chrétien de la ville de destruction doit être spirituel. Les Juifs devaient fuir le corps de Babylone et des chrétiens de Jérusalem, mais le vol dont nous avons besoin est totalement différent de leur caractère. Les moines et les ermites ont pensé à fuir le monde en se cachant dans des cloîtes fixes ou loin des solitudes du désert. Mais ils ont fait une double erreur. Ils ont négligé leur devoir envers le monde et pourtant ils ne s'échappaient pas du mal de celui-ci. Nous pouvons porter le monde dans le désert, car c'est dans nos cœurs. Bien que nous ayons des corps et que nous vivons sur la terre, aucun changement de place ne sera échappé du monde. Ensuite, nous avons une mission de remplir, et aucun prétention de soin de nos propres âmes ne peut nous excuser pour chier le travail de la vie; Certaines vues du salut sont souvent présentées selon lesquelles le christianisme est l'égoïsme suprême - la sauvegarde de sa propre âme, même si d'autres souffrent. Ce sont faux. Le grand devoir du chrétien est de vivre pour moi du bien de ses semblables. Pour ce faire, il doit être dans le monde. Les rapports sexuels avec le monde pour un tel but sont corrects. Il est stupide de visiter une localité infectée pour le plaisir, mais de manière divinement charitable pour le faire pour le miner aux malades. Le vol du monde doit être échappé à son esprit, son influence pervers, ses délices pécheurs. Christ prie, non pas que nous serons sortis du monde, mais que nous serons sauvés du mal de celui-ci. À travers lui, nous pourrions avoir cette délivrance, car il a "surmonté le monde".

Jérémie 51:50.

Le devoir et l'encouragement des sauvés.

I. Le devoir. "Stand pas encore.".

1. Pourquoi le devoir est requis. La délivrance passée n'est pas une sécurité pour l'avenir. La première flèche a raté la marque, mais la seconde peut frapper. La marée avance; Bien que les vagues ne nous ait pas encore atteintes, ils nous submergeront si nous restons où nous sommes.

(1) Il est possible d'éviter un problème terrestre et de succomber à un autre - d'échapper à l'épée et de tomber une proie à la peste.

(2) Il est possible d'échapper à beaucoup de détresse dans ce monde et de tomber sous une terrible destinée dans le monde suivant.

(3) Il est possible d'être en sécurité maintenant des terribles effets du péché et de céder à une tentation future et d'apporter ainsi la ruine de notre tête à l'avenir.

2. Comment le devoir doit être effectué.

(1) Nous devons être prions. Comme le danger est jamais renouvelé, la grâce doit-elle être. Par conséquent, nous devons toujours chercher de l'aide au ciel.

(2) Nous devons être vigilants. De nouveaux dangers peuvent survenir à tout moment.

(3) Nous devons être impatients de fuir du mal. Tout notre parcours doit être avec le dos de la ville de la destruction.

(4) Nous devons être diligents. Les réalisations du passé ne suffiront pas. Oublier ces choses qui sont derrière, nous devons appuyer en avant. La sécurité du chrétien ne fait pas confiance à Christ, mais en toute obéissance.

II. L'encouragement. "Rappelez-vous le Seigneur de loin et laissez Jérusalem entrer dans votre esprit".

1. La grâce de Dieu dans le passé est un encouragement pour l'avenir. Les délivrances passées ne nous protégeront pas contre le danger futur, mais ils fournissent des raisons pour des raisons de rechercher la sécurité dans Dieu.

2. La principale raison de faire pression sur diligente et, espérons-le, doit être trouvée dans la contemplation de Dieu. Sa sainteté devrait nous faire peur du péché; Son amour devrait nous faire confiance à sa grâce aidante. Que nous ne puissions pas rester immobiles, nous devrions "se souvenir du Seigneur".

3. Notre extrême éloignement de Dieu devait nous demander de ne pas rester immobile, nous avons peut-être erré loin de Dieu dans le péché ou l'avoir oublié parmi la foule des distractions mondaines. Mais lorsque nous réalisons notre état, lorsque nous viendrons à nous-mêmes, nous verrons que notre seule sécurité sera à l'origine et à notre père. Nous ne pouvons jamais être trop loin pour revenir par Christ "le chemin". Plus nous sommes de Dieu, le plus grand est notre danger, le plus proche, nous approchons de lui, plus de sa grâce et de son aide pourra profiter.

4. Les pensées de notre mission et de notre destin devraient nous induire de ne pas rester immobiles. Les Juifs doivent se souvenir de Jérusalem, leur ancienne maison, le siège de leur futur destin. S'il n'y avait pas de telle ville, ils pourraient désespérer dans leur exil. La pensée de Jérusalem suggère un centre d'union et un objectif pour l'avenir. Si un homme perd tout espoir, il se perd. Lorsque nous pensons à notre futur futur et à notre mission, nous sommes ravis de prendre les discussions enchevêtrées et de tisser le travail de notre vie avec patience en fonction du schéma de la volonté de Dieu.

Jérémie 51:52-24.

Le livre coulé dans la rivière.

I. Les hommes ne souffrent pas pour leurs péchés sans avertissement de Dieu. Seraiah devait aller à Babylone et voir qu'il y a lu les mots de la prophétie concernant la ville. Dieu nous a prévenus de la destination du péché et il nous a envoyé l'avertissement. Nous n'avons pas à la chercher. Cela semble dans nos oreilles. Il est écrit grand dans la Bible. Il est répété dans les leçons de la Providence.

II. Si un avertissement divin n'est pas pris en compte, il est inutile pour le condamné. La prophétie semble avoir eu peu ou aucun effet sur le peuple de Babylone. Nul doute qu'il a été envoyé dans la miséricorde comme la prêche de Jona contre Ninive, pour diriger les gens à la repentance. Mais s'ils n'ont pas réussi à se repentir, le message divin ne pouvait se permettre aucune protection. À moins que nous soyons influencés par la Bible, il sera inutile pour nous de le tenir dans nos mains. Cela ne peut être alors que un témoin contre nous. Ni le simple possesseur des Écritures, ni le lecteur, ni l'étudiant de celui-ci ne trouvent un moyen de sécurité dans ses enseignements, mais seul celui qui suit ses vérités dans la pratique. Celui qui entend les paroles de Christ et les fait construire sur le rocher.

III. Lorsqu'un avertissement divin est prouvé d'être inefficace, il peut être retenu. Le livre, plus utilisé, doit être jeté dans la rivière et coulé avec une pierre attachée à elle. La voix de la conscience s'échappe de l'étant toujours longue. Alors que les hommes négligent d'obéir aux enseignements des Écritures, ils se durcissent contre la réception d'eux. S'il n'y a pas de simple avertissement, ils peuvent devenir négligents comme s'il n'y avait plus de danger. Ils devraient plutôt prendre ce silence comme inquiétant de la destruction approche que l'avertissement a été inefficace pour les exhorter à s'échapper.

Homélies de A.f. Muir.

Jérémie 51:5.

L'amour divin ne doit pas être coupé de son objet.

Une déclaration merveilleuse. Un reste pécheur de son peuple, qui avait cassé tous les engagements de son alliance, est toujours propriétaire et soigné.

I. Une preuve de la fidélité et une longue impirrement souffrant de Dieu.

1. Après avoir conclu des relations d'alliance avec Israël, il ne se retirera pas, même si leur partie de l'accord n'a pas été conservée. Il reste fidèle, malgré l'infidélité humaine. La terrible culpabilité de la nation élu ne peut pas invalider les obligations que Dieu s'est imposée sur lui-même. Il est donc prêt, donc à tout moment de les remplir lorsque les conditions sont respectées.

2. Mais il est plutôt dû être considéré comme illustrant la miséricorde divine. Les objectifs de son amour ne sont jamais mis de côté. Il élabore des schémas de salut quand nous sommes encore pécheurs.

3. Bien que caché des yeux humains, l'amour divin fonctionne continuellement et à travers toutes choses. Il était difficile pour de simples hommes de voir la faveur de Dieu dans des moments de temps. Beaucoup d'Israélites eux-mêmes, sans doute, imaginaient eux-mêmes abandonnés. Pourtant, la rédemption était de plus près d'eux à Babylone que lorsque, à Jérusalem, ils l'ont insulté et le désobéira. "Toutes les choses travaillent ensemble pour bien à eux qui aiment Dieu", ere.; "Bien qu'il me tue, mais je ferai confiance en lui" ( Job 13:15 ).

II. Une révélation pleine d'avertissement et d'encouragement.

1. Les ennemis de l'Église ne sont pas de présumer sur ses malheurs.

2. L'Église elle-même, bien que jeté et faible, doit être de bon courage, car elle n'est pas lancée. L'adversité n'est pas abandonnée. "Lo, je suis avec toi toujours." Il n'y a pas de place à la présomption, car les châtions de l'amour ont une grande difficultéité en magasin pour une culpabilité aggravée. Mais, en s'appuyant sur la grâce de Dieu, cela peut survenir et recommencer la mission qu'il a abandonné. - M.

Jérémie 51:6, Jérémie 51:50 .

Le devoir de séparer du monde.

I. Dans quel sens obligatoire sur les enfants de Dieu.

1. Le détachement spirituel est toujours le devoir des saints. Dans le cœur et la vie, ils doivent être séparés à l'Éternel. Leurs motivations, leurs objectifs ultérieurs et leurs dispositions doivent être tels que le Saint-Esprit crée et favorise. Ils obéissent à la loi de la vie de résurrection et "cherchent ces choses qui sont ci-dessus, où Christ sitth sur la main droite de Dieu, fixant leur affection sur des choses ci-dessus, pas sur des choses sur la terre" (Colossiens 3:1, Colossiens 3:2).

2. L'élimination physique peut être requise lorsque.

(1) Tout espoir d'économiser ou de bénéficier des hommes pécheurs est à la fin; ou alors.

(2) Il y a un danger que nous cumulons de céder les tentations de leur société, ou de les encourager dans leurs cours pervers et de partager ainsi leur malédiction. Les Juifs devaient chercher la paix de Babylone tant que c'était possible; Partager dans la vie civique, les activités commerciales et les rapports sociaux, jusqu'à ce que cette prophétie aient été à leur connaissance.

II. Les motifs et les objectifs qui doivent nous influencer pour ce faire, ils ne sont pas égoïstes. Ce n'est que lorsque les intérêts spirituels sont en jeu. Il ne doit pas y avoir d'oisiveté ni d'abandonner lorsque l'appel du devoir vient. Le Juif était à surgir et à chercher sa longue terre abandonnée à la fois. Ses motivations étaient:

1. Allégeance à Dieu. Il devait "se souvenir du Seigneur Afar." Dieu était en effet proche de lui, même là-bas à Babylone. mentir est de chercher plus étroitement pour le servir et l'honorer. Et cela devrait être le but des chrétiens: "Une promenade plus proche avec Dieu". Et s'il soyait spirituellement, il ressentira l'attrait de la Présence divine et de la bénédiction de la communion divine, qui va beaucoup plus que maquillage de la perte temporelle ou de la douleur suscitée pour l'amour de la conscience. C'est le devoir spécial des chrétiens d'appeler à Dieu et de lui obéir quand parmi ceux qui ne connaissent pas son nom.

2. Les intérêts du royaume de Dieu sur la terre. Dieu a cherché à se séparer et à sanctifier à lui-même une population particulière à Olden Time, que cela pourrait être témoin de sa vérité. Il cherche toujours à rassembler une église spirituelle dont la communion se compose de ceux qui sont rachetés par le sang de son fils. Grâce à ses multiples ministères, il effectue le salut du monde. Chaque chrétien est tenu de se connecter avec elle sous une forme ou une autre, et de prendre sa part dans son culte et son travail. La langue de l'ancien exil pourrait bien être adoptée par tous les membres du nouvel Israélo-Psaume 122:1.; Psaume 137:5, Psaume 137:6.-m.

Jérémie 51:10.

Louez le résultat de la sainte expérience.

Ce sont les mots de Jérémie, mais il peut y avoir peu de doute qu'il n'exprime pas d'être instinctivement l'émotion qui doit remplir les seins de ses compatriotes lorsque ses prédictions ont été accomplies. En tant que représentant israélite, il exprime l'impulsion profonde ressentie lorsque les plus grandes dispositions et les délivrances spirituelles spéciales de la vie sont réalisées.

I. Expériences de l'épargne grâce à une occasion de Thanksgiving et de louange. Nous devons reconnaître reconnaissance à Dieu pour notre création, notre préservation et notre merci récurrente de notre vie temporelle; Mais il y a des émotions plus fortes réveillées par les expériences de la grâce dans la nature spirituelle.

1. Notez certains d'entre eux. Cette délivrance de Babylone. Conversion, ou le sauvetage de l'âme de la babylone spirituelle. Les triomphes de l'Évangile; la fidélité des saints; augmentation du pouvoir spirituel et de l'influence; préservation des institutions chrétiennes en période d'apathie spirituelle ou de persécution; Évangélisation des terres de païens, etc. Des réponses spéciales à la prière ou à la paix et au confort dans la communauté privée avec notre Père céleste.

2. leur caractère général. "Le Seigneur a apporté notre justice" ("justice"). Cette délivrance était un grand acte de jugement. La cause du peuple de Dieu a été justifiée et la culpabilité de Babylone vengée! (cf. Psaume 37:6). Le monde entier était témoin du personnage et de la signification de l'événement. Et c'est l'élément de toutes les expériences de Grace qui réveille une Thanksgiving spécial - ce sont des manifestations de la justice divine dans la vie des hommes; triomphes de la vérité et de la sainteté et de l'amour.

II. Le devoir spécial à laquelle ils nous appellent.

1. déclarer et interpréter le travail de Dieu aux hommes,.

(1) par mot;

(2) par le travail.

2. Célébration publique dans la maison de Dieu. Sion était la place la plus appropriée et la plus représentative pour un tel devoir. Le culte du public devrait être lié aux expériences de la dévotion privée et de la vie spirituelle. Les louanges publics et communs sont le privilège et le plaisir des chrétiens. - M.

Homélies par S. Conway.

Jérémie 51:6.

Échapper à ta vie!

"Fuite du milieu de Babylone", etc. Ce mot a été adressé à ceux qui devraient être trouvés à Babylon quand le jour de la vengeance est venu sur elle (cf. Genèse 19:15 ). Et il semble anticiper ce qui a ensuite été le fait - que beaucoup des juifs ne se souciaient pas de partir de Babylone. Noter-

I. Qui sont pour s'échapper. Ce mot n'a pas été adressé à tous. Beaucoup de gens de Dieu ont fait "Let Jérusalem entrer dans leur esprit", et, dès que jamais l'occasion de les avoir reçues, ils sont rentrés à leur propre terre. Mais il y avait beaucoup de qui a choisi de rester. Ils avaient longtemps habita dans Babylone. Ils devaient aimer sa règle, car ils avaient prospéré dans la richesse de ce monde. Les idolâtres environnantes n'ont pas "vex" leurs âmes. Ils se sont sentis en sécurité; Ils étaient devenus moralement et spirituellement asservis. Par conséquent, ils ne reviendraient pas avec leurs frères lorsque l'opportunité est venue. Et comment est la position des hommes maintenant! Ils sont en bondage et captivité spirituelle sous le pouvoir de "le prince de ce monde". Certains ont entendu le mot et se sont échappés, mais d'autres se soucient de ne pas fuir. Ils sont satisfaits d'être où et comme ils sont.

II. D'où ils doivent s'échapper. Babylone signifie le royaume du mal, qui est réglé par l'esprit du mal. Maintenant, ce royaume est représenté correctement par Babylone. Le pouvoir, l'attractivité, la fascination, le decompre, la règle généralisée et longue continue de celle qui trouve leur type et leur ressemblance de l'autre. Et la réticence qui a été ressentie par la grande majorité des Juifs d'arrêter de fumer Babylon est en parallèle par la réticence la plus triste d'abandonner ce royaume de diabolique que Dieu vous demande de nous échapper et de fuir.

III. Pourquoi nous devons échapper. C'est "pour notre vie". Cela ne peut pas être pris littéralement des Juifs de Babylone. Pour, dans la mesure où cette vie était concernée, ils prospèrent considérablement sous la règle persane (cf. Livre d'Esther en preuve). Et leurs descendants vivaient jusqu'au bout des apôtres et étaient ceux "de la dispersion" dont nous lisons dans le Nouveau Testament. Mais pour la plupart de leur vie nationale et spirituelle a été perdue par leur désobéissance à ce commandement. Ils ont cessé d'être des Juifs et ont été absorbés dans les nations païennes autour. Et, bien sûr, leur vie religieuse a péri en même temps (voir les histoires de la captivité). Et ainsi de suite aux analogies spirituelles de ces événements. Les hommes ne vont pas, ne perdez pas littéralement cette vie en refusant de s'éloigner du royaume du mal dans le royaume de Dieu. Au contraire, ils semblent s'épanouir grandement. La prospérité de l'impies est un fait notoire et perplexe dans tous les âges du monde, et c'est une tentation et un procès endormis à ceux qui ressentent le dessin du royaume de Dieu. Et la tentation ne peut être surmontée que en se souvenant que la vie de l'âme dépend de notre obéissance à ce mot. C'est à ce moment que l'invisible et l'éternel sont considérés par la foi que le gloss et le glamour du monde sont considérés à leur valeur réelle et médiocre, et la valeur solide du royaume de Dieu est avouée et cédée. Les anges devaient "hâter" même "juste beaucoup", même si le feu du Seigneur était sur le point de descendre sur "les villes de la plaine". Et comment nous avons besoin d'hâter maintenant! Quelle est la lente de croire que le jugement est proche! Car avec l'avènement de la mort, ce jugement commence à chaque âme qui entre dans l'éternité imprévue et non gonflée.

Iv. Comment nous allons échapper. La seule question tout à fait essentielle est-le souhaite vraiment? Car s'il y ait le désir authentique, le chemin d'évasion sera vite révélé. Aucune directive n'est d'aucune utilité jusqu'à ce que ce désir soit réveillé dans l'âme. Mais là où il existe, il s'exprimera dans ce que la Bible appelle "à la recherche du Seigneur". Et, comme cela se poursuivra, il y aura-t-il approfondi dans l'âme que la haine de péché et d'aspiration après la sainteté qui se trouvent à la racine de toute véritable vie religieuse. La repentance sera ainsi formée dans l'âme et sera favorisée par une obéissance minutieuse à la volonté de Dieu comme indiqué dans sa Parole. Mais-

V. Où allons-nous échapper? Il n'y a qu'une réponse à cela. Au Seigneur Jésus-Christ. C'est comme nous l'admirons dans la troisième confiance, qui renonce à toute l'autonomie, que la nouvelle vie est engendrée aux États-Unis et nous sommes greffés en lui, et devenons donc des "nouvelles créatures", comme dit Saint-Paul, Et nous sommes donc dans le royaume de Dieu et nettoyez-vous depuis le royaume du maléfique. Nous sommes pardonnés, acceptés, fait des possesseurs du Saint-Esprit et de la vie éternelle.-C.

Jérémie 51:10.

La réponse des rachetés.

"Le Seigneur a ... Viens, et laissez-nous" etc.

I. Qu'est-ce que le Seigneur a fait. "Apporté notre justice." Maintenant, nous pouvons comprendre:

1. Le Seigneur Lath a présenté, fait savoir, révélé, lui qui est notre justice. Par son caractère représentatif, ce qui est fait par lui est tel que fait par nous. "Nous jugeons donc que si on est mort pour tout, alors étaient tous morts" ( 2 Corinthiens 5:14 ). Il n'y a rien de déraisonnable dans cela. Nous imputaons perpétuellement aux autres ce qui ne leur est pas ou très faiblement en eux. Nous le faisons lorsque nous traitons des étrangers avec toute la gentillesse pour les raisons de ceux-là - certains honorés et bien-aimés - qui nous leur félicitent. Nous faisons couler sur eux la valeur et la bonté de ceux dont ils sont félicités. Ils ne sont peut-être pas simplement des étrangers, mais indigne et diabolique, et pourtant, pour le bien des autres, nous traitons avec eux, pas comme ils le sont, mais comme ceux-là qu'ils viennent. Le Seigneur Jésus est donc notre justice, béni soit son nom!

2. Le Seigneur a intenté la justice en nous. Mais pour lui, il n'y aurait pas eu de justice du tout. Certains parlent de "bonté naturelle". Il n'y a pas une telle chose. Toute bonté, comme toute la lumière, n'a qu'une source. DIVINES Dire d'arches ruines, de piliers majestueux, etc. dépend du tissu noble qui était autrefois. Mais les Écritures enseigne plutôt que la mort forée péché. Si, alors, il y a un peu plus beau et bon, juste et juste - et il y a, et beaucoup - ce n'est pas une relique, mais une nouvelle création. Il vient de lui qui est "la lumière qui lisse chaque homme qui va dans le monde" (Jean 1:1.; Cf. Jaques 1:16

3. Le Seigneur a apporté son alliance. C'est-à-dire qu'il a provoqué dans son esprit, de sorte que de se rappeler, son alliance qu'il a faite (cf. Psaume 105:8; Psaume 111:1; etc.). Il est jamais déclaré être sur le terrain de cette alliance que Dieu traitait bien avec son peuple. Maintenant, cette alliance avait été, comme il était, éteint de l'esprit divin par la multitude de leurs péchés. Mais maintenant, il le ramène à nouveau.

4. Le Seigneur nous a suggéré. Les ennemis du Seigneur blasphiquèrent son peuple. Les comptaient comme n'ayant aucune valeur ni bonté du tout; aussi bien inférieur à tous les autres. Mais, méprisée comme son peuple et condamné, maintenant, par la rédemption de Dieu, il devait provoquer leur justice, les justifier, sur et avant tout (cf. Psaume 37:5

II. Quoi, donc, devrions-nous faire? "Viens, et laissez-nous déclarons à Sion le travail de l'Éternel notre Dieu." C'est ce que nous sommes à faire.

1. Pourquoi devrions-nous faire cela? Pour l'honneur de Dieu. C'est sa raison. Pour notre propre amour; Pour garder le silence sur ce qu'il a fait pour nous, c'est non seulement le déshonération, mais désastreux pour nos propres âmes. Pour les encouragements des autres, qu'ils peuvent être amenés à faire confiance à lui.

2. Comment devrions-nous faire cela? Ouvertement: «Déclarons-nous à Sion», etc. Ne dissimulez pas notre obligation, ne refusant pas de l'avouer. Unairly: "Viens, et laissez-nous", etc. Joignez-vous à eux d'un esprit comme. Harment: Appelant les autres pour faire ce que, "viens", etc. dans son église: "à Sion". Il prenait notre place, tombant dans l'armée du Seigneur. Dans la Zion céleste, les rachetés du Seigneur ne se fatiguent jamais de déclarer ainsi le travail du Seigneur.-C.

Jérémie 51:19.

La partie de Jacob.

.-C.

Jérémie 51:20.

L'église axe de la bataille de Dieu.

Dieu utilise jamais des instruments pour accomplir ses objectifs. Il est un Dieu qui "se cache". Par conséquent, beaucoup ne voient que des instruments, et oublient ou nier, la main qui les utilise. "Cela ne semble pas une grande partie d'une épée;" dit un, alors qu'il considérait l'arme précieuse d'un grand héros national et d'une vaillante soldat. Ah, mais vous ne voyez pas la main qui l'a utilisé, était la juste réponse. Alors que nous regardons les agences, Dieu emploie, à quel point ils semblent faibles! Mais pensez à la force derrière eux, puis les œuvres qu'ils ont accomplies sont expliquées. Maintenant, cela est vrai de toutes les œuvres de Dieu. N'est-il pas vrai dans toutes les grandes réalisations spirituelles que nous avons entendues de ou vue. Ce verset fait référence à Israël, en référence aux nations idolâtres autour d'eux et à Babylon surtout. Israël était la cause invisible qui a conduit au renversement et à la destruction d'une nation après une autre. Pour l'amour de l'église, Dieu gouverne le monde. "Toutes choses sont à vous." Maintenant, note-

I. Le témoin de l'histoire à la vérité que le peuple de Dieu est sa "hache de combat et des armes de guerre". "Je suis venu de ne pas envoyer de paix sur la terre, mais une épée", a déclaré Jésus et, dans le même sens que ce verset déclare que le mot est vrai. "Magna Est Veritas, et Prevalebit," est un autre rendu du même fait.

1. Avant la naissance de Christ, la pure foi monothéiste d'Israël avait, après leur captivité, a commencé son travail iconoclastique. Sur de grandes portions du monde civilisé alors que la foi a commencé à pénétrer et à se fendre. Pour que les vieilles idolâtres étaient dans de nombreux endroits frappés avec un coup mortel avant même qu'il ait été proclamé qui devait attirer tous les hommes à lui.

2. La chute du paganisme. Nonobstant les nombreuses accumulations d'erreur et de superstition avec lesquelles la foi pure de Christ devint tôt gregné, il est encore resté inhérent à celui-ci et qui est indissociable de celui-ci tel que l'énergie vitale et puissante qu'elle frappe comme avec une "hache de bataille" un mensonge après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient bien presque tous côtiers. Les forces contre elle dans ce monde antique étaient tout simplement énormes, mais l'Église est allée conquérir et conquérir. En vain, le mépris du grand, les incendies de la persécution terrible, le pouvoir de la vénérable superstition; En vainement les obstacles dont elle-même a mis sa propre voie; l'église était toujours la force de Dieu qui détruit de Dieu contre les fausses religions de cet âge, jusqu'en longuant le dernier empereur de Rome qui s'est efforcé de faire revivre le paganisme, Julian, une hiérarchie corrompue malignifiée comme "l'apostat", cependant, il était en fait Moins d'apostat que lui-mêmes-avoué avec son souffle mourant, "O Galilaean, tu as conquis!" Dans tout ce conflit de longue et d'agitation cardiaque, cette déclaration du prophète a été illustrée encore et encore.

3. Dans la Réforme. Non seulement dans les pays dans lesquels les principes de la Réforme ont pris racine, mais dans l'église de Rome elle-même, était l'erreur et le mal détruisant le pouvoir de la vérité qui habitent dans les cœurs du peuple de Dieu fait manifeste. Voir dans un tel livre que la «histoire des papes» de Ranke Quelle vaste différence et des améliorations ont été apportées dans l'Église catholique elle-même par la discipline affreuse à travers laquelle elle avait ensuite passer. Quels que soient les censures sévères devraient être transmises à cette église depuis les jours de la Réforme - et ils ne sont ni peu ni peu de lumière, mais la candeur doit admettre qu'ils sont beaucoup moins légers que ceux que la conscience scandalisée de la chrétienté dans les générations avant.

4. Dans tous les triomphes missionnaires et évangéliques sur Heathendom.

II. Le témoin de l'expérience chrétienne individuelle. Nous ne sommes pas pour parler de la vérité de Dieu comme "puissamment à la hausse des forteresses du péché et de satan." Ceci est un banal chrétien. Et n'est-ce pas vrai? Quoi, mais cette bataille a battu les péchés géants qui ont gouverné et opprimé dans chaque âme?

III. Le secret de cette force. Qu'est-ce qui rend l'église Axe de la bataille de Dieu? Nous répondons:

1. La vérité qui la maintient. La vérité concernant Dieu et nos relations avec lui - il notre père et nous tous ses enfants.

2. L'Esprit qui l'anime; Ce n'est pas un de haine ni de mépris à l'homme, comme il était commun avant que le Christ ne vienne, mais aime aimer même vers le vilest pour l'amour du Christ.

3. La règle qui la régule. Les païens ont regardé avec étonnement l'impression de la vie et de la sainteté du caractère que la foi de l'église produite et se sentait et possédait son pouvoir.

4. L'amour qui la contraint. Elle a déjà "porté dans le corps le mourant du Seigneur Jésus" et, conscient de cela, elle a rétréci aucune souffrance et n'a refusé aucun service.

5. L'espoir qui l'accueille. Elle a travaillé, pas pour une couronne corruptible, mais une incorruptible; Et l'espoir, «cet espoir béni», de son Seigneur semblait recevoir et récompenser son peuple, les a encouragés sur les souffles affreuses qu'ils ont été appelées à supporter. Et c'est toujours en proportion que ces puissantes motivations animent l'Église de l'âme individuelle que le service fidèle et efficace est fait pour Christ contre les nombreux et puissants adversaires de Dieu avec lesquels le monde abondent. - C.

Jérémie 51:25.

Un fait fatal.

"Voici, je suis contre toi.".

I. Sa vérité a avoué. Quand Jérusalem a été emmené le capitaine de l'armée de Nebucadnetsar a laissé que ce qui s'était passé était de Dieu (cf. Jérémie 40: 2 ). Alors, après, quand, par l'armée romaine, Jérusalem a de nouveau été capturé, alors que notre Seigneur prédisverait, alors nous l'avons donc aussi record qu'un aveu d'armées romaines. Et alors ici pour Babylone, aucune autre conclusion ne pourrait être prise. Tellement vaste était le pouvoir de Babylone que seule l'opposition divine pouvait expliquer les calamités qui l'arrivèrent. Et ainsi, lorsque nous verrons des nations, des églises, des hommes, qui ont néanmoins avantageusement amené faible, alors que Rome était par les Goths, nous ne pouvons tenir compte que par ce fait - "Je suis contre toi.".

II. Sa fatalité montrée. Si empires comme Babylon ne peut pas se tenir quand Dieu est contre eux, qui d'autre peut se tenir debout? "Si ces choses se font dans l'arbre vert, ce qui doit être fait dans le sec?" Si la plus puissante tombe sous l'opposition divine, qui du pouvoir moindre peut espérer supporter? "Laissez-le que cela pense qu'il ne tient à prendre de garde de peur qu'il tombe." Il est sûr de savoir si celles-ci.

III. Sa conclusion évidente. Envoyer un ambassadement et rechercher des conditions de paix ( LUC 14:31 ). "Sois toi-même réconcilié à Dieu." "Faminez-vous avec Dieu et soyez en paix." - c.

Jérémie 51:33.

Récoltes d'horreur et de threages de la colère.

La Bible utilise continuellement la similitude de la récolte et de ses travaux, mais ce n'est que par ses mots qualificatifs que nous pouvons savoir quel type de récolte est signifié. Ici, nous avons la métaphore fréquente, mais cela ne raconte aucune joie, de chagrin seulement. Un langage similaire a été utilisé d'Israël comme utilisé ici utilisé de Babylone (cf. Ésaïe 21:10 ; Ésaïe 41:15). Les péchés d'Israël avaient été la graine de cette récolte et c'était une terrible. Toutes les peines de l'invasion et de la destruction de leurs terres et de la ville bien-aimée, leur ville sainte, la Jérusalem et toutes celles qui étaient associées à et ressotent de leur exil amer à Babylone, mais des parties de cette récolte et des coups de ecchymose » fléaux des corrections de Dieu. " Mais ici c'est Babylone qui est parlé de (cf. Ésaïe 21: 1-23 . Pour une prédiction encore antérieure de l'automne de Babylon). Elle avait semé la graine; La tasse de son iniquité était pleine d'autres les récoltes et les battements dont il est dit ici. "Dissolute et luxueux dans leurs habitudes, les Babyloniens se sont cachés sous leur extérieure luxueuse douce une férocité, une convoitise insatiable pour le sang, telles que la marquage de nombreuses tribus orientales, par exemple, comme nous l'avons trouvé dans" le doux hindoo ". Les prophètes hébraïques les décrivent comme «un peu amer et hâtif», un «terrible et terrible», «plus féroce que les loups du soir,« un peuple qui »a fait de la terre trembler et a fait serrer les royaumes.» «Ils ont bien conquis presque tous les royaumes du monde alors connu; Ils ont pillé chaque pays qu'ils ont conquis et sont souvent allés loin de dépeupler les pays qu'ils pillaient. En Judaea, par exemple, la terre est devenue une simple hante de bêtes sauvages après la maîtrise des Babyloniens et de Jérusalem, ils ont pillé même les navires sacrés du temple. C'est pourquoi Isaïe, ils sont apparus comme "la gâterie du spoiler et le destructeur détruisant". Et en plus de tout cela, il semble y avoir une méchanceté inermanente et ineradique dans la nation elle-même, ou elle aurait pu être sélectionnée, comme c'est le cas, comme le type de tout ce qui est abominable et haineux à la vue de Dieu. Pour beaucoup une génération et un siècle, elle avait été épargnée. Du début à la fin de la Bible, nous lisons d'elle. Dans sa grandeur décédée, il y avait une petite église chrétienne là-bas, dont Saint-Pierre raconte (1Pe 5: 1-14: 19). Mais jusqu'à l'époque de l'exil et, pendant la partie de la râpe, Babylon semblait seulement avancer dans la splendeur, dans la richesse et le pouvoir. Mais en longueur, le moment de sa récolte - une période affreuse, vaingée, et dans les chagrins liés à sa capture et de renverser, et dans la règle dure et détestée de ses seigneurs persans, il y avait le "battant" de laquelle Isaïeh Et Jérémie, dit à la contemplation de remplir le prophète Isaïe avec une horreur indescriptible: "Mes reins sont remplis de douleur: des douleurs m'ont pris" (Ésaïe 21:3, Ésaïe 21:4). Juif tel qu'il était, il ne pouvait pas voir la vision redoute de ce qui devait venir sur Babylone sans angoisse profonde. Elle "doit avoir rempli dans ses pensées beaucoup l'endroit où Rome détenait dans l'esprit d'un espagnol cultivé ou de carthnginien des premiers siècles chrétiens. Pour lui les Medes et les Perses, plongeant de leur inconnue et mystérieuse mailles sur la plaine babylonienne fortunée , Doit avoir semblé beaucoup comme les goths et les vandales tombés aux goths et aux vandales les plus civilisées d'Europe, quand ils sont venus verser les Alpes, porter l'épée et tirer sur les plaines histories d'Italie. Tout le monde chrétien frissa quand Rome est tombé; et comme Sa chute à la moderne, la chute de Babylone a été la chute du monde antique. " Récolte et battage: Ces images de la grange suggèrent généralement que ce qui est paisible et joyeux; Mais voici ici, ils disent l'inverse de celle-ci - d'horreur et de malheur indésirable. Apprendre, donc-

I. Les péchés sont des graines qui peuvent avoir une fin, mais auront sûrement une grande et terrible récolte.

II. Il est possible que Dieu puisse avoir affligé les enfants des hommes, il n'épargnera pas un seul coup aussi longtemps qu'ils s'accrochaient aux maux qui se dégradent et les détruisent.

III. Les jugements et punitions de Dieu ne sont pas vindicatifs et finaux, mais les «thores du maïs de son étage» ( Ésaïe 21:10 ). La séparation, c'est-à-dire du mal de la bonne, la valeur sans valeur de celle qui est précieuse et doit être préservée àvermore. - C.

Jérémie 51:48.

Joie sur le jugement.

I. Le pécheur va pleurer et pleurer. C'est la déclaration constante de la Parole de Dieu. "Il y aura pleurant et grincer des dents." Serait-ce que le pécheur aurait l'air régulièrement jusqu'au bout, et considère ainsi ses manières!

II. La nature humaine, en sympathie avec les malheurs du pécheur, chagrinera. (Cf. Ésaïe 21:10.) Nous devons être sur notre garde contre cela. Dans la présente journée, notre sympathie avec la souffrance nous conduit à oublier les causes et les résultats bénis qui proviennent du jugement de Dieu. Aucun criminel n'est jamais condamné à mourir, mais à la fois, ceux-ci s'efforcent de faire remettre sa punition. C'est une fausse sympathie et doit être résisté.

III. Mais le ciel et la terre se réjouissent. Cf. Les nombreux psaumes dans lesquels nous sommes appelés à se réjouir parce que le Seigneur "cometh va juger la Terre". Les motifs de cette joie sont:

1. La justice est justifiée.

2. Les opprimés sont livrés.

3. Les hommes apprendront la justice.

4. Ils sont jugés à un meilleur esprit.

5. Le Royaume de Dieu viendra plus rapidement .-C.

Jérémie 51:50.

La charge à eux qui sont épargnées.

Cette charge, adressée aux Israélites épargnées de Babylone, peut être appliquée à tous en Christ. Pour-

I. Tous en Christ sont épargnés. Épargné de:

1. la condamnation due au péché.

2. La tyrannie respectueuse du péché.

3. Le pouvoir écrasant du chagrin.

4. La misère de l'aliénation de Dieu.

5. La puissance de la mort.

II. À une telle cette triple charge est adressée.

1. Ils doivent "partir, ne pas rester immobile." En tant que Israël de Babylone qui les avait asservis, donc ceux des péchés qui. Dieu leur a pardonné. "Laissez-le que le nom du Christ part de l'iniquité." De nombreux Juifs ont méprisé cette accusation et sont restés à Babylone. Certains n'ont pas simplement séjourné à Babylon comme des Juifs, mais probablement beaucoup plus d'entre eux étaient "mêlés aux païens et ont appris leurs voies". "Les communications diaboliques corrompent de bonnes manières." Même ceux qui n'ont désobéi que la lettre du commandement souffert, tandis que ceux qui ont désobéi à la fois la lettre et l'esprit étaient simplement perdus, coupés de la maison d'Israël. Et ceux qui ont reçu le Christ, s'ils ne se détachent pas de leurs vieux péchés et de tout ce qui les tiendrait dans une esclavage à ces péchés, perdra leur religion et sont en colère péril d'apostasition du Christ. Par conséquent, laissez de telle distance et une distance supplémentaire entre eux et leur vie antérieure, de plus qu'ils sont encore enchevêtrés et. surmonter.

2. "Rappelez-vous le Seigneur Afar." Dans leur péché et leur misère, Dieu semblait loin d'Israël. "Mon chemin me cache du Seigneur et mon jugement est passé de mon Dieu" - Est-ce que leur lamentation grave. Mais ils devaient se souvenir de lui, transformer leurs pensées et leurs prières envers lui et attendre cruellement sa réponse promise. Et au croyant maintenant "Ça ne fait pas encore apparaître ce que nous serons;" Nous sommes loin de cela; Mais nous devons nous rappeler le Seigneur, bien que nous soyons encore en état et en personnage si loin de lui. Souvenez-vous de lui dans nos méditations, nos prières, nos objectifs et nos objectifs; Attendez-lui, et alors renouvelez notre force.

3. "Laissez Jérusalem entrer dans votre esprit." Comment être béni d'être là! Comment elle exige notre service sérieux! -Les joies, sa sainteté, ses enfants, son emploi; Notre place est préparée pour nous et notre préparation à la place. Alors souvenez-vous d'elle, et alors soyez livré d'être fatigué et faible dans nos esprits - C.

Jérémie 51:58.

Les larges murs.

I. L'empire du péché a de tels murs. Celles-ci mentionnées ici peuvent être prises comme un type d'entre eux. Ils étaient:

1. Se séparer. N'avons-nous pas la preuve de cela dans la large distance, les obstacles invincibles, qui empêchent le peu de sympathisation, d'associe ou d'une des quelque manière que ce soit, avec le peuple de Dieu? Le Royaume of Evil reste éteint du royaume de Dieu. Mansoul ne peut pas être entré au moyen des portes; Les messagers du roi cherchent l'admission, mais ne peuvent l'obtenir. Et ci-après la réparation continuera (cf. Luc 16:1; "entre nous et vous il y a un grand golfe fixe"). La séparation, qui est volontaire maintenant, devient involontaire alors.

2. Pour la sécurité. Une terrible sécurité c'est. En vain, les ambassadeurs de Dieu s'efforcent de pénétrer dans ces murs. En vain, ses soldats cherchent à les élaborer et à les armes de guerre pour les détruire. L'homme fort armé garde ses biens en paix. Qu'est-ce que le ministre du Christ n'a plus et encore à la retraite déconcerté devant ces larges murs, si haut, si fort, si imprégnable?

3. Pour le plaisir. Les vastes murs de villes telles que Babylon étaient des endroits pour une promenade agréable pour les loisirs et le plaisir. Donc, la sécurité fantaisie du pécheur accumule son âme pour se reposer, le faire pleurer, "la paix, la paix!" quand il n'y a pas de paix. Mais-

II. Le royaume de Dieu a ses larges murs. (cf. Néhémie 3:8, où nous lisons les vastes murs de Jérusalem.) Voyons-nous que nous maintenons et préservons ces murs.

1. Pour la séparation. Ne cherchons pas à s'approcher du monde, dans ses habitudes, maxims, son esprit, comportement. Gardez le mur large, fort: élevé. Nous ne pouvons pas servir Dieu et Mammon. Il n'y a pas de tentative de compromis. Et ces murs sont également.

2. Pour la sécurité. Si nous ne les maintenons pas, nous courons un grand risque pour nous-mêmes. Altération du péché est un travail périlleux. Et ne pensons pas que nous sommes plus susceptibles de gagner le monde par une telle rupture des grands murs. Le résultat est tout cela dans l'autre sens. Voyez à quel point le Christ mural est vaste entre lui-même et le monde. Dieu a construit ces murs. Son pouvoir, sa sagesse, son amour, sa promesse, sont toutes des portions de ces murs par lesquelles son église est gardée et contre laquelle les portes de l'enfer ne prévaudront pas.

3. Pour le plaisir. Quel confort il y a dans la pensée d'eux, de la défense certaine, le mur de feu, que Dieu sera à son peuple! Et sur ces murs, alors que nous «marchons sur Zion et dirigez-vous et racontez-la des tours», ce qui reste, quelle communion une avec une autre, et quelles prospects brillants sont les vôtres! Les larges murs de Babylone seront "décomposés;" Mais ce sont éternels. Sommes-nous en eux? -C.

Jérémie 51:64.

La fatigue du péché.

"Ils seront fatigués." Avec ces mots tristes, le prophète Jérémie ferme son livre. Les ombres sont sur tout cela, ni dans le moins soulevé où nous aimons le plus les voir soulevé - à la fin. Ils sont parlés des habitants de Babylone et répètent ce qui a été dit au verset 58. Ils suggèrent le thème - la fatigue du péché.

I. La fatigue est toujours la douleur. Il peut être du corps, puis de l'épuisement et de la fatigue rendent l'effort de rendu plus longtemps que tant de torture. Ou de l'esprit. Le cerveau devient hébété, déconcerté, incapable d'effort. Ou du cœur, ce qui est causé par la déception, l'ingratitude, le désir insatisfait, le désespoir. Ou celui de l'âme, qui est la fatigue racontée d'ici. Mais dans tous les cas, il est plein de douleur.

II. La lassitude est une expérience universelle. L'enfant de Dieu est souvent fatigué. Tels sont exhortés de ne pas être "fatigués dans le bien faire", l'exhortation impliquant plus que la possibilité d'une telle lassitude. Et notre Sauveur connaissait cette fatigue - jamais, mais souvent dans son travail. Dans un monde comme celui-ci, il y a suffisamment de causes pour une telle fatigue de la déposer sur les serviteurs de Dieu. Mais s'ils connaissent la fatigue, encore plus les enfants de ce monde; pour-

III. La pire lassitude est celle du péché. Pendant un moment, la jouissance qui ressort du péché peut tellement intoxiquer et éblouir le mauvais drapeau qu'il riera de l'idée de lassitude et de déclarer que c'est le seul chemin du plaisir et de bien. Mais après un moment qui cesse, puis vient satiété et fatigue.

1. Les causes de ceci sont:

(1) négatif. En servant le péché, nous n'avons pas ces grands aides à l'endurance et à la restauration de la force qui sont toujours présentes à l'enfant de Dieu. Le serviteur du péché n'a pas de motif de haute et noble, pas de motif digne du tout, dans ce qu'il fait. Les motivations d'affection, de devoirs, de gratitude, d'amour, qui soutiennent puissamment l'esprit du chrétien, qui manquent tous dans le serviteur du péché. Bon espoir accueille également l'enfant de Dieu; Mais quelle récolte le pécheur peut-il s'attendre à récolter? C'est telle qu'il n'ose pas et ne le contemplera pas. La communion de l'Esprit de Dieu - cet esprit qui "giveth des chansons dans la nuit" est présent au chrétien, et dans la plus profonde détresse lui permet de se réjouir. Mais rien ne peut savoir les ungodly dans leur travail acharné et leur service. Le dessin près de Dieu est une autre aide de l'enfant de Dieu. Pour-

"Nous pouvons s'agenouiller et jeter notre charge, e'en pendant que nous prions, sur notre Dieu,.

Ensuite, augmentez-la avec une joie éclairée;

Sûr que le père, qui est nocturne entendre les corbeaux affamés pleurer,.

Entendrons dans ce que nous craignons. ".

Ce plus réel aide les impies jamais connus.

(2) Mais il y a des causes positives de la fatigue au service du péché. Jésus a dit: "Appuyez sur moi, mais pleure pour vous et pour vos enfants." Sa tasse de malheur était amère, mais la leur serait plus amère. Maintenant, les causes positives de la fatigue du péché sont telles que celles-ci. L'impuissance du péché de ministrer le plaisir continuellement. Les baies de la conscience, qui ne seront pas silencieuses. Les jugements de Dieu - si plein de douleur, si inévitables, si irrémédiable, comme ceux-ci sur Babylone. Le désespoir de la perspective du péché - rien d'autre qu'une crainte à la recherche de jugement.

2. Les effets de cette fatigue sont considérés comme Saul et Judas, et dans la myriade d'autres qui ont cherché, dans l'autodestruction ou par sauvage plongeant dans encore des péchés plus profonds, pour échapper à cette fatigue qui suit continuellement leurs traces continuellement. Paul peut demander: "Quel bénéfice vous a eu dans ces choses dont vous avez maintenant honte?" Qui commencerait une carrière qui se termine de telle manière? Quel argument ces faits fournissent à la recherche de la recherche, si nous pouvons le trouver.

3. Le remède de toute cette lassitude! L'enfant de Dieu le connaît bien. Les ongodly peuvent le savoir aussi si elles le feront. Il consiste en soumettre à ce Seigneur qui dit à tout ce tort », viens à moi tous qui sont fatigués et lourds chargés", etc. Il y a seul à la guérison .-c.

Homélies par D. Jeune.

Jérémie 51:5.

Israël incroyable.

I. Un abandon apparent. Israël avait l'air abandonné. C'était en exil, en captivité et sous le jugement asservi de Jéhovah. Nous avons toujours, dans une certaine mesure, d'accepter les apparences des choses. La présence de Dieu avait été manifestée dans la faveur extérieure et la prospérité, et ce qui était plus plausible que de dire que le retrait de la faveur et de la prospérité signifiait le retrait de Dieu lui-même? Mais alors il est oublié que la présence de Dieu peut être manifestée de nombreuses manières. La prospérité extérieure n'est pas essentielle pour signifier la satisfaction de Dieu avec nous. Nous ne devons pas non plus en déduire que, parce qu'un chrétien au dos est tombé dans des ennuis et une misère, donc Dieu l'a abandonnée. Les signes de l'homme abandonnant Dieu sont rendus très clairs, de sorte qu'il peut y avoir toutes les incitations possibles à la repentance; Mais si Dieu ait jamais abandonné un homme, le laissant totalement à sa propre folie et témérité, aucun signe ne nous est donné. Il y a déjà assez dans nos propres fantaisies sauvages pour nous faire déconcerter et désespérément.

II. Une cause plausible de levage. Le pays d'Israël était rempli de péché contre le Saint d'Israël. Les hommes pensent à Dieu comme ils le font d'eux-mêmes. La patience du maître humain est bientôt épuisée avec le serviteur qui désobéit de nombreux commandements et obéit d'autres personnes de la manière la plus performante.

III. Une vraie cause d'adhérence étroite. Cet Israël, choisi et bien-aimé de Dieu, remplit sa terre avec un péché, jusqu'à présent d'être une raison d'abandonner, est une raison d'une adhésion plus étroite que jamais. Le berger laisse les quatre-vingt-dix-neuf moutons en toute sécurité et entre dans le désert après le perdu. Si seulement les hommes, mis fin au sens de leur méchanceté et de leur imprudence, pouvaient voir à quel point Dieu leur est proche, à quel point il est prêt et capable d'aider, ils seraient remplis d'espoir. "Dieu est l'amour" et donc plus notre besoin de sa proximité est grande. La vraie difficulté est que nous fuyons vers les succœux et les solides de soi, et donc la proximité de la morue, avec toutes ses fournitures appropriées et suffisantes, n'est que trop facilement obscurcie.

Iv. Une nouvelle manifestation du Saint d'Israël. Jamais la sainteté de Dieu n'apparaît donc que lorsqu'il s'agit de pécheurs dans la voie de la longue souffrance, si la perchage, ils se rendront enfin et lui permettront de les restaurer à la justice et à la paix. La sainteté de Dieu brille sûrement dans son plus grand attribut, et c'est l'amour. Dieu est marqué de toutes les choses créées par son pouvoir et sa justice, mais surtout par son amour transcendant. Voici l'aspect le plus glorieux de sa sainteté, que, peu importe combien d'hommes pourraient pécher contre lui, négliger sa volonté et abuser de son monde, mais quand ils sont prêts à tourner, il est proche de tout ce qui est prêt à recevoir eux.-

Jérémie 51:6.

Échappement individuel.

Deux chapitres entiers sont repris pour faire respecter l'inévitable DOOM sur Babylone. La ville dans son ensemble ne peut pas s'échapper; Par conséquent, le plus nécessaire de souligner échapper à l'individu et de mettre de l'espoir dans son cœur. Observer-

I. Comment cette exhortation à la personne met en place devant nous clairement le responsable général. Tous ceux qui restent dans l'esprit et l'incrédulité doivent périr. Les habitants particuliers de Babylone n'ont pas de pécher un péché spécial afin d'apporter une destruction sur eux-mêmes. Tout ce qu'ils ont à faire est de continuer à acheter, à vendre et à obtenir un gain. Donc, l'homme naturel partout vient de continuer dans les limites mondaines communes et selon les traditions courantes. Aller tranquillement accepter la position des non régénérants, il arrivera assuréement à la fin de ce type. "Hors du Christ, nous pouvons périr" n'est pas le mot à dire, mais "hors du Christ, nous devons périr.".

II. La considération constante de Dieu pour l'individu. Les masses d'hommes doivent souffrir parce que la grande masse d'entre eux sera jamais irréprochable des signes de danger. Mais chaque sage, prévoyant un individu, au cœur duquel il y a des inclinements réguliers à droite, peut s'échapper. Nous ne pouvons certainement pas échapper à toujours implication dans des calamités temporelles. Cela pourrait même être lâche et égoïste de s'en sortir. Pour fuir une calamité temporelle pourrait être la même façon de nous mettre la seule calamité spirituelle la plus sévère. Mais en ce qui concerne les périls spirituels, par rapport aux quelles périls temporels sont de simples bagatelles, chaque individu a sa chance. Il doit avoir l'individualité de caractère dans cette affaire, capacité de voir le danger quand d'autres ne voient aucun et courage de fuir quand d'autres sont immobiles et rient de lui. Rappelez-vous qu'il peut y avoir un vol dans un sens, alors que dans une autre sens, les choses restent inchangées. Nous pouvons rester dans une communauté et pourtant fuir de tout danger en évitant ses folies et sa désobéissance à Dieu.

III. La nécessité de promptitude et de décision. Non spécifié, une promptitude est toutefois évidente. Fuir à la fois; Car si vous attendez que vous puissiez voir le danger, il peut être trop tard .-

Jérémie 51:10.

Déclarant à Sion le travail du Seigneur.

I. Ce qui doit être déclaré. Le travail de Jéhovah, le Dieu d'Israël, qui travaillait étant le début de ce qui est décrit comme "notre justice". Quoi, alors, était cette justice? Nous ne pouvons que conjecturer, mais il s'agissait probablement de la justice, toujours bien agréable à Dieu, montrée par ceux qui croient en ses promesses et obéissent à ses instructions. Il y avait un grand champ pour la justice de ce type de la part des Israélites en captivité; Car Dieu ne leur avait-il pas dit expressément, mais il est peu probable que l'événement puisse apparaître, qu'ils reviendront encore dans leur ancien lieu d'habitation? En temps voulu, il devait y avoir une justification de leur foi. Mais hors de cette foi il faut garder tous les éléments de la glorification de soi. C'est la bénédiction de l'homme, mais pas ses éloges, qu'il reconnaît la certitude de quelle promesse qui garde, omnipotente, on fera pour lui. Déclarant que le travail de Dieu est toujours une chose satisfaisante, car le travail de Dieu lui-même est toujours satisfaisant. Bien commencé, complet, achevé, le travail nécessaire.

II. Ceux qui le déclarent. Ceux qui sont les matériaux du travail et pour qui le travail est fait. Ce ne sont pas de simples passoires et spectateurs. Le signe que le vrai travail divin est fait dans un cœur humain vient lorsque l'éloge et l'accusé de réception du grand travailleur sont exprimés. Nous sommes la finition de Dieu. C'est lui qui nous extrondait de nos confusions, nullie les vains de l'homme simplement naturel et nous rend capables d'actions qui le respecteront et le glorifieront. Il fait partie du travail même de Dieu à nous mettre à nous l'esprit de la déclaration, de sorte que nous percevons le changement en nous, le travailleur de celui-ci, la continuité de celui-ci, en bref, tout le bien lié à celui-ci. Et percevoir tout cela, comment devrions-nous faire autre que déclarer dans une énonciation mêlée de la gloire de Dieu et de notre gratitude à lui?

III. Le lieu de déclaration. À Sion, avec ses souvenirs de la présence de Jéhovah dans le passé. Sion était un nom à l'humble Israël, dans la pensée de l'ancienne apostasie et d'idolâtrie; Mais Sion n'était que glorieuse dans la mesure où Jéhovah était inquiet. Sion avait été trop longtemps négligée, pas en même temps qu'une certaine culte extérieure était concernée, mais le culte du cœur manquait. Maintenant, Zion apparaîtrait dans un nouvel aspect total. Au lieu de simples mots, une simple routine rituelle, il y avait une reconnaissance d'un avantage profondément ressentie entre les mains de Dieu. Le lieu de culte était pareil, mais pas le même, car l'ancienne scène avait de nouvelles associations. Nous pouvons reconnaître Dieu n'importe où; Nous devons le reconnaître partout; Mais pourtant, il y a une pertinence à faire certains remerciements à certains endroits. Ce qui pourrait être plus approprié que de prononcer des mots de vraie reconnaissance spirituelle sur cet endroit sacré où Dieu avait été si longtemps mal compris et défié? -Y.

Jérémie 51:13.

L'habitant sur de nombreuses eaux.

I. La reconnaissance des ressources naturelles. Les grands avantages naturels de Babylone sont autorisés dans toute la mesure. Elle se distingue "la grande rivière Euphrate". Une grande rivière à des fins navigables signifie la prospérité à une ville. Il doit également être considéré comme la facilité d'obtenir de l'eau à toutes les autres fins de la vie. L'abondance des trésors de Babylone était en partie un résultat de son habitation dans de nombreuses eaux. Les eaux ont aidé à déclencher la magnificence et la splendeur de ses bâtiments. Rien n'est gagné en minimisant les trésors de ce monde. Laissez-les être affichés et reconnus dans toute leur mesure (voir Apocalypse 18:1.).

II. Ces ressources ne peuvent pas éviter le destin. Le fait est que l'abondance de ces ressources ne peut se manifester que dans certaines directions. Il y a une abondance de ce que les ministres à l'ambition charnelle et à la convoitise, l'abondance de ce qui nourrit la fierté des individus et des nations, abondance de ce qui ne donne qu'une sécurité humaine contre une seule attaque humaine. Mais lorsque nous venons d'envisager les satisfactions les plus élevées et les plus grands dangers, nous trouvons la pérennité plutôt que de l'abondance. Les nombreuses eaux séchent dans une piscine peu profonde ici et là. La caractéristique de l'abondance donnée par Christ est qu'il utilise pour tous les besoins possibles. Ne peut-il jamais être dit au chrétien, vivement connecté comme il est avec ses trésors célestes, que sa fin est venue. De son trésor, sa bénédiction et sa sécurité, il n'y aura pas de fin.

III. Une indication de ce qui a rendu ces ressources si trompeur. Ils étaient, en grande partie au moins, les accumulations de la convoitise. Nous ne devons pas ressembler de trop près aux magnifiques maisons d'une grande ville, avec leur contenu, sinon nous serons rapidement non reconnus quant à leur vraie gloire. Nous verrons combien de cupidité et de gain injuste et le meulage des pauvres ont dû faire avec de tels bâtiments. Les grands bâtiments de certains hommes à vivre ne peuvent avoir aucun charme à l'œil chrétien, si une condition nécessaire à leur existence est que beaucoup d'autres devraient vivre dans des hovs ruissain. Le Dieu juste et aimant doit regarder des villes splendides avec un œil très différent de l'homme. Et ce faisant, il doit nécessairement fixer une limite à la convoitise. La convoitise continue d'ajouter à ses trésors, jusqu'à ce qu'il excite enfin la convoitise des autres. Et même en dehors de cela, des trésors extérieurs, indûment estimés, doivent dans le temps corrompre l'homme intérieur.

Jérémie 51:15.

Les ressources de Jéhovah.

Voici les ressources de Jéhovah comme contre les ressources de Babylone. Notez les différences entre eux.

I. Ce sont des ressources à Jéhovah lui-même. C'est de l'être même de Jéhovah que ses travaux s'inscrivent, que ces œuvres soient considérées comme illustrant son pouvoir, sa sagesse ou sa compréhension. Lorsqu'un prophète de Jéhovah doit parler de ressources humaines, il parle de choses à l'extérieur de l'homme. Outre le sol sur lequel il se trouve, le monde dans lequel il habite, que peut faire l'homme? Son corps est dérivé du sol et le sol retourne. Ses trésors choisis, les choses sur lesquelles il se penche sont des trésors sur la terre. Mais quand un prophète vient parler de Jéhovah, il peut penser à lui séparé de tout le visible et tangible. Il ne dépend pas de ces choses, car ils n'auraient eu aucune existence mais pour lui. Nous pouvons, dans un certain sens qualifié, parler de pouvoir humain, de sagesse et de compréhension; Nous devons en effet utiliser ces termes, car certains hommes sont si faibles que d'autres doivent être prononcés comme puissants, certains aussi stupides que d'autres doivent être parlés comme sages, certains aussi peu profonds et ignorants que d'autres doivent être parlés comme des hommes de compréhension. Mais le pouvoir même d'un homme révèle à temps sa faiblesse essentielle, sa grande sagesse sa folie essentielle, sa compréhension de son ignorance essentielle. Dieu seul est le pouvoir et en lui n'est pas une faiblesse du tout; Dieu seul est la sagesse, et en lui aucune folie du tout; Dieu seul est la compréhension et, dans lui, rien de la connaissance limitée et erronée qui est si souvent une humiliation à la fierté humaine.

II. Ce sont des ressources réunies dans un seul être. Jugé selon les normes humaines, certains hommes sont puissants, certains hommes sages, et certains sont des hommes de compréhension; Mais très rarement, même selon la norme humaine, sont des trois qualités unies chez un homme; Et ce n'est pas très souvent que même deux d'entre eux se trouvent. L'homme peut avoir du pouvoir, une simple force musculaire, le pouvoir de l'athlète, le pouvoir du bœuf, sans rien digne de la sagesse. Il peut donc y avoir de la sagesse sans pouvoir; Et il peut y avoir un degré de sagesse très élevé en dehors de la connaissance importante ou une bonne compréhension. Les hommes sont faits de sorte que ce qui est défectueux dans l'une peut être fourni par un autre. Les plus grandes œuvres humaines sont terminées lorsque le pouvoir d'un est joint à la sagesse d'une seconde et la compréhension d'un tiers. Mais avec Jéhovah toutes ces qualités, dans leur plus haut degré, sont retrouvées unies en une. Le seul compte après que tout cet homme puisse donner de la matière, c'est qu'il a été fait par un dieu. Et puis sa sagesse a tout réduit à l'ordre, organisé le monde dans toutes ses qualités, organismes et connexions mutuelles. L'homme naturel vient le plus près de Dieu lorsqu'il peut combiner le pouvoir d'un, la sagesse d'une autre et la compréhension d'un tiers, de faire comme il s'agissait d'un nouvel homme pour le travail spécial; Et l'homme spirituel vient le plus près de Dieu quand, préservant toujours son individualité d'action, il échange de sa faiblesse naturelle le pouvoir spirituel du Christ, pour sa folie naturelle la sagesse spirituelle du Christ, et pour sa connaissance souvent inutile et supprible des choses de ce monde cette connaissance qui vient dans la révélation de la gloire de Dieu face à Jésus-Christ. - Y.

Jérémie 51:19.

La partie de Jacob contrastait avec les confidences de Babylone.

I. Le nom de laquelle Jéhovah est ici indiqué. La partie de Jacob. Donc, le psalmiste dit: "Ma chair et mon cœur échouent ... mais Dieu est ma partie pour toujours" (Psaume 73:26; voir aussi Psaume 16: 5 ). Les hommes avaient leurs portions nommées et ont sans aucun doute varié en valeur. Mais peu étaient ceux qui pouvaient se lever au-dessus de simples choses extérieures et regarder sur le dieu invisible comme une véritable partie. Et pourtant, c'étaient les seuls à avoir une portion et une héritage au sens le plus au sens des mots. Pour seulement, ils ont été soulevés avant toute tentation envers l'envie, et surtout les conséquences des déficiences et des pertes terrestres. Certes, nous avons un héritage des choses invisibles et éternelles, dont les biens visibles actuels donnent aux conditions préparatoires; Mais posséder ces choses, nous devons posséder Dieu, doit être sûr de son intérêt, de sa providence spirituelle, de sa suffisance, car seulement en lui peut même que des biens spirituels ont leur début et leur continuité. Nous ne devons pas non plus oublier de noter ce que l'on peut appeler le caractère mutuel de cette portion et de cette héritage. Jéhovah étant la partie de Jacob, il est également vrai que la partie de Jéhovah est son peuple (Deutéronome 32:9). Même les meilleures possessions d'un homme naturel ne sont pas une simple propriété morale, pas une simple connaissance intellectuelle, mais ces êtres humains qu'il peut appeler des amis. Un tel est riche en fonction de la qualité de ses amis, ceux sur lesquels il affirme et qui en a revendiqué. Il est riche en fonction des opportunités qu'il aient d'obtenir un service d'entre eux; Plus riche en fonction de ses opportunités de rendu, sur le principe qu'il est plus béni que de recevoir. Et ainsi Dieu sera notre héritage juste en proportion que nous sommes héritaux de Dieu. Nous ne pouvons pas obtenir satisfaction de Dieu à moins d'être satisfait de nous. Notre foi, notre obéissance, notre dévotion, sont les conditions de sa générosité particulière et la plus riche.

II. Le contraste de la portion de Jacob avec la partie des autres. Ils héritent d'une terre stérile. Il peut sembler prometteur; Cela peut donner l'apparence de fruits; Mais des fruits réels et respectés, il n'y en a pas. Babylon a pris Bel pour sa portion, et la partie et les possesseurs sont maintenant tournées vers la confusion. En effet, la partie a disparu dans le néant; Car jamais ce n'était rien que d'un nom, d'une fiction imposante, d'une épreuve des deux personnes d'une partie de l'homme et de la manière dont il est incompétent de faire une telle partie pour lui-même. Mais Jéhovah reste toujours une partie. Le Jacob typique, le peuple typique de Dieu qui est, était incapable de garder Jéhovah comme une partie; Ils n'ont jamais eu de réalité de lui, jamais plus que la connaissance externe la plus méritée. Mais pour ceux qui peuvent la laisser audacieux, il est sûrement une partie encore.-Y.

Jérémie 51:25, Jérémie 51:26.

La montagne détruite détruite.

I. La montagne détruite. La montagne est un symbole très approprié d'un peuple éminent parmi les nations et semblant facilement à dominer sur eux. Dans un tel symbole, l'affirmation incontestée de la supériorité est impliquée. La montagne regarde sur les plaines et les plaines acceptent la position. Mais alors que, dans la nature, la montagne regarde les plaines avec un mélange d'avantages et de blessures, dont même les blessures sont considérées comme des avantages quand on considère plus étroitement, nous avons ici une destruction de la montagne qui détruit une montagne qui détruit toute la terre. Dieu est contre Babylon, pas simplement pour la douleur qu'elle a infligée à son peuple, mais que la destruction est l'élément même dans lequel il vit. Plus que Babylon, Babylon est venu apporter une spoliation, une esclavage et une misère. Les hommes et les nations sont éminents que, comme les montagnes du monde naturel, ils peuvent communiquer du bien partout. Mais s'ils forment des fins destructions, leur très éminence augmente leur pouvoir de destruction. La montagne qui, par sa très élévation, aide à distribuer des eaux agréables et rentables sur la face de la terre, lorsqu'elle s'est tournée vers un volcan est aussi bien placée pour avoir envoyé les torrents de lave.

II. Sa destruction totale. Ce qui doit d'abord être considéré comme la sécurité de la Terre entière. C'est la voie de Dieu de déraciner toutes ces menaces la sécurité et la paix de son univers. Altérer et enfermer ne suffit pas; La mauvaise chose doit être détruite. Et c'est possible parce que c'est Dieu qui est contre. Il peut détruire et effacer où les hommes ne feraient pas un instant de rêve d'une telle possibilité. Jésus n'a-t-il pas dit à ses disciples que de grandes montagnes pouvaient être cueillies et jetées dans la mer, de grands obstacles et de grandes menaces au progrès chrétienne seront complètement supprimées? Et ici, le prophète signifie l'exhaustivité de la destruction en affirmant que Babylone deviendra comme une montagne réduite car elle n'avait que des cendres. A cette montagne, les hommes de montagne ont eu l'habitude de recourir à la recherche de pierres d'angle et de pierres de fondation, mais si leur station n'est plus. Il y a une destruction complète des ennemis du peuple de Dieu et, bien sûr, cela implique une sécurité complète du peuple de Dieu eux-mêmes. (Pour une métaphore correspondante, voir Ésaïe 30:14.) - Y.

Jérémie 51:30.

Efféminement.

Sans doute dans cet énoncé, il y a quelque chose du mépris de l'ordre de coutume par rapport aux femmes. Mais cela ne doit pas nous faire oublier que l'une des pires choses à dire d'un homme est qu'il est devenu une femme, comme l'une des pires choses à dire d'une femme est devenue un homme.

I. Cet énoncé ne reproche pas la femme, mais l'homme. La femme a ses limites naturelles. Son lieu habituel n'est pas sur le champ de bataille ou sur les murs de la ville attaquée. Une armée de femmes contre une armée d'hommes serait un spectacle non naturel, un spectacle révoltant. Mais cette différence même entre la place appropriée des femmes et la bonne place des hommes intensifie le reproche contre un homme quand il peut vraiment dire qu'il a dit de lui qu'il est devenu une femme. Ces qualités qui dans une femme sont féminines dans un homme ne sont efféminées que.

II. Le reproche possible correspondant sur les femmes. Une femme ne doit pas lui permettre d'être dit d'elle qu'elle est devenue un homme. Elle ne doit jamais oublier les limitations et les devoirs de son sexe. Pourtant, d'autre part, elle ne doit pas être trop prête à accepter l'opinion commune pour interpréter ces limitations et devoirs.

III. Il y a des moments où il peut être le plus grand honneur à un homme pour devenir une femme. Il y a des moments où la force de l'homme, sans être perdue, devient inaperçue à cause de la présence d'une tendresse ressemblant à une femme. Et bien sûr, il y a la vérité correspondante que la femme peut être honorée de devenir l'homme, d'autre où serait la renommée de Joan d'Arc et de la demoiselle de Saragosse? Les hommes et les femmes doivent avoir le courage de faire face à de simples reproches externes. Rien n'est plus facile que de nantarair un homme avec une femme sans fumée et une femme avec une femme sans humidité, mais que seuls les hommes et les femmes persévèrent dans ce qu'ils se sentent se battre, ils iront en temps voulu échapper à la région des railleries sans fondement. Après tout, l'humanité commune aux hommes et aux femmes est supérieure aux particularités du sexe. En Jésus-Christ, il n'y a ni homme ni femme. - Y.

Jérémie 51:36.

Faire sèche les ressorts.

I. Effort de l'homme pour fournir son besoin. Il y a les ressorts qui tombent en avant parmi les collines et invitant des hommes librement à les utiliser. Mais il y a aussi les hommes puits creusent pour eux-mêmes. Les hommes doivent avoir de l'eau, mais ils ne peuvent pas toujours aller vivre aux sources naturelles et où ils doivent vivre, ils creusent des puits, et merveilleusement, ils réussissent souvent à obtenir ce qu'ils veulent. L'eau vient apparemment à l'abondance évaporée. Ainsi, c'est avec les ressources naturelles que l'homme s'efforce d'obtenir pour lui-même. Ils s'ouvrent devant lui beaucoup plus grand que tous les besoins actuels. Et ainsi, lorsque l'homme voit tout cela à sa portée, il élabore naturellement de grandes entreprises sur la force de si grandes ressources.

II. L'utilisation égoïste de son succès. Il ne se produit pas peu de ce que l'homme qui creuse un puits pour lui-même le fait au détriment des autres, faisant de leurs puits à franchir sec. La chose peut être faite involontairement, ou presque sur un principe généralement accepté de chacun cherchant lui-même; Pourtant, il doit être considéré comme un pur égoïsme. Les ressources de Babylone ont augmenté en diminuant les ressources des autres peuples, il s'agit d'un point à laquelle il est toujours envisagé d'estimer les hommes de ressources importantes, à savoir jusqu'où ces ressources ont été acquises en laissant d'autres personnes sans ressource ou avec un Smity One.

III. Élimination de Dieu de ses ressources. "Je vais faire sèche ses sources." Dieu peut sécher tous les puits humainement fournis. Nous ne devons pas nous vanter de leur nombre, de leur profondeur ou de la facilité avec laquelle ils se tiennent à un certain niveau malgré tous les drains sur eux. Les nations puissantes, fières de leur histoire et de leurs réalisations, doivent se souvenir de cette ingérence divine. Les hommes, la recherche de hack sur un long parcours individuel, doivent se rappeler la même chose. On peut imaginer une ville dans une période de siège, soigneusement provisionnée, sachant exactement à quel point il avait pour la nourriture et ne se trouble pas du tout sur la boisson, en voyant qu'il y avait un puits profond, dont les eaux ne montraient pratiquement aucune différence même dans l'été le plus sec. Pourtant, tous à la fois que bien peut échouer et, aussi grandes les autres fournitures, la soif va obligera la remise. Dieu sèche tous les puits qui ont été creusés dans la convoitise et l'injustice.

Iv. L'implication d'autres ressources durables. "Avec toi, c'est la fontaine de la vie", déclare le psalmiste (Psaume 36:9). Nous devons regarder, pas aux puits de notre propre creuser, mais aux sources des collines éternelles. Surtout, nous devons attraper l'esprit de Psaume 87: 1-19 . Là, le psalmiste loue Zion et se termine en disant: "Tous mes sources sont dans toi." Laissez nos sources être dans le montage saint et respectueux de Dieu (Hébreux 12:22) .- Y.

Jérémie 51:50.

Un souvenir rapide et son effet pratique.

Jéhovah fait ses jugements les plus sévères à tomber sur Babylone. Comme ils sont gravés sont indiqués par le fait que deux longs chapitres sont occupés par des dénonciations sur elle. Mais tout le temps Israël est en hier. Les Israélites sont domiciliés et installés. Jusqu'où ils vivaient eux-mêmes et à quelle distance ils se sont mêlés à leurs ravisseurs, nous ne pouvons pas le dire. Une chose, cependant, nous sommes sûrs de, au cœur de tant de destruction à Babylone, ils ont été préservés. Cela devait être un temps très décomposant pour eux, même s'ils avaient une confiance tolérable que tout se passe bien. Il peut y avoir une sécurité réelle où il n'y a pas encore de perception claire de cela et donc aucune possibilité de paix non entraînée. Mais enfin, le danger est fini et que fera l'Israélite? Il peut choisir, pour des raisons personnelles, de rester à Babylone. Il peut être tenté d'oublier son devoir en tant que rôle dans un plus grand tout. Pas pour lui-même, cependant, de ne plus faire de ses objectifs, a-t-il été préservé. Il n'a échappé à l'épée que pour mieux servir Dieu. Facilité actuelle, associations agréables, peut augmenter de manière attrayante dans son esprit. Ce n'est bien sûr que celles-ci pouvaient être trouvées dans Babylone désolée, la hutte pourrait sûrement se trouver ailleurs qu'à Jérusalem si loin. Contre les pensées naturelles de ce type, la parole du prophète vient ici comme un garde. C'est un mot pour ces Israélites vivant à Babylon au moment de la chute de Babylone. Les choses près d'eux, que leurs yeux voient et que leurs mains manipulent sont les moins importants. Les considérations vraiment importantes sont celles qui peuvent être plus facilement oublies. Ainsi, pour ainsi dire, ils doivent être poussés avant l'esprit. Chaque israélite au cœur du bon cœur garderait le Dieu et la ville de ses pères dans son cœur. Et nous devrions donc garder Jéhovah et Jérusalem à l'esprit. Les plus grandes tâches et espoirs de notre vie viennent de notre connexion avec de tels souvenirs. - Y.

Jérémie 51:60.

Mal écrit dans un livre.

I. Le fait que le mal soit écrit aussi bien que parlé. Les maux que Jéhovah dénoncés contre Babylon étaient tels que l'on pouvait écrire dans un livre, car les dénonciations n'étaient pas celles de la passion égoïste et hâtive, mais exprimaient la colère calme d'un dieu droit. Le jugement sur Babylone découle de la nécessité de la position. Un Dieu juste n'aurait pas pu agir autrement. Quelle différence entre ses mots dans la colère et nos mots! Si tous nos mots fâchés, hâtifs et piétés étaient perforés dans un livre, quel enregistrement de la honte y aurait! Une telle conséquence de leur énonciation pourrait nous rendre un peu plus prudent, mais les mots viendraient parfois parfois. Si nous devons comprendre ce qu'il faut être vraiment en colère et le péché non, nous devons regarder les archives délibérées de la colère de Jéhovah dans les Écritures. Nous sommes heureux que nos mots en colère soient oubliés; Dieu, pour ainsi dire, prend des problèmes que ses mots soient rappelés.

II. La nécessité que ces mots soient écrits. Il ne suffit pas que les mots puissent être écrits - il fallait avoir une raison de l'écriture. Cela se trouve dans la nécessité de faire tout ce qui pourrait être fait à titre d'avertissement et de préparation. Ce qui a été écrit pourrait être montré d'abord à un et un autre. Il y avait une nécessité que même les personnes de Babylone eux-mêmes devaient avoir de nombreuses possibilités de profiter des mots parlés contre leur ville. Une nécessité aussi dans l'histoire. La chute de Babylone est un événement remarquable de l'histoire, à l'extérieur de l'extérieur des archives de l'Écriture, mais le secret réel de sa chute n'est qu'à connaître lorsque nous lisons des prédictions aussi solennelles et soutenues que celle que l'on trouve dans ces deux chapitres.

III. Les dénonciations de Dieu ne sont pas ses seules mots écrites. Dieu doit écrire ses menaces, mais nous sommes tenus de rappeler qu'ils ne sont qu'un rôle - et à quel point ils sont petits! - du total qu'il a fait écrire. Comme il est différent à cet égard des hommes! Leurs menaces et leurs paroles en colère rempliraient parfois un bon volume, mais leurs paroles de bonté et de longues souffrances, maintenant peu elles sont-elles! Le délice de Dieu est de causer des mots de grâce et des locaux de récompense d'être écrit. - Y.

Jérémie 51:63 , Jérémie 51:64.

Un symbole de perte irrémédiable.

Il convenait que l'exposition et l'enregistrement d'un symbole tel que cela devraient fermer la longue dénonciation de Babylone. Où Dieu détermine de détruire aucun homme ne peut être d'éviter ou de récupérer. Cette pierre est peut-être toujours située au fond des euphrates, et éventuellement il peut y avoir quelque chose à signifier le livre une fois attaché à celui-ci. Nous ne savons pas quelles sont les vestiges des temps de l'Ancien Testament pourcers être désordonné, quelles confirmations et révélations sont toujours en véritable existence.

I. Le pouvoir de la destruction totale de Dieu. L'impossibilité de découvrir cette pierre doit être considérée comme relativement. Strictement parlant, cela aurait peut-être été récupéré si cela valait la peine. Mais pour tous les objectifs pratiques, il a finalement été perdu. Voici la différence entre destructions humaines et la destruction divine. Babylone est toujours un désert. Où Dieu a choisi de faire des marques particulières de sa colère avec l'injustice des hommes là-bas repose une brûlure humaine qui ne peut surmonter; Et généralement, il n'y a pas de disposition pour la surmonter. Mais où la destruction vient simplement par la passion humaine et le pouvoir, il peut y avoir une récupération comparativement rapide. C'est un côté de la guerre sur laquelle nous ferons bien de réfléchir. Les guerres, avec tous leurs terribles accompagnements, peuvent faire quelque chose pour se débarrasser de certains maux et peut donc être la condition de bon bien. L'homme ne peut pas détruire où Dieu veut préserver. Mais là où Dieu détruit, il détruit enfin, et ce n'est que cette terrible possibilité de la ruine finale qui devrait faire de la garde des hommes dans leur estimation de l'avenir, et invite à passer de tous les chemins maléfiques et égoïstes.

II. Le côté acclamant des destructions totales de Dieu. Avec Dieu La destruction signifie toujours le salut. La destruction n'est jamais pour son propre saké, jamais une chose arbitraire et sans but. Toute la destruction divine doit être considérée comme faisant partie du processus de salut. Les nations sont dispersées, les institutions humaines renversées, la vie temporelle des individus s'est terminée, mais l'homme individuel dans ses relations respectueuses de Dieu reste. Cette pierre perdue dans un sens n'a pas été perdue dans une autre. Nay, il servait un objectif plus élevé que tout aurait pu servir simplement comme une pierre. C'est devenu un enseignant et c'est un enseignant encore. Abel, être mort, mais parler. Et cette pierre du bas d'Euphrate parle toujours, en avertissant tous les hommes ambitieux et tous les négligètes des commandements et des prédictions de Jéhovah.-Y.

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